Canal anal
27 octobre 2025
Annabelle, mon amour, voici notre histoire de sexe érotique. Tu viens de me donner l’autorisation de raconter l’histoire de notre dernière escapade à interstron.ru, voici donc le récit de ce séjour vénitien. La cité des doges nous a accueillis pour un long week-end avec ses canaux, ses gondoles, ses bons petits plats dans des trattorias cachées et ce parfum d’érotisme qui plane dans toute la ville, de la place Saint-Marc au pont des soupirs, mais est-ce surprenant, au pays de Casanova ?!
Une soumise récalcitrante
Dès le premier soir, tu m’as vampé, tenue chic et choc, chemisier transparent sur un soutien-gorge en dentelle, culotte et porte-jarretelles assortis, sans parler de tes longues jambes fuselées dans une soie divine et aguichante. Le Montepulciano te tournait légèrement la tête, mais tu étais mutine dès le début de notre voyage, tu m’as même un peu sucé dans l’avion ! Après un mini strip-tease, tu m’as demandé de jouer au maître, t’offrant en femme soumise pour la nuit à venir. En ai-je honteusement profité ? Oui ! Mais, je le sais, plus je t’obligeais à réaliser des actes licencieux, plus ta chatte mouillait et plus tes seins bandaient. Et que dire de ton regard enfiévré, de ton attitude pleine de défis lorsque je t’ai intimé l’ordre de t’allonger sur le ventre et d’écarter tes fesses avec les mains.
Portable en action, j’ai immortalisé cette offrande de toi, nue, libre, ta jolie petite raie fessière écartelée sans pudeur, ton anus et ta fente luisants d’une cyprine aussi abondante que lubrificatrice. Après avoir vérifié que ta vulve était trempée et prête à recevoir mes assauts, je suis remonté lentement le long de ton sillon pour inspecter ta petite pastille serrée. Tu as rechigné, et que faire devant une vilaine fille qui n’accepte pas sa condition de soumise totale ? J’ai été contraint de te fesser. Les claques assénées sur tes fesses bronzées prenant force et assurance au fur et à mesure que je distinguais de plus en plus d’excitation dans tout ton entrejambe. Ton sexe était gonflé, ton étoile interdite se dilatait sous mes yeux. Toi qui détestes toute introduction dans ce conduit prohibé, ton anus semblait appeler à de nouvelles caresses, à une intromission censurée. Mon majeur s’est posé avec douceur sur ton anus, un peu de salive, un peu de mouille et j’ai enfilé mon doigt dans cet étroit tunnel que je visitais pour la première fois.
À ma grande surprise, tu t’es laissé faire, ton anneau s’est ouvert et a étreint mon doigt, j’ai patienté quelques instants, puis j’ai enfoncé le reste de ma phalange dans ce boyau soyeux. De mon pouce j’ai effleuré tes nymphes et gagné ton clitoris. Ta perle était déjà sortie de sa tanière, petit dôme rose et électrique, il ne m’a fallu que quelques minutes pour te mener au plaisir.
Enculer sa femme soumise
Te dominant pour la soirée, je t’ai ordonné de rester ainsi sur le lit, ton si joli derrière totalement nu, tes fesses toujours écartées pour le contentement de mon regard qui ne quittait pas ta cible cyclopéenne et je t’ai présenté mon pal, ma queue veinée semblait animée d’une vie propre. Tu l’as saisie d’une main ferme, tes phalanges se sont lentement refermées sur ma hampe et j’ai guidé mon gland jusqu’à l’orée de tes lèvres. Les paupières closes, tu as accueilli mon fruit nimbé et ta langue a commencé à tournoyer autour, m’arrachant des gémissements de satisfaction. Ton art de la fellation n’a d’égal que ta beauté, mon amour, tu as sucé mon pieu tout en caressant mes bourses du bout des ongles. J’étais déjà au bord de l’orgasme lorsque je t’ai intimé d’ôter enfin ton chemisier et de te retourner sur le dos. Tes seins me sont alors apparus ! Deux dômes parfaits, lourds, imposants, telles deux coupoles sacrées, leurs faits érigés vers le ciel.
Tu m’as masturbé au-dessus de ces merveilles, avant de glisser mon priape dans le défilé de ton décolleté. Quelle sensation de sentir tes globes toniques se refermer sur ma hampe en panique ! De mon méat, n’arrêtait pas de couler l’ambroisie de mon excitation, ta tête allait et venait dans une pipe effrénée qui risquait de tout gâcher. Tu sais que tu peux me faire perdre tous mes moyens rien qu’en aspirant mes boules remplies d’amour crémeux. Alors, à cet instant, de soumise tu t’es muée en suppliante, stoppant tes caresses buccales, tu m’as imploré…
Ton corps s’est de nouveau retourné et j’ai pris place entre tes cuisses, mon pénis, raide et vibrant, mon gland impatient de tenter cette nouvelle aventure. Prenant la suite de mon doigt, il s’est posé sur ta rosette fragile et, pour la première fois de notre vie de couple, je t’ai enculée jusqu’à gicler au fond de tes entrailles, pile à l’instant où les cris de ton propre orgasme ont retenti dans notre chambre.
A lire aussi…