Le fion de Sofia

Nanou Redacteur 11 juin 2022

André repère ses cibles à la bibliothèque. Les célibataires en manque de sexe ne lui échappent pas et le fion de Sofia découvrira un vieil homme bien actif

Bonjour, ici André, 61 ans, bientôt retraité. J’ai passé ma vie dans les bibliothèques municipales. C’est un lieu dans lequel je me sens vraiment bien. Non seulement parce que je suis un passionné de littérature mais aussi parce que je peux mater. Sans vraiment que l’on s’en aperçoive, les femmes de tout âge qui viennent s’asseoir lire un livre le temps de quelques minutes, quelques heures.

Je repère toujours celles en couples et les célibataires. Ma technique ? Les célibataires regardent leur téléphone toutes les cinq minutes. Elles vérifient un message de leur amant. Elles postent des trucs stupides sur les réseaux sociaux. Elles se connectent à une appli de rencontres… bref, elles sont clairement mal à l’aise avec leur solitude.

Une lectrice coquine

Alors que les femmes mariées sont bien contentes d’avoir une occasion de mettre leur téléphone en silencieux et de s’échapper de leur quotidien chargé à travers les livres. J’ai donc de cette façon que j’ai rencontré Sofia. Elle avait 48 ans, belle femme brune aux cheveux longs et bouclés qui lui tombaient dans le dos comme une magnifique traine.

Elle portait un manteau pervenche très élégant et consultait de manière frénétique son smartphone. Si bien qu’elle en faisait presque tomber sa pile de livres en passant près de l’accueil. On était dimanche, ce n’était pas le boulot qui l’accaparait autant. C’était évidemment, un de ses prétendants qui devait lui envoyer un petit mot… ou qui ne lui répondait pas.

Alors, j’ai tenté une approche au moment où elle passait ses livres. Je lui ai dit que les passages coquins des romans d’amour n’étaient pas si bien écrits que ça. Enfin, je voulais surtout avoir son avis. Elle m’a souri, et la semaine d’après, en repassant me voir, elle m’a dit que j’avais raison ! Qu’elle préférât quand les parties de jambe en l’air étaient décrites de façon plus musclées… bingo ! J’ai su que j’avais fait mouche.

Discussion érotique entre connaisseurs

Après quelques semaines à se tourner autour, de cette façon, elle a fini par se laisser tenter par un café. Puis par un dîner, chez moi. Aux chandelles. Je voulais lui faire revivre les histoires d’amour qu’elle vivait au fil des pages des romans qu’elle empruntait à la bibliothèque.

Jouer le grand prince chevaleresque qui vient la délivrer de sa solitude. Je voulais réveiller en elle la tigresse qui se cache, bien certainement. Je crois que Sofia a été sensible à ma cour, très vite, avant même le dessert, elle m’a laissé l’embrasser.

Poser sur sa langue la mienne, et mélanger dans tous les sens notre salive. Elle avait une haleine formidable, fraiche, un peu avinée, fruitée. J’ai tenu son menton entre mes doigts, et avec mon autre main libre, j’ai dégrafé les boutons de son corsage.

Sa poitrine était encore bien galbée pour son âge, même si je sentais bien que son soutien-gorge push-up y était pour quelque chose. Je l’ai porté dans mes bras, j’ai monté les escaliers, jusque ma chambre. Depuis mon divorce, j’ai conservé une maison sur deux étages, trop grande pour moi seul.

De la lecture aux actes

Mais ça faisait son petit effet quand j’invitais une nana. Sofia a tout de suite trouvé ses marques sur mon lit. Elle s’est allongée sur le dos, ses longues jambes bien ouvertes, sa chatte était dégoulinante.

Clairement, cela devait faire longtemps qu’elle n’avait pas baisé tellement elle était chaude comme de la braise. J’ai d’abord pris le temps de bien laper sa fente, ma langue est rentrée au contact des notes acides et amers de sa mouille. Puis, j’ai enfilé une capote et je l’ai pénétrée d’un bon coup bien sec.

Je lui ai murmuré des cochonneries à l’oreille : « Alors, comme ça, tu vas chez des inconnus et tu aimes te faire prendre ? » « T’as vu comme tu es mouillée ? On entre en toi comme dans du beurre… » Ça l’a faisait encore plus gémir, tous ces mots crus.

Les femmes aiment tellement les phrases, les intonations autoritaires, les exclamations… Elle a fini par jouir alors que j’avais ma bite encore en elle. Heureusement, car je crois que je n’aurai pas pu la limer plus longtemps. J’ai joui à mon tour dans le préservatif de latex. Et nous avons terminé cette délicieuse soirée par une lecture bien trash du Marquis de Sade, à poil, dans mon lit.

A 61 ans, la vie sexuelle est loin d’être finie !

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