Le charme de l’ancien

Le charme des années 80 ! Nous avons passé un week-end avec David, mon époux, chez un de ses amis, Marcel. C’est un monsieur âgé adorable, toujours souriant et … très vicieux ! Je suis du genre volubile pour le sexe et quand David me baise, je perds toute notion de discrétion. Sa queue, sa langue, ses doigts sont de vraies merveilles et me font jouir à m’en arracher les cordes vocales. La première nuit, nous avons fait l’amour et je n’ai pu me retenir. Au petit matin, c’est un hôte bandant sous son pantalon que j’ai trouvé dans la cuisine. Il m’a avoué m’avoir entendue gémir et qu’il avait envie de moi. J’ai refusé ses avances, mais j’en ai parlé à mon mari et voilà ce qu’il a fait : il m’a ôté ma culotte, il m’a léchée jusqu’à l’orgasme et a essuyé ma chatte avec. Puis il m’a abandonnée cul nu sur le bord du lit et est descendu offrir mon tanga à Marcel. Je l’ai clairement écouté lui dire qu’il pouvait se branler en la humant et que nous lui réservions une surprise pour le soir. Voici mon histoire de sexe.

Un fantasme vicieux très excitant

Qu’est-ce qu’il pouvait bien avoir en tête… ? Après le dîner, nous avons quitté Marcel assez vite, et quand mon homme m’a allongée sur le lit pour me faire minette, j’ai eu un doute sur le fait qu’il avait bien fermé la porte de notre chambre. Lorsqu’elle s’est entrebâillée pour laisser passer la grande silhouette de Marcel, j’ai eu la réponse à ma question. Un gros reflex dans les mains, je l’ai vu entrer en silence et me balancer un clin d’œil complice, David a levé son visage entre mes cuisses pour regarder ma réaction, il savait bien que je suis totalement exhibe et qu’être photographiée pendant que nous nous envoyons en l’air était un de mes plus vieux fantasmes.

J’ai appuyé la tête sur l’oreiller et j’ai écarté les jambes pour me laisser brouter le minou tout en posant lascivement pour notre cochon d’hôte. J’ai joui quasi immédiatement tant j’étais excitée, je me suis même mise en scène dans un rêve érotique dans lequel je suçais Marcel, resté très bel homme, pendant que David me léchait.

Ma chatte était trempée d’un cocktail de mouille et de salive, me foutre jusqu’aux couilles a été un jeu d’enfant pour mon époux. Il m’a baisée, je devrais plutôt dire qu’il m’a démontée en missionnaire ! Il a employé une énergie dans ses coups de reins que je ne lui avais pas connu depuis longtemps. Je sentais battre ses bourses lourdes sur mon petit trou, c’était délicieusement décadent, surtout avec notre reporter photo qui nous tournait autour, presque à nous toucher parfois.

Il a émis un vœu à demi-mot, demandant si cela me dérangeait de chevaucher ma moitié. L’amazone étant une position dans laquelle je jouis très facilement, j’ai accepté avec une certaine malice, prenant grand soin de bien ouvrir mes jambes à chaque mouvement pour que Marcel ait tout loisir de mater mon intimité la plus secrète. J’ai un beau fessier et David n’arrête pas de me répéter qu’il est fou de ma chatte et même de mon anus, je vous jure, les hommes sont dingues parfois !

Un orgasme sauvage et explosif

Je me suis à mon tour engagée dans un rodéo des plus sauvages, je soulevais mon petit cul, écartant au maximum mes globes, je sentais le regard de l’objectif et de son maître derrière moi, cela me dévorait les entrailles. Lorsque David m’a claquée et enfoncé un doigt dans l’œillet, j’ai perdu le contrôle et j’ai eu un orgasme explosif. Il n’arrêtait pas de me dire comme j’étais belle et qu’il aimait que je sois sa salope, ainsi offerte aux yeux de son ami.

Mais tout cela ne suffisait pas à ce dernier. Ayant compris qu’il pouvait me diriger à la façon d’un professionnel avec son modèle, il m’a demandé de me tourner, toujours la queue de David fichée en moi, afin de mieux voir la pénétration et surtout de profiter de mes menus nibards bien fermes qui gigotaient de gauche à droite à mesure que je prenais du rond.

Les mains en appui sur le lit, je me suis amusée un moment avec le bout du gland de David avant de le laisser coulisser en moi jusqu’à la garde. Je mouillais de plus en plus et je me suis abandonnée une troisième fois en serrant si fort mon vagin que cela a fait éjaculer mon homme ! Dommage, j’aurais bien voulu avoir des photos de son jet puissant sur mes seins ou sur mon petit cul ! Je me suis affalée sur le matelas, épuisée par ce baroud fou, quand j’ai vu l’énorme bosse qui s’était formée sous le pantalon de Marcel. Un regard à David qui m’a dit « Vas-y, soulage-le, suce-lui la bite ». Aussitôt dit, aussitôt fait, il s’est approché, je lui ai foutu la queue à l’air et en quelques coups de langue et aspirations, il s’est répandu dans ma bouche, j’ai tout avalé, il est sorti et nous nous sommes endormis, fourbus par tant d’émotions.

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