Elle était bonne ?
29 juin 2023Laura, 24 ans, part en vacances avec les membres de son groupe de musique. Sur la plage, elle séduit un homme qui lui donnera du plaisir deux fois !
Je sais que je suis un peu jeune pour lire ce mensuel, j’ai 24 ans. Pour être tout à fait honnête, je l’ai découvert par hasard chez des parents d’amis et j’ai trouvé le concept de raconter ses histoires coquines très sympa. Alors je me lance : voici mon histoire de sexe !
Un départ en vacances
À côté de mes études, je suis chanteuse depuis deux ans dans un groupe de pop rock à tendance électro. C’est vraiment une expérience super et on s’entend bien. On a décidé de profiter de nos vacances pour partir ensemble près de la mer afin de trouver l’inspiration pour de nouvelles musiques. J’avais hésité longuement parce que je savais que Jean, un des membres, était un peu amoureux de moi, mais il ne m’intéressait vraiment pas. Il était à la fois pataud et vraiment pas très fin. Bref, j’ai quand même suivi le groupe, et Jean, comme je l’avais anticipé, n’arrêtait pas de me coller aux pattes.
Cependant j’ai réussi à ruser. Alors que nous partions tous ensemble à la plage, la guitare sous le bras, j’ai repéré un super beau mec, un peu plus âgé que la moyenne du groupe (je préfère les mecs matures aux petits jeunes). J’ai prétexté que je devais aller pisser, et dès qu’ils ont commencé à se désintéresser de moi, je suis allée parler au mec. Il était torse nu, vraiment canon, je me suis dit que je faisais peut-être une grosse connerie, mais en même temps j’avais envie de sexe et je ne me voyais pas coucher avec quelqu’un de la bande.
Un été « chaud » en deux parties
Je me rappelle encore de ma phrase d’accroche qui, avec le recul, était complètement débile : « Il fait chaud, non ? » On n’aurait pas pu faire plus banal. Il a été adorable et a su rebondir sur cette question. Nous avons discuté un petit peu, et je ne sais lequel des deux a embrassé l’autre le premier. Lui, sûrement. Je n’aurai jamais osé. Et il a bien fait, j’avais très envie de le goûter, de sentir son corps, d’avoir enfin une partie de baise sans retenue. On était à un endroit qui n’était que très peu passant, je l’ai donc débraguetté sans lui demander vraiment son avis, je l’ai sucé.
Il avait l’air un peu gêné, il caressait doucement mes cheveux et ma joue, mais je sentais qu’il n’était pas du tout à son aise. Il m’a murmuré à l’oreille : « T’en fais une partie ici et l’autre partie dans ma chambre d’hôtel ? Je ne loge pas loin de la plage… » J’ai acquiescé, la bouche pleine. Je le suçais comme une bonne goinfre, j’avais envie qu’il en trépigne d’impatience sur le chemin qui menait jusque chez lui. Je me suis arrêtée au bout de cinq minutes, satisfaite de cette petite mise en bouche.
Une deuxième partie en privée
La deuxième partie de ma fellation s’est déroulée dans sa chambre très bien rangée d’une vingtaine de mètres carrés, dans son hôtel moyenne gamme. Je sentais qu’il se lâchait beaucoup plus maintenant que nous étions à l’abri des regards. Il faisait des mouvements d’avant en arrière avec son bassin pour me l’enfoncer le plus loin possible. C’était assez excitant. Nous étions très silencieux tous les deux, concentrés sur notre tâche. Je savais que l’heure avançait et que j’allais très certainement me faire engueuler par mes amis, mais tant pis, c’était trop bon.
Au moment de jouir, il a carrément tenu ma tête entre ses mains, m’a forcée à ouvrir grand la bouche et à tirer la langue. C’était lui qui contrôlait complètement la pénétration et il n’y allait pas de main morte. Il l’enfonçait bien fort et la ressortait en entier. C’était un peu violent mais j’aimais ça. Je ne suis pas sûre que Jean aurait pu avoir autant de témérité. Il a fini par tout me gicler à la gueule. Je dois avouer que je ne m’y attendais pas vraiment, mais ça devait faire partie de son délire.
Retrouver le groupe
Je n’ai pas pris la peine de lui demander son prénom, j’ai couru dans la salle de bains me débarbouiller et j’ai rejoins mes amis un peu après.
Ils n’étaient plus à la plage. Je dois avouer que j’ai un peu paniqué mais je les ai tous retrouvé au camping dans lequel nous séjournions.
Comme je l’avais anticipé, j’ai eu le droit à de nombreuses remarques : « Ben alors, t’étais où ? Tu sais qu’on a paniqué Laura ? T’aurais pu nous prévenir que ton pipi allait durer le temps d’un après-midi… » Moi, je regardais mes pieds, honteuse.
Le coup le plus assassin a été donné par Jean : « Alors, elle était bonne ? » Je lui ai demandé s’il parlait de la mer. « Non, sa queue. »
Zut, grillée.
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