Matin bonheur 

La rédaction 20 janvier 2021

Après une nuit torride avec sa femme et un autre homme, Pierre, 50 ans, démarre sa journée par un superbe triolisme.

Sept heures ! Je me suis réveillé, tout était calme. Le soleil occupait déjà la chambre. J’ai repensé à cette folle nuit quelle vais vous raconter dans cette histoire de sexe. Quelle joie de jouer à trois dans ce grand lit, avec Lila ma chérie, la cinquantaine comme moi, et cet homme, ce « vieux beau » rencontré sur un site libertin. Il s’appelle Henri. Un homme doux et intelligent qui a su rapidement gagner la confiance de Lila. Un séducteur en fait, qui m’avait plu à moi aussi. Quelle nuit !

Je n’aime pas trop traîner au lit le matin et je m’apprêtais à me lever quand, juste avant de bouger, j’ai senti un léger mouvement des draps. J’ai regardé vers les deux corps étendus à côté du mien. Henri et Lila me tournaient le dos, tout en restant silencieux. Ils se donnaient du plaisir dans le calme matinal… Tous deux allongés dans la position des petites cuillères, je ne voyais que le dos du mâle. A leurs souffles, à ses muscles bandés, j’ai deviné le sexe de Henri bien planté dans la chatte de ma Lila.

Les draps m’ont confirmé un va-et-vient lent et régulier.
 Hier, dès qu’elle l’a vue en érection, Lila avait apprécié cette jolie queue. Plutôt fine, mais longue et bien dure. Alors ce matin, elle ne se faisait pas prier pour se faire prendre ainsi par-derrière. Elle lui offrait son joli cul et sa nuque. Henri prenait les deux. Sur la nuque, il a posé ses lèvres et son souffle, dans son cul, il a enfoncé sa belle bite. Ils étaient tranquilles. Je n’arrivais même pas à être jaloux, car j’adorais que ma chérie prenne ce genre d’initiatives et qu’elle se fasse ainsi plaisir…

Je suis sorti du lit et eux ont compris qu’ils pouvaient continuer…

Quand je suis repassé devant la chambre, ils avaient à peine bougé. Ma compagne a posé sa main sur les fesses de Henri pour lui faire comprendre qu’elle le voulait encore. Il caressait les seins et le ventre de Lila. L’envie de les rejoindre a été plus forte. Toujours en silence, je me suis glissé sous les draps avec eux.

Allongé face à Lila, qui était toujours étendue sur le côté, je la regardais se faire prendre par son nouvel amant. J’ai soulevé la couette pour les découvrir à la lumière du jour. Derrière elle, le corps de Henri ondulait, et à chaque coup de bite porté, ma belle arquait un peu plus son corps contre lui pour le recevoir en elle. Sans quitter des yeux le spectacle de leur baise en cuillère, j’ai baissé mon caleçon pour me mettre à me branler. Pendant que je me paluchais, j’ai glissé quelques doigts dans la bouche de ma belle, entrouverte en raison du plaisir qui la traversait. Comme elle était chaude ! Sa large poitrine dégoulinait sur le drap dans sa luxuriante sensualité. J’ai tendu les mains pour lui toucher les tétons et lui masser les pointes de seins. Derrière elle, la queue de Henri continuait de la pilonner.

Le visage de Lila partait en arrière sous l’intensité du plaisir. Son cul se cambrait en arrière pour sentir la queue de son amant, puis elle bougeait le bassin vers l’avant pour aller à la rencontre de mes doigts qui lui titillaient le clitoris. Les mains de Henri l’entouraient à présent et ont pris le relai sur les miennes pour lui tripoter les seins. J’adorais la partager quand c’était pour la voir prendre autant son pied ! Et surtout, je savais qu’elle m’en serait reconnaissante… Les mains d’Henri donc massaient ses tétons pendant qu’il la baisait encore et moi je m’occupais de son clito, et la belle était de plus en plus bruyante dans son plaisir.

Elle était tellement ouverte qu’elle nous a demandé de tenter une double pénétration. Prise entre nos deux corps puissants, nous l’avons soulevée du matelas et elle a basculé sur moi en amazone pour me prendre dans sa chatte tandis qu’Henri s’enfonçait délicatement dans son cul.

Ma Lila tremblait de tous ses membres. Voilà qu’elle avait deux grosses bites bien plantées en elle, rien que pour la satisfaire ! Elle n’avait qu’à bouger les reins pour nous recevoir tour à tour plus fort dans l’un de ses orifices et jouer sur l’intensité du plaisir. Son corps au-dessus du mien exultait, je sentais sa chatte convulser et son amant devait aussi sentir les contractions d’extase dans son cul, c’était inévitable. Henri et moi nous regardions parfois, complices dans le plaisir que nous lui procurions. Nous l’avons baisée en jouant de nos queues et Lila, ballottée entre les sensations par ses deux trous, se laissait complètement aller à la jouissance qui l’a envahie.

Des cris ont retenti dans toute la maison, ceux de ma belle et ceux de deux hommes comblés.

A LIRE AUSSI :

Charles à toute heure

Jeux coquins avec ma femme 

Un trio magique

À propos de l’auteur

La rédaction


Réagir à cet article

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

interstron.ru