All in !

Nanou Redacteur 11 janvier 2022

Aymeric, 38 ans, réalise les fantasmes de sa femme en la partageant. Le candauliste s’arrange pour miser sa femme lors de parties de poker !

Strip-poker avec Mélanie histoire érotique

Lise, ma petite coquine de femme, a toujours eu un faible pour les grands hommes chauves et il se trouve que l’un de mes partenaires de poker l’est. Nous ne jouons jamais pour de l’argent, celui qui perd paie les tournées c’est tout.

Comment m’est venue l’idée de jouer ma femme lors d’une partie ? C’est elle qui me l’a soumise ! Je suis donc parti rejoindre mon cercle avec l’autorisation de miser ma propre épouse, avec son consentement, à la condition que je me retrouve en finale avec Monsieur calvitie. Ça n’a pas trainé, la dernière partie s’est effectivement conclue face à Jean-Yves crâne d’œuf. J’avais un brelan de valet, j’étais confiant, lorsque les cartes de mon partenaire se sont retournées, patatras ! Il avait dans sa manche un full aux rois par les sept ! J’étais refait. Les jetons ont été comptés et les scores inscrits dans notre carnet de bord (nous ne jouons jamais pour de l’argent) et rendez-vous a été pris le surlendemain chez nous, dette de jeu, dette d’honneur.

Faites vos jeux

Le « gain » attendait dans le salon. Lise était allée chez le coiffeur, son carré blond lui donnait un air encore plus sexy et elle avait opté pour une nudité simple mais ravageuse. En position du lotus sur le canapé, les yeux fermés, elle attendait les premières caresses. J’ai glissé un doigt le long de son sillon, elle était déjà trempée.

Jean-Yves avait carte blanche. Il s’est déshabillé entièrement lui aussi. Il bandait déjà bien dur et j’ai pu constater que la légende concernant le membre des chauves était vraie. Il était bien monté le bougre.

Il s’est approché de Lise, toujours paupières closes dans sa posture de yogi en pleine méditation. Il l’a longuement mirée comme on scrute les téléviseurs dans une grande surface avant de faire son choix. Son regard s’est appesanti sur les petits seins de ma beauté, sur ses hanches finement dessinées, enfin il a porté la main à la rencontre de sa peau.

Le petit corps imberbe a frissonné, contact d’un tiers longtemps fantasmé, longuement réfléchi, terriblement désiré et craint tout à la fois. Bien évidemment, Lise avait la possibilité de tout arrêter à n’importe quel moment. Mais je la savais aussi curieuse qu’excitée.

Une belle main

Jean-Yves l’a prise par la main, elle a ouvert les yeux, l’a regardé, queue comprise, m’a regardé, sourire complice, son amant lui plaisait.

Elle s’est laissé guider vers le grand coffre qui orne notre salon pour y grimper à quatre pattes. Obéissante, Lise s’est exécutée, ouvrant bien son cul à notre invité. Comme convenu j’ai commencé un petit shooting, histoire de pouvoir revivre la scène plus tard, garanti d’un coup de fouet à la libido les soirs de fatigue.

La tête de Jean-Yves s’est enfouie dans la raie fessière de ma dame. Je lui avais donné quelques clefs érotiques concernant Lise. L’anulingus en fait partie. Il a léché son petit trou débordant de sa langue généreuse sur la chatte déjà bien trempée. J’entendais les bruits de succions et d’aspiration mêlés aux premiers gémissements.

Il l’a prise directement, juste là, dans notre pièce à vivre. Le coffre grinçait tant son énergie à baiser Lise était terrible. Je tournais autour comme une âme en peine, impossible d’avoir un bon angle pour photographier ce magnifique chibre en train de défoncer mon épouse. Qu’à cela ne tienne, Jean-Yves a tout de suite compris et a fait grimper Lise sur lui. J’ai vu sa petite main emprisonner le bâton pour se le glisser dans la chatte bien ouverte. Une merveille, séductrice et sensuelle comme je l’aime. J’ai même filmé la scène en sortant ma bite pour me branler. Lise a joui, un long cri, se mordant les lèvres et ses cuisses tremblant tant la puissance de l’orgasme la secouait.

Le jeu de la croupière

La suite s’est déroulée dans la chambre. Je lisais dans les yeux de ma déesse qu’elle avait faim de cette grosse queue. Ça n’a pas raté, à peine Jean-Yves était allongé sur notre lit qu’elle se jetait sur ce sucre d’orge pour le lécher et le pomper. Comme j’aime tant qu’elle me fasse ça. Visiblement le traitement a plu à notre ami qui a quand même attrapé les hanches de Lise afin de glisser sa tête entre ses cuisses. S’en est suivi un soixante-neuf endiablé. Ma femme ouvrait une bouche démesurée afin d’accueillir la longue hampe blanche au fond de sa gorges. Sa salive coulait sur les couilles plus sombres.

Ils se sont mangés ainsi un bon moment, j’ai eu tout le loisir de prendre pas mal de clichés, Lise en face sitting, étouffant presque Jean-Yves en lui appliquant sa chatte sur le nez et la bouche… Je ne sais combien de fois elle a joui par la langue de notre ami. D’un autre côté, lui paraissait insatiable et d’une endurance digne d’un sportif de haut niveau. À aucun moment son gros membre n’a perdu de sa superbe et après avoir épuisé Lise par ses cunnis dévastateurs, il l’a prise en missionnaire.

La grosse… blind

Jambes bien relevées, Lise lui a enfilé une capote. Le gland s’est glissé tout seul dans la fente. Il a agacé le clitoris de ma douce puis s’est fondu en elle avec douceur. Après l’épisode de la malle, c’était beau de le voir faire l’amour à ma femme avec cette tendresse. Lise est plutôt longue à jouir mais ce soir-là, entre le contexte, la qualité de son amant et moi qui prenais des photos… Elle a atteint le nirvana pour la énième fois en quelques minutes.

J’ai quand même tenu à ce qu’elle le chevauche une dernière fois. Je voulais avoir son petit trou et son abricot avalant la belle tige. Lise n’a pu jouir une nouvelle fois mais elle a bien vu que son coup de rein faisait de l’effet à Jean-Yves. Dès qu’elle a senti les prémisses dans la crispation des traits de Jean-Yves, elle a amplifié ses mouvements lascifs et lui a dit qu’elle voulait qu’il crache son foutre sur sa poitrine.

A genoux, elle a sucé de nouveau notre partenaire d’un soir. Incroyable ce que son érection était toujours aussi dure. Elle l’a branlé de plus en plus vite, de plus en plus fort, et la source a jailli. De longs jets blancs et collants sont venus zébrer les seins de Lise. Une larme est même tombée pile sur son téton gauche. Sexy au possible, elle l’a prise au bout de son doigt et a goûté ce sirop crémeux.

Notre petite histoire s’est évidemment ébruitée, depuis je joue Lise tous les mois et devinez quoi ? Je perds toujours ma dernière partie !

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