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La rédaction 2 décembre 2019

Charlotte, 24 ans

Au début, c’était tranquille entre nous, rien que du normal. Limite chiant, en fait. Je veux dire, Thomas, il me plaisait bien et tout, mais je me demandais parfois pourquoi on se voyait encore après six mois de baise pas folichonne. Il était beau gosse, à n’en pas douter… Néanmoins, je sentais clairement que ma chatte commençait à avoir faim d’autre chose. Et puis, il est arrivé un truc tout bête : ses parents lui ont offert son premier appareil photo pour son 22e anniversaire. Il s’est mis à mitrailler tout ce qu’il voyait, comme un gamin. Il semblait vouloir cataloguer le monde entier et le faire entrer dans sa petite boîte. Rapidement, il a désiré mettre son propre couple en scène et surtout nos ébats sexuels.

J’ai accueilli cette idée avec enthousiasme, vu que je commençais sérieusement à m’ennuyer avec lui. Comme il était gentil et pas con, j’ai bien voulu lui accorder au moins cette chance d’arranger notre relation avant de me résoudre à la déclarer cliniquement morte. Thomas a donc commencé à faire de la photo de cul très basique, du genre fellation à la maison et images dérobées dans la salle de bain, façon voyeur. Et, petit à petit, je l’ai poussé à aller plus loin dans la dépravation. C’est ainsi que nous nous sommes retrouvés sur la route dans le monospace de ses parents, avec tous les fauteuils rabattus et un matelas posé à même le plancher de la voiture. Nous nous sommes garés en bordure d’une route nationale très passante, sans même prendre soin d’oblitérer les vitres pour nous protéger des éventuels curieux.

II s’est étalé sur le matelas, a enlevé son pantalon, et je me suis jetée sur sa queue pour la prendre dans ma bouche. Il bandait déjà à fond, ce gros cochon. J’adorais jouer avec sa bite, je la tripotais comme une chose étrange, j’espérais que ça ferait de bons clichés en même temps. Il avait l’air de flipper un peu (quelle femmelette !), mais moi, je ne m’inquiétais pas du tout. Je me marrais bien, au contraire ! Enfin un peu de piquant ! Je me suis régalée de son piston d’amour en bavant toute ma salive dessus. Je me le suis passé entre les seins… J’ai même eu le droit de lui gober les bourses et de glisser ma langue en dessous. D’habitude, il déteste ça, il est comme bloqué avec son petit trou. Je m’en suis donné à cœur joie, je lui ai bien récuré la rondelle. Elle avait un léger goût de sueur.

Ça a quand même fini par le gêner, et il m’a demandé de me toucher devant l’objectif. J’ai tendu mon cul vers la vitre arrière du monospace en attendant d’entendre des coups de klaxon venus de la route. Ce qui n’a pas manqué de se produire quelques secondes plus tard : « Pouêt, pouêt ! » Les automobilistes devaient me trouver à leur goût, j’étais morte de rire. Ils m’encourageaient, ma parole ! J’allais leur en donner pour leur argent. Je me suis fourré le doigt dans le cul en écartant les fesses au maximum, je me suis dit que ça ferait artiste.

Mais Thomas a bientôt trouvé que j’allais trop loin. Il m’a demandé de m’allonger au fond du van, à l’abri des regards, pour continuer ma séance de masturbation. J’ai été un peu contrariée mais, à ce stade, j’étais trop ivre de sexe pour en avoir quelque chose à foutre. Ensuite, il a sorti une petite poche en tissu de son sac en me disant qu’il avait une surprise. À l’intérieur, il y avait un vibromasseur à télécommande que j’ai utilisé pour me stimuler le clito pendant qu’il s’enfonçait en moi avec la tranquillité d’un crocodile qui aurait déjà dévoré tout un village dans la matinée. Malgré tout, j’aimais assez quand il me bourrait ainsi. J’avais l’impression de me faire garnir la chatte. Au moins, ça sortait de l’ordinaire, et je pouvais me concentrer sur mes sensations.

II a fait un certain nombre de prises de vue dans cette position, et l’instant fragile a enfin approché : il allait gicler, mon petit Thomas. Je l’ai fait venir jusqu’à ma bouche, je voulais absolument cette image pour ma collection personnelle. Il me fallait une photo de moi avec du sperme sur les lèvres. Il s’est branlé au-dessus de mon visage et je lui ai caressé les couilles pour le faire venir plus fort. Eh bien figurez-vous qu’il n’a même pas réussi à jouir sur ma tronche ! Il a fallu que je le termine piteusement sur son propre ventre, comme un jeunot. Je ne lui ai pas caché ma déception. Mais nous avons remis ça plusieurs fois depuis, et nous nous améliorons un peu plus chaque jour. Je vais peut-être rester avec Thomas finalement. À présent, on s’éclate beaucoup mieux ensemble !

(Image à la une : Getty Images)

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