L’amazone inversée
25 janvier 2024Andy aime me traité comme une princesse, mais je veux être baisée comme une salope, j’aime les bad – boy et les hommes grands avec une bonne silhouette.
Coureuse de bite
Il y a des coureurs de jupons, moi, c’est la bite ! J’aime trop le sexe pour me contenter d’un seul homme, d’une unique queue ! Toute une vie avec juste un vit, aussi beau soit-il ? Non merci ! Je suis séduisante, je suis jeune, alors autant m’éclater ! Mon mec, Jules, est mignon, il est doux et attentionné, trop. J’adore être traitée comme une princesse, mais je veux être baisée comme une salope, comme on dit. Mon truc préféré ? Les garçons légèrement bad-boy ! C’était le cas d’Andy. Tatoué, cheveux longs et bouclés, un look de métalleux avec des chaînes et des têtes de mort un peu partout. Je lui ai tout de suite fait comprendre que je serais sa chose s’il daignait s’intéresser à moi. La première baise c’était dans l’arrière-salle du bar où nous nous sommes rencontrés, debout, contre le local poubelle, bonjour le romantisme ! Mais j’ai découvert, derrière sa silhouette filiforme, un mastard de queue ! Dur, bandant sur commande et d’une endurance de dingue ! Cette fois-là je n’ai pas joui, je lui ai juste offert ma chatte et ma bouche dans laquelle il a déchargé, beaucoup ! Je vous raconte mon histoire de sexe.
Le coup suivant, c’est celui des photos qu’il a prises, dans son studio. C’était un rien cracra, mais ça m’allait bien, je voulais qu’il me baise et lui, que je lui raconte ce que mon mec me faisait au lit, ça l’excitait grave. Alors, tandis que je lui narrais les saillis de Jules, il me bouffait ma petite moule avec passion tout en astiquant son gros gourdin, il me glissait des doigts dans le vagin et me faisait mouiller à mort avant de me donner son énorme queue à sucer. Quel pied cette bite ! Je ne me lassais pas de la caresser, de la branler en enroulant ma main autour de cette hampe large et chaude.
Toujours en parlant de ce que je faisais au pieu avec l’autre, il m’a demandé de m’asseoir sur son visage et là, ça a été le décollage stratosphérique ! C’était mon premier face-sitting néanmoins j’ai vite compris l’avantage de la position, je pouvais remuer mes hanches, entrouvrir plus ou moins les lèvres de ma chatte, lui présenter mon anus souple, lui léchait, me pénétrait par tous les orifices avec sa langue satanique !Qu’est-ce qu’il m’a fait jouir comme ça ! Jules a trouvé très bizarre que je lui impose cette pratique !
Après un ou deux orgasmes, souvent deux, un par devant et un par derrière, je m’allongeais enfin, toutes jambes écartées ou en levrette et je recevais le membre roi en moi.Sa bite était longue et son gland ressemblait à une grosse gariguette, assez effilée en allant vers le méat. Il me demandait toujours d’ouvrir les cuisses ou les fesses au maximum. Il avait, en plus de mes histoires de cul, besoin de voir les choses, de regarder mon trou de balle encore tout humide de ses léchouilles, de zieuter ma chatte baveuse qui réclamait ses grandes envolées de reins.
Il me baisait comme une reine, de ces baises sauvages qui vous laissent avilies, dépravées, les genoux presque en sang et la moule ravagée par les coups de pistons encaissés pendant des heures. Il me déglinguait, il me ruinait, impassible dans l’acte, il me matait avec une œillade vicieuse et me demandait de me caresser et de me tripoter devant lui. J’adore exciter les mecs qui me font l’amour, je léchais alors mes lèvres, j’ahanais fortement pour bien lui montrer qu’il me faisait du bien, je me pelotais les seins et je pinçais mes tétons fragiles.
Une autre technique infaillible dont j’ai usé ce fameux jour, l’amazone inversée, moi dessus, le cul tourné vers son visage, mes fesses bien en main, séparées au maximum pour qu’il mate distinctement tous mes trous et qu’il profite de ce panorama unique, ma vulve en train de l’avaler tout entier, jusqu’à la garde.
Et mon délire à moi, c’est de voir les éjaculations des mecs à qui je me donne. Andy avait un vrai geyser à la place de la bite ! Il se retirait de moi, se branlait, parfois il ne faisait même que coulisser sa hampe le long de mes nymphes gorgées de sang et lubrifiées par ma mouille, quelques va-et-vient et la barre se contractait, il grimaçait longtemps en avance et là, tout se redressait, ses couilles s’effaçaient presque et la première éclaboussure de foutre finissait par maculer mon ventre, ma cuisse ou mes joues. Suivaient plusieurs salves d’importances, trois ou quatre très fournies puis cela se tarissait en soubresauts compulsifs. Je me retrouvais enduite de son sperme à l’odeur piquante et au goût poivré, souvent je récupérais la précieuse semence sur mes doigts pour tout avaler goulûment.
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