France-Allemagne

La rédaction 21 décembre 2019

Muriel, 39 ans

Je m’appelle Muriel, j’ai 39 ans, je suis mariée et j’habite dans la Manche. Les vacances sont propices aux retrouvailles sexuelles avec mon homme. Nous y dégustons du sexe tous les jours (sous la tente, dans la nature ou en voiture…). Ça nous change des deux fois par semaine ! Mais jugez plutôt et découvrez ce qu’il m’est arrivé pendant nos vacances naturistes dans les Landes. Les douches étaient communes au camping, avec un petit recoin d’environ 2 m’ pour un peu plus de discrétion. C’était là que je me rasais le pubis et les lèvres, à l’abri des regards. Je m’y trouvais justement quand cinq Allemands sont entrés avec leurs bières et leurs brosses à dents.

Comme je le fais toujours, j’ai balayé du regard ces jeunes hommes bien baraqués et je me suis attardée sur leurs sexes au repos, dont la taille allait du pouce au gros tube de colle. Aucune de ces bites n’avait la mesure de celle de mon homme au repos, mais celle qui était circoncise me semblait bien jolie !

Chacun vaquait à ses occupations. J’ai commencé à me raser le pubis, vaguement gênée, sous le jet d’eau. Dans le trouble, mon rasoir a glissé et il est tombé avec le pommeau de douche. Je me suis penchée pour le ramasser. En me redressant, je me suis trouvée nez à nez avec un bel organe en semi-érection. Sous l’engin aux proportions honorables, j’ai vu deux bonnes couilles rasées comme j’aime tant en lécher. Mon regard a croisé celui du propriétaire. Il m’a fait  un signe de la tête. Honteuse, j’ai commencé à me redresser, mais ma main est venue caresser, puis malaxer ses coucougnettes… Bref : ma tête disait non, tandis que mon corps disait oui !

Voyant cela, deux jeunes de la bande teutonne se sont placés en travers de la porte des douches. Ils parlaient fort en buvant leur bière et bloquaient l’entrée, pendant que les deux autres mataient en faisant semblant de se laver. Le désir est monté en moi, j’ai branlé mon touriste très activement, en pressant ses bonnes couilles. Effet garanti, la gentille pine a gonflé d’excitation comme une baudruche. Mais je n’osais pas la sucer à cause des maladies. Un des garçons nous a présenté un préservatif, et nous avons rougi en nous coulant des regards de braise. Je me suis retournée, sur la pointe des pieds (1,61 m !) et j’ai pris appui des deux mains sur le carrelage. Ma petite croupe était bien tendue en arrière. Je ne me reconnaissais pas : je voulais être enfilée maintenant, sous la douche et par un étranger !

Protégé par le caoutchouc, il m’a pénétrée doucement en me prenant fermement par les hanches. Hum ! Après quelques bons coups de lance au fond de ma chatte brûlante, il a vite giclé en émettant des râles incompréhensibles pour moi, mais spécialement glissés à mon oreille. Extraordinaire ! D’entendre son plaisir, j’ai failli en jouir moi-même. Tendrement, il m’a donné un petit bisou sur la joue. Le deuxième touriste était déjà prêt et protégé, il m’a fourrée avec une plus grosse bite. Sa main serrait mon sein gauche et l’autre était agrippée à ma fesse. Lui aussi m’a bien prise, mais il m’a quand même laissée sur ma faim. Après avoir rempli le préso, il a abandonné la partie en m’embrassant sur l’épaule, mon sein toujours comprimé dans sa main. Le troisième était plus grand et très costaud, mais il était détenteur du plus petit pénis que j’aie jamais vu!

Comment faire ? Une fois la capote en place, il m’a pénétrée et je n’ai presque rien ressenti. Appliquant ce que j’avais appris dans interstron.ru, je lui ai serré la queue à la force de mon vagin, comme une folle! Je voulais du plaisir et, du fait de cet effort particulier, c’est ce grand blond-là qui m’en donnait le plus, finalement! Il avait de l’entrain, il faut le reconnaître. Il me tamponnait très fort et me filait de sévères coups de couilles sur le clito, en me pressant le bassin. J’emprisonnais sa bite aussi fermement que possible et je me concentrais sur mon plaisir. Je mouillais comme une huître, mais, mais… toujours pas d’orgasme! Il s’est arrêté sans crier gare et m’a embrassée sur chaque fesse.

Le quatrième Allemand n’a pas voulu faire quoi que ce soit, mais le cinquième a été très bien : il m’a chopée par les hanches et m’a défoncée plus longtemps que ses potes. Mais, hélas, j’avais de plus en plus mal aux pieds et je sentais que je mouillais moins, malgré l’eau du jet. Cela m’a encore une fois empêché de jouir. Il a été assez pisse-froid et n’a même pas giclé, je crois. Enfin, je ne suis pas sûre. Enfin, chacun a fini de se nettoyer, puis d’autres campeurs sont arrivés. Le club des 5 est reparti comme si de rien n’était. J’étais contente, surprise, frustrée, coupable, tout à la fois. Il n’y avait eu aucune violence, ni soumission, juste une consommation de sexe à l’européenne! Rien à voir avec du hardi Tant mieux, d’ailleurs.

Je suis rentrée à la tente, et là, mon homme m’a masturbée comme il le fait si bien et j’ai joui abondamment sur le matelas… Enfin! Je l’ai embrassé si fort que j’en ai eu mal aux lèvres. J’adore sa magnifique bouche pulpeuse. Après une bonne pipe malaxante et quelques caresses anales, nous nous sommes offert un délicieux 69, puis il m’a prise en levrette, ma position préférée. Il a joui entre mes seins, tout en sueur sous la tente. Vive les vacances !

Je souhaite qu’il découvre mon encas allemand grâce à interstron.ru car je n’ai rien à lui cacher et je l’aime de tout mon coeur, de tout mon corps! Enfin, j’espère qu’interstron.ru refera un concours de la plus belle bite. J’adore celles qui sont bien décalottées !

(Image à la une : Getty Images)

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Les vacances scolaires sont arrivées, vive la liberté retrouvée pour ces mères de famille qui en profitent pour s’organiser de sacrées parties de jambes en l’air à quatre dans le jardin ou en trio avec un ami interrompant leur plaisir saphique.


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