C’est un fameux trois-mâts !

La rédaction 26 septembre 2024

Martine, 40 ans de Clamart raconte ses vacances en Bretagne tout en pluralité. Elle s’est fait prendre tout l’été par ses 3 amants.

Un été en Bretagne ! Toutes mes copines m’ont dit que j’étais folle, les pauvres, si elles avaient su ! Lorsque je suis arrivée sur l’île des Glénans, je venais faire du bateau, j’étais loin de m’imaginer que j’allais naviguer au rythme de trois beaux mâts fièrement dressés et partager cette histoire de sexe amateur !

Mes trois amants

Erwan, Gilles et Gwen étaient amis et logeaient à côté. Âgés de vingt-trois à quarante-deux ans, ils ont jeté leur dévolu sur moi ! Problème, ils me plaisaient tous ! J’ai donc fait l’amour avec les trois, chacun avait sa « spécialité », Erwan, le cunni, Gilles avait une bite énorme et Gwen avait la peau aussi douce que ses caresses et ses baisers. Un plan à quatre s’est très vite imposé à moi, j’ai proposé au trio que nous nous réunissions dans de folles parties carrées et ils ont accepté. Le plus expérimenté a tenu à prendre des photos, cela ne me dérangeait pas, mais j’ai flouté mon visage, étant fonctionnaire, ça la pose mal de s’afficher en pleine partouze au sein d’une administration.

J’ai donc réalisé un de mes plus vieux fantasmes, avoir trois beaux mâles pour moi toute seule. J’étais ravie de voir que je les faisais tous bander à mort, l’un me présentait sa queue dressée pour que je la suce, un autre me bouffait le minou tandis qu’un troisième s’occupait des prises de vue ou me donnait son mât à branler. Dès que quelqu’un en avait assez de son « atelier », les garçons échangeaient les rôles et je profitais d’une variation de technique ou d’approche. Ma chatte et mon cul épilés ont eu le plus grand succès et j’avoue que de piper des bites également exemptes du moindre poil est plus qu’agréable.

Chaque soir, je me mettais à leur disposition, dès que je sortais de la douche, entièrement nue, je trouvais mon harem prêt à l’emploi, sexes en érection, bourses pleines et regards brûlants. Je n’avais plus qu’à m’allonger et le bal pouvait commencer. J’écartais les cuisses et ouvrais la bouche, les pénis venaient à moi, je pouvais sucer à foison, je me délectais des goûts différents de chacun de mes amants. Leurs sucs coulaient dans ma gorge tandis qu’on s’occupait divinement de ma minette. Je n’ai jamais autant mouillé de ma vie. Des doigts s’insinuaient dans tous mes orifices d’amour, doucement ou plus fermement, des mains me masturbaient à me décoller le dos du lit, à m’en faire éjaculer des jets de cyprine qui inondaient tout.

Prise par mon harem

Ma préférence allait toutefois à m’offrir au trois en missionnaire. J’en pompais deux tandis que je me laissais baiser par le troisième, puis ils changeaient de rôle, j’en recevais un nouveau dans la moule et lapais ma liqueur sur le pieu qui venait de me pénétrer le vagin. Ma chatte aux lèvres très longues rougissait tant je prenais fort surtout quand c’est Gilles qui me pilonnait avec son membre surdimensionné. Endurants et très cochons, mes apprentis matelots n’avaient de cesse de me donner du plaisir, ils ont même ouvert les paris sur celui qui me conférerait le plus grand nombre d’orgasmes. À ce petit jeu, c’est Erwan qui a gagné. Avec sa langue et ses doigts, il réalisait des choses qui me faisaient grimper au rideau.

Index et majeur dans le vagin, annulaire et auriculaire dans l’anus, son appendice papillonnant à toute vitesse sur mon clitoris, j’ai décollé je ne sais combien de fois ! Gwen a été le seul à avoir le droit de m’enculer, sa douceur était telle que je n’ai pas eu le cœur de lui refuser l’accès à mon petit trou, c’est même lui qui m’a fait découvrir que je pouvais prendre mon pied par là. Une fois que j’avais joui tout mon saoul, les hommes se sont autorisés à éjaculer. J’ai reçu du sperme absolument partout, sur mes fesses, mon visage bien sûr, sur mes seins, mon ventre, mais aussi sur mes orteils et, évidemment, dans la bouche. Les trois étaient fous de me juter au fond de la gorge, leur petit jeu favori étant de me laisser agenouillée devant eux et de me balancer leur foutre l’un après l’autre.

Je ne devais pas avaler, mais attendre d’avoir ce divin cocktail aux trois saveurs, de le mélanger avant de déglutir et de leur montrer mon palais vide. Cette débauche de sexe, ces orgies vespérales m’ont définitivement donné le goût de la pluralité masculine. Pourquoi se satisfaire d’une seule bite ? Je fréquente désormais tous les clubs où sont installés des gloryholes, je me livre à des meutes affamées dans les blacks rooms de ces mêmes endroits, j’ai une adoration pour la diversité de vos bistouquettes messieurs. Qui sait, si un jour je vous croise, vous pourrez me fourrer par tous les trous avant que je ne m’abreuve de votre foutre crémeux !

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