Célibataire endurcie (et gâtée !)
31 décembre 2023Anaïs, 28 ans, Dijon
Je m’appelle Anaïs, j’ai 28 ans, et ça y est ; ma grande-sœur âgée de 2 ans de plus que moi vient d’avoir un enfant. Bon, il a une gueule d’amour, je suis bien obligée de le reconnaître, et j’ai tout de suite pris mon rôle de tata très au sérieux. Mais l’annonce de cette nouvelle naissance dans ma famille a déclenché une vague de questionnement sur mon utérus. « Et alors, quand est-ce que tu nous en fais un ? », m’harcèle ma mère. « Et quand est-ce que tu nous ramènes un mari ? », s’angoisse ma grand-mère. Vous savez quoi ? Tout ça m’angoisse terriblement ! Je me sens encore très jeune, et surtout… j’adore collectionner les amants et je ne me vois pas rester au bras d’un homme pour le reste de la vie. Je suis plutôt jolie et j’ai réussi, au fil des années, à me constituer un réseau de mecs plutôt mignons que je vois de temps à autre.
Comme ils ont très peur de me perdre, n’étant pas en relation suivie avec eux, ils me couvrent régulièrement de cadeaux. Je ne sais pas si c’est mal ou si c’est bien – mais à vous, je peux tout vous dire – j’adore ça ! J’ai l’impression d’être une princesse dont les chevaliers se battraient pour avoir le privilège de passer une nuit avec moi. Le dernier en date m’a offerte de la belle lingerie blanche.
Il est un peu fétichiste de la lingerie et j’aime être son objet de désir. Quand j’ai reçu son présent, accompagnée d’une déclaration sentimentale drôle et enjouée, je l’ai déballé à toute hâte et je l’ai tout suite enfilé dans la salle de bain. En me contemplant dans le miroir, j’ai vu que c’était un ensemble pile à ma taille et adapté à ma morphologie avec des petits seins (et croyez-moi, des soutiens-gorge adaptés aux petits seins ce n’est pas si facile que ça à trouver). La texture était noble et je prenais beaucoup de plaisir à l’effleurer du bout des doigts. Il y a parfois une sensualité qui peut se dégager entre un corps et un vêtement, comme une relation sexuelle avant la relation sexuelle, et c’était le cas. « Prends la pose Anaïs, fais-moi quelques clins d’œil ! », m’a demandé Julien dès que je suis sortie, en me présentant son smartphone pour que je joue les mannequins sexy. Je suis rentrée dans son jeu en rigolant et en me tordant dans tous les sens. J’alternais entre l’aguicheuse et la jeune ingénue, j’avais certainement ça en moi. Julien m’a ensuite attrapée par la taille et m’a fait basculer sur le lit. « Essaie avec des bas noirs ! Ça sera encore plus joli. » J’ai enfilé les fameux bas noirs et Julien s’est débraguetté. Il m’a demandée de masturber son sexe qui bandait.
C’était assez difficile (ça demandait de me cambrer bizarrement, l’équilibre était précaire), mais j’ai réussi tout de même à faire quelques mouvements. C’était très mignon de voir son gland violet émerger d’entre mes orteils. Son petit bout s’humidifiait et ça glissait de plus en plus facilement. Je voyais dans le regard de Julien qu’il n’avait jamais rien connu de plus excitant. Ses yeux brillaient de mille étincelles et il ne pouvait retenir ses petits bruits de jouissance. Ses lèvres entrouvertes étaient extrêmement érotiques, elles me donnaient envie de les croquer à pleine bouche, de m’en délecter, mais il était loin et il fallait que je m’arme de patience. Il m’a ensuite allongée sur le lit, puis il m’a pénétrée d’un coup sec en décalant le string blanc sur le côté. « Quelle belle lingerie ! Quelle belle lingerie ! », s’exclamait-il alors que je sentais sa grosse tige s’enfoncer dans mes profondeurs.
Mon vagin s’écartait tout doucement pour le laisser m’écarteler. J’ai enfin croqué ses lèvres si appétissantes qui me donnaient envie de lui depuis le début. Sentir sa langue chaude sur la mienne m’a provoquée une série de vibrations totalement dingue. Nous avons ensuite inversé les positions. Je me suis empalée sur lui alors qu’il restait allongé sur le lit. Je bougeais comme une damnée, avec des gestes très amples. C’est un peu comme faire de l’équitation, mais en mieux ! Je me cramponnais à lui fortement, si bien qu’il me demandait parfois de relâcher un peu la pression. Les marques de griffure s’incrustaient dans sa cuisse ferme. Julien s’est ensuite mis à jouir dans un râle bestial. Il caressait tendrement mon dos du bout des doigts pour m’annoncer la fin des événements. Je me suis effondrée à côté de lui, tout en me caressant le clitoris du bout des doigts. Je n’avais pas nécessairement envie d’un orgasme mais je voulais conserver cette excitation sexuelle le plus longtemps possible.
« Tu sais quoi ? », m’a dit Julien, au bout de quelques minutes de silence : « Je ne me vois pas faire ma vie avec toi mais je ne me vois pas faire ma vie sans toi non plus. Reste célibataire Anaïs, s’il te plaît… reste-le, le plus longtemps possible. »
J’ai failli lui demander de parler avecma grand-mère.
(Photo à la une : Getty Images)
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