Cinq à sept

La rédaction 4 juin 2025

Stéphane, 46 ans, trompe sa femme qui n’aime pas la sodomie avec une collègue qu’il déteste…mais qui a l’anus affamé !

Stéphane nous raconte son histoire de sexe amateur avec sa collègue qu’il ne peut pas blairer !

Clarisse ! Ah Clarisse ! Ma charmante, ma douce Clarisse d’amour !

J’ai le plaisir de vous présenter ma maîtresse, lorsqu’elle a intégré la boîte dans laquelle je travaille, elle avait tout pour que je la déteste, végan, woke, pimbêche, je la reluquais tout de même en douce, elle avait quelque chose qui criait « j’aime le cul » !

Une collègue accro au sexe !

Mon instinct ne m’a pas trompé… À l’occasion d’un verre entre collègues, nous nous sommes rapprochés et avons terminé dans les toilettes du bar, elle accoudée à la vasque et moi en train de la buriner jusqu’à ce qu’elle jouisse et se retourne pile pour recevoir mes jets de foutre en plein visage.

Elle a récupéré ma crème et a tout avalé, nettoyant ma queue de toute trace de sperme. Depuis, tous les jours, nous nous retrouvons dans une chambre d’hôtel et nous baisons pendant deux heures.

C’est un amour-haine, elle me traite de tous les noms, je l’insulte, elle me sourit, se fout à poil devant moi, sans aucune gêne ni aucune pudeur, puis elle s’allonge et écarte les jambes, me montre son con humide, son petit trou gourmand, elle joue avec ses seins et me demande de la prendre en photo dans toutes les positions, pour que je puisse penser à elle et « bien me branler en cachette dans les chiottes quand je rentrerais auprès de bobonne » !

Cette jolie garce a conscience que je suis accro et que le cul, avec elle, est divin.

Elle me pompe la bite, me félicite pour sa beauté, sa grosseur, elle sait entretenir la flamme. Après une bonne pipe, elle se recroqueville sur le plumard, les bras et les gambettes entremêlés avec sa fente épilée de frais et son fabuleux fessier bien bombé qui m’attendent.

Deux tunnels très affamés

J’introduis mon pieu dans ce tunnel ô combien tonique. Son étau de chair se resserre sur ma queue, j’enfonce lentement ma hampe, elle se nimbe petit à petit de sa cyprine épaisse et lubrificatrice. Une fois toute la longueur bien huilée, je mets toute mon énergie dans mes coups de reins, à la soulever carrément du lit.

Nos peaux claquent, la chambre sent la mouille, la sueur et la salive. Clarisse bave de la chatte et de la bouche, elle gueule pour que je la baise plus fort et encore plus fort. Je me déchaîne et sa fente s’ouvre un peu plus.

Je vois ses pulpes jouer avec le bout de ses nichons ou son clitoris, elle jouit, fort, très fort et se retourne pour me montrer son secret qui se contracte spasmodiquement.

Avec ou sans ses bas, elle s’amuse avec moi comme un chartreux avec une souris. Elle sait ce que j’attends et me l’offre avec plus ou moins de diligence. Son petit trou est aussi affamé que sa moule gluante de plaisir.

Le rituel est toujours le même, Clarisse s’agenouille et me présente son arrière-train, elle cambre les reins, écarte ses deux globes merveilleux et se doigte le cul, y enfilant jusqu’à trois phalanges préalablement lubrifiées à la source de sa conque qui perle.

Une fois le passage apprivoisé, elle m’invite à venir lui faire une feuille de rose. Son anus est épicé et doux, son sphincter se détend, il se fait velours sous ma langue, alors elle me chuchote « Encule-moi, encule-moi bien profond mon chaton ».

Cris stridents et fesses toutes rouges

Le temps de me relever et d’essuyer ma bouche pleine de ses sécrétions mêlées à ma salive, et je guide mon gland vers le cratère lunaire. Ma femme ne veut pas entendre parler de sodomie, c’est bien dommage parce qu’à écouter ma maîtresse, je suis plutôt doué dans cet exercice qui réclame doigté et patience.

J’enfonce mon pieu doucement. Quand l’anneau est bien distendu, je claque le postérieur de Clarisse qui hennit et je peux alors lancer mes coups de boutoir. Je l’encule à mort, je me fous de ses cris, ce sont des hurlements de plaisir, ils entraînent une violence encore plus abrupte chez moi.

La pauvre finit avec les fesses rouge vif et le trou du cul complètement ouvert et dilaté. Mais elle jouit comme rarement j’ai vu une femme jouir, elle gémit, se libère, parfois les voisins tapent sur la cloison de la chambre mitoyenne et nous éclatons de rire.

Pour finir elle me reprend en bouche. C’est bientôt l’heure de se quitter, elle met toute son énergie à me sucer et à me branler. Elle refuse que je l’aide en me masturbant, je suis pourtant souvent très long à venir si ce n’est pas « moi qui fait ».

Elle ne veut rien entendre, elle me pompe le dard en mode gorge profonde, me taquine les couilles et le petit trou, elle astique mon manche de plus en plus vite, étirant bien mon prépuce en arrière et dirige mon méat vers son visage au moment critique.

Je le lui couvre littéralement de sperme, je n’en finis plus de gicler, jusqu’à ce qu’elle m’ait bien vidé les bourses.

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