Le coaching qui dérape

La rédaction 23 septembre 2020

Cédric, 42 ans, va coacher une belle brune pour sa séance d’escalade qui va se terminer dans le dojo pour une baise musclée.

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Je m’appelle Cédric et j’ai 42 ans. Cheveux poivre et sel, yeux noirs, athlétique. Je suis prof d’escalade à Grenoble. C’est le bon plan pour rencontrer des meufs.

Depuis 6 mois, j’avais repéré une cliente du club de sport nommée Gloria. C’était une régulière, mais un autre prof la gérait. Je la trouvais vraiment super bonne : brune, 30 ans, un cul bombé de fou. Mais je n’allais pas marcher sur les plates-bandes d’un collègue. Le mois dernier, il est tombé malade. En consultant les plannings, j’ai vu que je le remplaçais… pour son cours avec Gloria. Je me suis dit : « Au top ! », mais j’avais plutôt en tête de la draguer et de voir si j’avais une ouverture. En fait, je me la suis envoyée.

Quand elle est entrée dans la salle, j’ai senti mes couilles qui remontaient. La garce portait un legging moulant et on lui voyait le cul et la chatte à mort. Ça faisait même une belle bosse joufflue sur le devant… Comme j’ai eu envie de la ramener dans mon vestiaire ! Mais je suis resté pro, au moins au début. Gloria m’a salué et j’ai expliqué qu’on allait faire tout comme avec son prof habituel. Échauffements, puis petite montée pépère. Elle avait un bon niveau, mais je devais faire un gros effort pour penser à l’assurer avec la corde, et pas juste à lui mater le cul…

À un moment donné, Gloria a fait une faute d’inattention et a raté sa prise. Quand elle a lâché la paroi et s’est retrouvée suspendue dans les airs, elle a crié : « Putain ! ». Puis elle a baissé la tête et m’a fait une petite moue sexy… Dans mon slip, ça dansait la java. Elle est redescendue et ensuite elle m’a tendu les bras, comme si elle avait besoin de moi pour se réceptionner… Je l’ai choppée au vol. En rigolant, elle a fait genre de tituber et m’a dit : « Coach, vous m’avez sauvée. » J’ai jeté un œil autour de nous. À l’autre bout de la salle, il y avait deux types qui montaient et un autre cours personnalisé, mais personne ne faisait attention à nous. Je me suis penché vers la belle et je l’ai embrassée.

Elle avait une haleine parfumée aux fruits rouges mais surtout, une langue de déesse. Quand elle s’est enroulée autour de la mienne, mes prunes ont fait un looping… J’ai décidé d’amener Gloria dans le dojo d’à côté, histoire de voir de quelle autre prouesse elle était capable. On s’est échappés discrètement de la salle d’escalade. Ça sentait la vieille transpiration dans le dojo, mais mon élève n’était pas gênée. Au contraire, cette séance interdite avait l’air de lui plaire : elle a trouvé une pile de tatamis et a sauté dessus, puis a tapoté à côté d’elle. « Coach, vous voulez bien continuer l’entraînement ? », a-t-elle dit avec sa moue sexy. Je me suis jeté sur elle, ne pensant plus qu’au renflement dans son legging.

On s’est embrassés comme des dingues, en même temps que je cherchais sa chatte dans son collant. J’ai senti que ses lèvres étaient encore plus charnues que ce que j’avais imaginé. Alors j’ai baissé le bout de tissus et j’ai allongé la belle pour la bouffer. Elle était non seulement charnue à souhait mais super réceptive… Je l’ai préparée un peu avec mes doigts, mais vu que l’on n’était pas seuls dans le club, je suis vite passé aux choses sérieuses. J’ai sorti la bête de mon slip et j’ai demandé à Gloria : « Tu la veux ? » Elle a tâté et ça lui a plu, alors elle a fait « oui » de la tête.

Gloria était le genre de meuf à décoller tout de suite. Quand j’ai foutu mon engin dans sa moule, j’ai dû lui plaquer la main sur la figure : la garce commençait déjà à gueuler !

Il faut dire que pour accélérer la manœuvre, en plus de mon chibre, j’avais foutu ma main entre ses cuisses et je lui avais calé un doigt. Il y avait la place, dans cette grosse chatte bien dodue ! Le fait de prendre une bite et un index a eu l’air de la satisfaire, tellement que même mon autre main ne suffisait plus à étouffer ses gémissements. J’ai bourré au max, en faisant trembler la pile de tatamis.

J’ai pensé à toutes les saloperies que je pourrais lui faire, à la Gloria, vu la profondeur de sa grotte. La baiser avec un gode géant ? Ou même la fister ? Je n’avais jamais tenté, mais l’idée de lui entrer un max de doigts dans la fente m’a surexcité. J’ai prévenu : « Je vais juter ! », et la cochonne a attrapé ma main, m’incitant à enfoncer un deuxième doigt. La folie totale ! J’ai joui de suite, le contact du sperme sur mon index et mon majeur décuplant l’orgasme. Gloria est venue juste après et il a fallu que je plaque ma main à mort pour qu’elle ne rameute pas tout le quartier.

J’ai chopé son numéro après son passage au vestiaire. Elle avait les joues roses et l’air ravie de sa séance. On s’est revus une première fois pour un resto et le prochain rencard aura bientôt lieu chez elle. L’occasion de la faire monter au ciel une nouvelle fois ?

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