Cocu et content
7 août 2019Valentin, 41 ans, Hayange.
J’ai aujourd’hui 41 ans et mon épouse Sophie (son prénom de chienne) entre, pour sa part, dans la quarantaine. C’est une belle femme, qui attire le regard des hommes sur son passage. Il y a environ dix ans, nous avons souhaité avoir un enfant. Après de multiples tentatives restées vaines, nous avons pensé que j’étais stérile. Désirant plus que tout le bonheur de notre couple, j’ai suggéré à mon épouse de trouver un homme qui la féconderait. Elle m’a alors avoué y avoir songé, mais sans jamais avoir osé m’en parler. Elle m’a remercié. Nous aurions pu choisir le don de sperme, mais nous préférions connaître le véritable géniteur.
Désormais, elle avait mon feu vert pour entamer sa quête. J’ai fait confiance à son instinct. Elle a identifié dans son entourage des hommes qui lui plaisaient et qui étaient déjà pères. Puis, elle s’est décidée pour l’un d’eux, et nous sommes convenus elle et moi des rendez-vous durant lesquels elle s’offrirait à cet homme. Pour ma part, je ne concevais pas cette fécondation autrement que par un véritable rapport sexuel. Nous avons décidé que je n’assisterais pas à « l’accouplement », et que celui-ci aurait lieu dans le lit conjugal. J’ai invité Sophie à prendre le plus de plaisir possible et à ne pas se sentir coupable de quoi que ce soit, le mari que j’étais étant désormais un futur cocu consentant.
Pour le tout premier rapport « de fécondation », elle a choisi l’un de ses collègues de travail, marié et père d’un enfant. La veille de son rendez-vous, elle m’a demandé de la préparer en lui rasant la chatte totalement, ce que j’ai fait avec application. J’étais en érection, je la désirais follement. Mais elle s’est refusée à moi, prétextant qu’elle devait garder intact son désir sexuel pour satisfaire son premier amant, le père de notre enfant à venir. Elle m’a cependant branlé le membre jusqu’à l’éjaculation en m’indiquant que mon sperme stérile ne l’intéressait plus et qu’il pouvait donc s’écouler sur les draps !
Le lendemain, son collègue, qui ne se doutait de rien, est arrivé vers 14 heures à notre appartement pour prendre un café, répondant à l’invitation de mon épouse qui s’était habillée très sexy pour l’occasion. Pour ma part, j’étais au bureau, peu concentré et particulièrement excité. Sophie m’a raconté après coup. Son collègue n’avait pas résisté bien longtemps. Il avait vite compris que Sophie avait envie de baiser. Elle l’a entraîné dans notre chambre et s’est fait « mettre comme une vraie salope », pour reprendre son expression. Son collègue lui avait proposé, en homme avisé, d’enfiler un préservatif, mais Sophie a refusé, lui expliquant qu’elle adorait le sperme et qu’elle voulait en être remplie et couverte. Ça a bien excité notre reproducteur, qui ne s’est pas privé pour la sauter à sa guise. Il a éjaculé dans sa chatte deux fois au cours de cet après-midi de baise. Il y a eu de nombreux rendez-vous avec ce géniteur qui offrait de magnifiques orgasmes à ma femme. Selon Sophie, il était mieux membré que moi. Je voyais bien qu’au fil des mois, Sophie (toujours pas enceinte) prenait de plus en plus de plaisir à ces rendez-vous extraconjugaux.
Peu à peu, ce premier amant a fait de Sophie sa chienne et il est devenu son maître sexuel. Regrettant ses trop petits seins, il lui a ordonné de se faire opérer pour leur donner plus de volume, ce qu’elle a fait. Sur la suggestion de son maître, nous nous sommes même retrouvés un après-midi, à trois, lui dans la chatte de ma femme, moi branlé par elle, mais ma semence n’a pas eu le droit d’atterrir dans son vagin. Elle était « tout juste bonne à souiller les draps », selon mon épouse. Mais, après deux ans de rapports sexuels avec cet amant, la grossesse tant désirée n’était toujours pas arrivée. Sophie a donc décidé de sélectionner un autre géniteur, et elle a jeté son dévolu sur son chef. Ils se sont vus la première fois dans un hôtel, et Sophie m’a raconté qu’il l’avait bourrée dans tous les orifices, et qu’il lui avait confié en avoir rêvé pendant des mois. Il ne lui a pas proposé de préservatif, il n’en prenait jamais avec les salopes, lui a-t-il dit. Sophie s’était inquiétée du calibre de son chef ? bien plus gros que le mien et que celui de son collègue ? surtout qu’il l’avait pénétrée brutalement, sans le moindre préliminaire. Elle était parfaitement mouillée, dilatée comme jamais. Elle avait compris qu’elle prenait un plaisir immense à se faire défoncer et dominer par son supérieur hiérarchique, de dix ans son aîné.
Les rendez-vous se sont succédés, les uns après les autres. Entre-temps, il a bien fallu nous rendre à l’évidence : ce devait être ma femme, et non moi, qui était stérile. Nous avons alors décidé d’adopter une petite fille. Cependant, Sophie avait pris goût à ces rapports sexuels extraconjugaux. Elle m’a demandé si elle pouvait continuer ses aventures malgré son nouveau statut de maman. Je l’aime. Son corps lui appartient et je ne suis qu’un des locataires occasionnels de sa chatte. Et puis, je prends tellement de plaisir à ses récits ? La condition à ses infidélités ? que je l’encourage chaque jour à se montrer plus chienne encore. Quel bonheur d’être à la fois père, mari et cocu. Sophie, je t’aime !
(Image à la une : Getty Images)
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Cette salope de Cindy loin d’être vexée par cette punition va se faire baiser et enculer avec délice et avaler le foutre de ces punisseurs.