Consultation privée entre cousins
21 juin 2025Xavier, 25 ans, ne s’attendait pas à ce que sa cousine lui montre sa chatte pleine de mouille dans sa chambre !
Xavier nous fait part de son histoire de sexe amateur avec…sa cousine !
C’est à l’occasion des 80 ans de ma grand-mère que j’ai revu ma cousine France. J’étais à peine débarqué d’une petite dizaine d’heures de voiture pour arriver dans la Bretagne profonde quand je suis tombé nez à nez avec cette France que j’avais l’impression de découvrir pour la première fois.
Une blonde incroyable, avec des seins et des fesses bien ronds, le corps moulé dans une robe tout à fait inappropriée pour une réinterstron.ru de famille mais que mes hormones trouvaient tout de même fort à leur goût.
« J’ai un truc à te montrer »
Invitation dans sa chambre. Cette pensée lubrique était d’ailleurs terriblement gênante et j’essayais d’éviter ma cousine le plus possible durant la soirée. Après avoir dégustés de bons spaghettis et bu beaucoup de rosé, France, qui ne m’avait pas adressé un mot de tout le dîner, me demanda au creux de l’oreille : « Xavier, t’es bien en étude de médecine, non ? Cela ne te dérange pas de passer dans ma chambre ce soir, j’ai un truc à te montrer qui m’inquiète, j’aimerais que tu me dises ce que tu en penses… ».
Éméché, j’ai acquiescé bêtement, et je me suis retrouvé à 1 h du mat dans sa chambre poussiéreuse. « Bon, quoi alors ? », ai-je balancé à France en bâillant, en sentant le coup fourré arriver à mille mètres. Elle s’est mise à quatre pattes sur son lit et s’est déshabillée lentement, face au mur et au papier peint de mauvais goût.
Elle portait des dessous blancs d’une élégance rare – et à ce moment-là, j’ai su que j’étais sous son emprise.
Elle a retiré son string et m’a dit : « Regarde, mes petites lèvres dépassent à mort de mes grandes lèvres. Parfois, ça me fait mal quand la culotte frotte dessus. Tu penses que je dois tout couper ? ». Je me suis penché pour regarder de plus près les fameuses lèvres incriminées, et évidemment, je voyais des perles de cyprine suinter dessus, elle mouillait comme une petite dévergondée.
Une cousine très avenante
« Elles sont très bien tes lèvres, porte des strings moins serrés la prochaine fois… », ai-je sommairement conclu, tout en ne pouvant décoller le nez de sa petite chatte.
Je bandais comme un dingue, et évidemment, un rapide et léger palpé de l’entrejambe lui en a donné la confirmation. « Bah oui, en plus elles te plaisent, tu bandes. » Heureusement, elle m’a annoncé accepter me sucer pour « me décharger de toute cette tension » qu’elle avait provoquée en moi avec un petit air d’ingénue perverse.
Ce qu’elle s’est empressée de faire avec une impatience qui trahissait son envie. Elle m’a même tendu son ravissant minou pour que je puisse me décharger en lui. Je sais que je n’aurai pas dû, mais c’était tellement bon de sentir son vagin serré entourer ma bite que je n’ai pas réussi à m’empêcher de jouir (vraiment trop bizarre de faire ça entre cousins) et j’ai filé dans ma chambre, honteux de ce qu’il venait de se passer.
Depuis, elle se targue à toute ma famille que je lui ai fait « une consultation privée » sans jamais en préciser la nature. Mes parents pensent encore que c’est pour ses grains de beauté. Et moi je bande à chaque fois qu’ils en parlent ouvertement. Vivement les prochaines réunions de famille.
(Photo à la une : Getty Images)