Goûts de luxe

La rédaction 24 juin 2021
Goûts de luxe

Bonjour, je m’appelle Pauline et, avec mon mari Alex, nous formons un très beau couple de la quarantaine. Nous avons tous deux une vie professionnelle très stricte, et rien ne permet de supposer ce que nous partageons dans l’intimité. Notre sexualité est à l’opposé de ce que nous laissons paraître à l’extérieur. Nous aimons le sexe, et notre couple ne se lasse pas de nouvelles expériences. Nous sommes très portés sur le voyeurisme et l’exhibitionnisme, sujet sur lequel nous délirons énormément. Aujourd’hui, je voudrais vous faire partager l’un de nos fantasmes. Nous imaginons souvent que je rencontre un monsieur très distingué et riche. Alex est excité à l’idée que je fasse bander un homme d’un niveau social élevé. Voici mon histoire porno.

Le luxueux fantasme

L’histoire que nous aimerions vivre : je suis au bar chic d’un grand hôtel, en train de boire un verre en écoutant une chanteuse, accoudée au piano. J’ai mis une longue robe noire fendue sur le côté jusqu’en haut de la cuisse, avec un immense dos nu drapé depuis la naissance des fesses. On peut ainsi admirer le tatouage niché au creux de mes reins. Je porte un collier sur mon décolleté qui, à chaque mouvement, permet de deviner que je suis seins nus. Je croise mes jambes longues et galbées qui finissent par des escarpins à talons aiguille, et la fente de ma robe les libère. Personne encore ne peut soupçonner mes bas-jarretières, et le string ficelle en dentelle noire qui dissimule ma douce intimité.

La musique est envoûtante. Je ferme les yeux pour mieux apprécier l’ambiance chaude et langoureuse qui s’installe dans la pièce. J’ouvre les paupières, et mes yeux sont happés par ceux d’un bel homme assis à quelques mètres de moi : il est vêtu d’un costume sombre et d’une cravate. Son regard ne me quitte pas, et j’y perçois le désir masculin. Je tourne la tête vers le piano tout en décroisant lentement mes jambes, puis je les recroise d’un mouvement très suggestif, qui laisse à mon admirateur quelques secondes pour imaginer l’intérieur de mes cuisses.

Il se lève et vient à ma table. Nous commençons à converser tout en nous regardant de façon appuyée, comme si chacun de nos regards était une caresse sur la peau de l’autre. Je sirote mon verre et je laisse mes lèvres glisser délicatement sur ses parois, tout en fixant mes yeux sur l’entrejambe de mon compagnon de table. Je descends ma main le long de mon verre, puis je la remonte d’un geste lent pour lui suggérer la manière dont je pourrais m’occuper de son membre. Il me propose de le suivre dans sa chambre et j’accepte. Nous longeons le bar, puis nous allons vers l’ascenseur. Sa respiration s’accélère. Je n’ose regarder les effets que je provoque dans son pantalon, mais je sais parfaitement qu’il est « en forme ».

Nous prenons l’ascenseur, nous sommes seuls. La porte se ferme, et il se rapproche de moi. Il pose ses mains sur mes hanches et les fait glisser sur le satin de ma robe jusqu’aux fesses, pendant que son visage se colle dans mon cou. Il respire mon parfum. Un petit râle sort de sa gorge, il pose ses lèvres sur ma peau. Il promène ses doigts le long de la fente de ma robe. L’ascenseur continue de monter, tout comme notre désir à tous les deux. Sa main ferme mais si douce se glisse sur ma cuisse pour en caresser l’intérieur. Ses doigts remontent jusqu’à mon entrejambe à la recherche de mon intimité. Je sens une chaleur suave envahir mon bas-ventre et, quand ses doigts touchent la dentelle de mon string, c’est un tissu humide qui les reçoit. L’ascenseur s’arrête, et nos corps se séparent.

La chambre de tous les désirs

La porte s’ouvre. Je le suis dans le couloir. Je marche lentement sur le côté, en dehors de la moquette, pour faire claquer mes talons sur le parquet. Il n’arrive même plus à parler, je sens qu’il avale difficilement sa salive. Il tremble légèrement quand il fait tourner la clé dans la serrure. Nous entrons dans la luxueuse chambre. Je vais directement vers le lit, avec ses draps en soie et ses coussins doux et colorés. Il enlève sa veste et s’approche de moi. Je le tire par la cravate et je colle mes lèvres à ses lèvres: je fais glisser ma langue et j’entortille la sienne comme un boa autour de sa proie. Je le déshabille pendant qu’il me caresse les épaules et les bras. Puis il descend sa main, pour reprendre où nous en étions dans l’ascenseur: je défais sa ceinture et son pantalon. Il introduit un de ses doigts sous la dentelle de mon string. Il le glisse dans ma chatte chaude et mouillée. Je sens mon liquide couler sur sa main. Son boxer tombe à ses pieds, laissant ainsi se dresser le membre épais que j’avais imaginé toute la soirée.

Je m’assieds sur le lit. Ma robe dévoile mes cuisses avec le haut des bas et les porte-jarretelles. Je saisis sa verge dans ma main, je commence par le caresser en douceur pour prendre totalement conscience de sa raideur. Il ferme les yeux pour profiter du massage que je suis en train de lui prodiguer. Sa respiration s’amplifie au fur et à mesure que j’accélère le mouvement. J’approche alors mes lèvres de son gland. Puis, le bout de ma langue entreprend d’explorer toute la longueur de ce sexe. En même temps, je fais glisser mes doigts sur ses boules. J’ouvre mes lèvres et je laisse sa belle verge entrer profondément dans ma bouche. J’entends un râle s’échapper de sa gorge pendant que je le suce.

Puis il se recule et pose ses mains sur mes épaules. Il sort de ma bouche pour descendre ma robe le long de mon corps. Le froissement de la soie sur ma peau me donne des frissons. Il approche ses lèvres de mes bouts de sein qui pointent. Je laisse un soupir s’échapper quand la moiteur de sa bouche enveloppe mon téton. Sa langue joue avec ma poitrine, sa main caresse mon ventre, puis le haut de mon sexe. Je me tortille de plaisir, et il comprend que je veux sa bouche plus bas. Il ôte mon string, et j’ouvre les jambes: il admire ma petite chatte si bien dessinée. Il écarte ma fente et approche son visage, hume mon sexe plein de désir. Je sens mon liquide se répandre sur ses lèvres et couler sur sa langue. Je ne sais plus où je suis tellement le plaisir me pénètre. Je commence à haleter, et mon corps se cambre sous le cunnilingus habile de mon partenaire.

Puis, il saisit son sexe et, après l’avoir enveloppé de latex, le présente à l’entrée de ma chatte trempée de salive et de mouille. Tout en me tenant par les hanches, il me pénètre d’un coup et laisse s’échapper un grand râle de bien-être. Nos corps sont alors rythmés par les va-et-vient de sa verge dans mon fourreau et nos petits cris de plaisir. La chaleur monte encore d’un cran, et mes sens sont au sommet de leur perception. Le moindre geste me fait frémir et me rapproche de l’extase. Mon partenaire me retourne, et j’offre à sa vue la rondeur de mes fesses tendues. Il caresse ma peau douce et ferme et me maintient par les hanches. Il réintroduit son sexe dans ma chatte. La respiration saccadée, il accélère le rythme. Je me cambre au maximum. Je devine que la vue de ma croupe sous ses assauts l’excite au plus haut point. Je me cramponne aux draps, et je sens la jouissance déferler en moi: je laisse mes cris de plaisir envahir la chambre et je suis vite rejointe dans ce bonheur par mon partenaire qui, à bout de souffle, éjacule en râlant.

Nous nous effondrons sur le lit, repus de tant de jouissance. Je laisse mon partenaire à ses souvenirs et je rejoins Alex, à qui je raconte en détail toute ma soirée. L’excitation est à son maximum et nous faisons l’amour sans retenue, et de toutes les façons, toute la nuit…

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