La jouissance sexuelle retrouvée

La rédaction 10 juin 2020

Patrick, 35 ans.

Tiphaine n’est pas juste ma copine, c’est ma renaissance. Ma plus belle histoire de sexe Je vous explique ; j’ai actuellement 35 ans. Ce n’est pas très vieux, vous en conviendrez, mais c’est un chiffre assez conséquent quand on sait que cela représente autant d’années perdues.

Durant 10 ans, j’ai été en couple avec une femme qui n’aimait pas le sexe. Nous faisions bien l’amour de temps à autre, mais c’était dans la majorité des cas dans le noir le plus complet, et si j’arrivais au bout de négociations longues et fastidieuses à réclamer un bout de rayon de soleil à travers les volets, elle ne supportait que la position de la cuillère. Elle ne voulait pas me voir. Bien sûr, j’ai essayé d’en parler avec elle ; de la comprendre et de savoir si elle avait honte de cette activité, de « débloquer » ce que je pensais être un comportement « normal » d’être humain aimant le sexe. Mais elle, n’aimait rien. Ni le chant des oiseaux le matin, ni les desserts crémeux, ni le soleil d’un doux mois de juin, ni mon corps. Surtout mon corps.

Elle ne le disait pas explicitement, mais elle me le faisait savoir à sa façon, à travers des piques cinglantes – souvent quand nous étions seuls. Je n’ai jamais eu d’enfants avec elle et c’est tant mieux ! Il m’a fallu 10 ans pour la quitter et pour accepter de reconnaître que j’avais commis une erreur en m’engageant aussi longtemps avec elle (en particulier parce que je suis de nature fidèle). Et puis j’ai rencontré Tiphaine. Cette fille, c’est un rayon de soleil ! Nous avons quelques années d’écart, elle a tout juste 22 ans, mais elle est gorgée de vie. Dès la première nuit, elle m’a sauté dessus comme si j’étais une friandise !

Mon caleçon s’est envolé par la fenêtre – littéralement, je veux dire. Elle l’a balancé n’importe où, il a atterri dans le pommier des voisins. Nous avons explosé de rire toute la nuit, elle a voulu le planter dans l’herbe pour que pousse un « caleçonnier ». C’était n’importe quoi.

Son corps est incroyable et si beau. Il ne ressemble en rien à celui d’un mannequin que l’on peut voir dans les magazines, mais il est musclé et ferme, ses seins sont bien ronds et sa bouche est toujours légèrement entrouverte. Prête à tout déguster.

Sa lingerie est à son image : extrêmement diversifiée. Elle peut porter des petits strings en coton avec des motifs très enfantins un jour, et le lendemain, se promener dans un body en dentelle noire avec des escarpins. Ce qui avait le don de m’amuser à chaque fois qu’elle déambulait à moitié nue chez moi.

Elle suce de façon divine. Si je ne bande pas encore assez durement, elle glisse d’abord sa langue près de mes couilles pour attendre patiemment que ma tige s’érige. Elle y arrive à chaque fois. Si ma bite est déjà en érection, alors elle se plaît à se frotter dessus, dans un déhanchement outrageusement sexy. Elle aime aussi se masturber avec ma queue. En fait, elle coince ma bite entre ses deux doigts lubrifiés, et avec un autre doigt, elle masturbe son petit clito’ ou tout simplement elle frotte mon gland contre sa chatte.

Je peux vous dire qu’en 10 ans de vie commune, je n’avais jamais vu mon ex’ se masturber. Je la soupçonnais même d’ignorer l’existence de cette pratique. Tiphaine, elle, le faisait naturellement. Même quand elle était seule dans le lit, le matin pour se réveiller.
Elle n’y voyait aucune honte.

Cette fille me rend folle ! Tiphaine, si tu lis ces quelques lignes, sache que tu es pour moi une des personnes les plus importantes de cette planète. Et que je t’aime à la folie, toi, et tes masturbations matinales.

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La femme qui m’a fait jouir…

« J’ai même largement ouvert les jambes afin de lui faciliter le chemin. Elle a rapidement pris possession de mon intimité, glissant un puis deux doigts entre mes lèvres humides. Nous nous fixions du regard mais, étonnamment, aucun mot ne sortait de nos bouches. Nos corps se sont vite plaqués l’un à l’autre et nos langues se sont mêlées sans aucune retenue. J’ai laissé Gaëlle mener la danse. » Héloïse, 39 ans.

Au garde à vous !

« La présence d’une queue entre ses lèvres l’a apparemment beaucoup excitée, puisqu’elle a fini par monter sur moi, écartant les pans de sa jupe et dévoilant un sexe laiteux décoré de poils roux. Elle sentait bon la femelle… En tenant fermement ma queue par la base, elle se l’est enfoncée dans la vulve. Elle mouillait beaucoup. Là, j’ai senti son gros cul balloter de plus en plus vite contre mes cuisses pendant qu’elle me baisait… J’ai ouvert sa blouse et j’ai commencé à peloter ses seins aux larges aréoles rosées. » Eude, 69 ans.


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