Patiente en chaleur

La rédaction 16 avril 2024

Alain, 55 ans, Igny, couche avec une jeune patiente qui ne peux plus se retenir de baiser.

Je ne donne pas dans la tuyauterie, mais dans la kinésithérapie et, même si l’on a l’image d’Épinal du plombier dans les pornos, on ne se doute pas des opportunités du personnel paramédical ! Y compris pendant le confinement, époque dont datent ces photos avec Salomé. J’ai effectué des visites à domicile, la solitude pesait et la misère sexuelle commençait de menacer certaines de mes patientes. Heureusement, je suis un praticien très à l’écoute et je n’hésite pas à « déborder » du cadre. Voici mon histoire de sexe.

Une jeune patiente en chaleur

Lorsque je suis arrivé chez elle, j’ai rapidement diagnostiqué … rien ! Elle ne souffrait nullement, mais elle a prétexté un lumbago pour me demander d’y regarder de plus près. Nous étions dans son jardin, sans vis-à-vis, elle m’a dit « Bon, t’es comme un docteur hein ? On ne va pas commencer à faire des chichis ! » et elle a dénoué le lien de son chemisier qui, déjà, ne retenait pas grand-chose de son énorme poitrine, même attaché ! Lorsque ses seins se sont retrouvés à l’air libre, je n’en croyais pas mes yeux, cette fille a moitié moins que mon âge, mais nos échanges de regards m’ont fait clairement comprendre que cela n’était pas un problème. Elle s’est avancée vers moi et m’a débraguetté avec un naturel qui m’a fichu une gaule terrible dans la seconde. Je bandais à en avoir mal à la pine, les rôles se sont donc inversés et c’est Salomé qui a joué au docteur.

« Oh, mais qu’est-ce que je vois-là ? Mais c’est très gonflé, dites-moi ! Laissez-moi regarder ça de plus près, je vais vous examiner. Pouvez-vous prendre des photos je vous prie pour documenter mes recherches ? » J’ai saisi mon portable et elle m’a mis la flûte à l’air en fronçant des yeux, rapprochant de plus en plus son visage. Le verdict est tombé. « Mais c’est un œdème, il faut drainer ! » et elle a enfourné ma queue dans sa bouche. Elle me suçait en mode gorge profonde, tellement profonde qu’elle a salivé jusqu’à ce que ses énormes nibards soient trempés. Elle me masturbait de temps en temps pour reprendre son souffle et me pompait à nouveau. La taille de ma bite a été un atout lorsqu’elle l’a glissée entrer ses globes au volume impressionnant pour une branlette espagnole qui a failli me faire gicler.

Elle a fini par ôter sa jupe et s’est installée sur un transat à côté de nous, les jambes relevées, sa belle chatte toute rose déjà humide et ouverte. Je n’ai eu qu’à ployer légèrement les cuisses pour amener mon gland à l’orée de son vagin et pousser d’un coup. Je l’ai pénétrée de toute la longueur de mon membre. Elle a lâché un cri, j’ai eu peur de lui avoir fait mal, mais les gémissements qui ont suivi m’ont largement rassuré. La frêle assise sur laquelle nous baisions ne m’a pas permis de lui envoyer tout ce dont je suis capable, ça grinçait autant que ça geignait, mais la belle brune a joui en se pelotant les miches. Elle les triturait sans ménagement ce qui m’excitait encore plus.

Par-derrière

Je lui ai demandé de se redresser pour la prendre par-derrière et elle m’a aussitôt présenté son cul bien ferme, une main écartant ses fesses pour libérer le passage. Mon chibre foncé aux veines saillantes jurait avec sa peau blanche et lisse. Ma colonne s’est enfoncée délicieusement dans ses chairs et, cette fois-ci, j’ai pu la démonter tout à mon aise en lui mettant un pouce dans l’anus. Elle a poussé de petits couinements de satisfaction quand elle m’a senti m’intéresser à son oignon et j’ai balancé des coups de reins jusqu’à ce qu’elle ait un second orgasme. Ses seins ballottaient de gauche et de droite, je n’avais d’yeux que pour ses grosses loches qu’elle m’a donné à sucer ensuite tandis qu’elle me branlait en gestes rapides et réguliers.

Cette fille avait du feu dans les mains, du feu partout, elle se touchait les mamelons, se doigtait la chatte en relevant une jambe pour me montrer comme elle se faisait du bien, sans cesser de me masturber pour finir par tomber à mes pieds et me dévorer la bite. Ses va-et-vient se sont enchaînés, il y avait quelque chose de machinal dans sa façon de faire pourtant elle n’oubliait pas de caresser mes couilles, de les malaxer doucement. Puis elle a passé son avant-bras sous ses ballons, cela les a remontés et les a fait se serrer l’un contre l’autre, elle voulait que j’éjacule là. Je ne me suis pas fait prier, j’ai concentré mon attention sur les mouvements de sa main et ses montgolfières qui bougeaient comme de la gelée et c’est venu d’un coup. Un premier jet, suivi d’autres, plus puissants, j’ai barbouillé ses deux merveilles de traits de foutre crémeux.

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