Les jeux pervers de ma collègue

Paule 3 décembre 2023

Marie m’a avoué qu’elle et son mari fantasmaient sur moi.Elle m’a proposé de coucher avec elle devant son mari qui allait immortaliser ce moment.

Marie et son cocu de mari !

Son mari était candauliste ! Quand Marie m’avait parlé de ça, à la machine à café du boulot, je ne comprenais pas à quoi elle faisait allusion. Je pensais qu’il s’agissait d’un métier, j’étais informaticien, lui, candauliste. Un truc en lien avec les bougies ou le feu, peut-être ? Elle s’est mise à me rire au nez. Ses deux gros seins, mal dissimulés dans son décolleté plongeant, se sont mis à balloter dans tous les sens sous mes yeux. Et puis elle a lâché : « Non, il aime me voir avec un autre homme. Et là, l’autre homme, j’aimerais que ce soit toi. » S’en est suivi une longue conversation : elle était au service communication au quatrième étage de notre immeuble, moi, je venais parfois m’occuper du réseau informatique. J’ignorais totalement qu’elle fantasmait alors sur mon petit cul,mes biceps et mes tatouages quand je me penchais sous son bureau.Mais cela m’a beaucoup plu qu’elle me l’avoue avec ses mots coquins. « Tu vois, je parle souvent de toi à mon homme. J’imagine la taille de ta queue, la force de tes bras… et lui, il se branle à chaque fois que je lui avoue fantasmer sur toi. » Alors qu’elle voyait que j’étais pendu à ses lèvres, écoutant avec beaucoup de délectation les jeux pervers auxquels elle s’adonnait avec son mari et les doux mots qu’elle avait à mon égard, j’ai senti une érection monter. Je n’en étais plus au stade de l’hésitation, j’avais déjà pris ma décision. J’allais la baiser devant son mec. On a rapidement trouvé une date.

À partir de ce moment, je n’ai plus arrêté de penser à ce qui m’attendait. J’imaginais son corps, superbe, gorgé de formes, tendus. Je devinais que des courbes parfaites devaient s’accommoder avec un si joli visage. Et puis, le jour J, je tremblais un peu. La situation m’intimidait autant qu’elle m’excitait. Je craignais de ne pas être à la hauteur de leurs espérances, j’avais tellement fantasmé notre rencontre ! Heureusement, ils avaient l’habitude de dépasser la gêne de leur étalon-invité. Ils m’ont accueilli dans leur superbe appartement du centre de Nantes, une belle hauteur sous plafond, des tapis hors de prix au sol. Lui avait une bouille qui m’est tout de suite paru sympathique. Il avait une légère calvitie, un appareil photo en bandoulière sur un ventre légèrement arrondi, mais arborait un sourire assez charmeur. Je comprenais pourquoi ils étaient ensemble : il devait être doux, empathique, amoureux. Dans ses yeux, brillait l’éclat de celui qui voit son fantasme se réaliser. Manifestement, j’étais aussi beau que ce que lui avait décrit sa femme. Marie m’a tout de suite pris par la main et nous avons filé au lit, dans leur chambre conjugale.

J’ai couché avec ma collègue du travail

Cela fait si bizarre de passer d’un contexte professionnel à un contexte si intime en quelques minutes, à peine. Elle s’est foutue à poil, devant moi, et elle était encore plus belle que dans mes rêves. Vraiment, les mots « bien gaulée » étaient faits pour elle. Ses deux énormes seins m’ont déclenché une vive et belle érection. J’ai passé une main dans ses cheveux et je l’ai embrassée à pleine bouche. Ses lèvres avaient un goût de miel, un goût de sucre et je les ai mordillées à pleine dents. Son mari nous guidait un peu à voix haute, pour avoir les photos les plus cochonnes qu’il pouvait. Je lui ai d’abord bien léché la chatte. J’imaginais que ma salive servait à marquer mon territoire, j’en empreignais toute sa vulve juste devant son mari. « Là, tu vois à quel point elle est à moi ? » pensais-je en mon for intérieur. Puis, j’ai craché sur mon sexe bandant et je lui ai foutu dans la bouche. Plus j’entendais ses petits « glourp, glourp » s’intensifier, plus je gémissais fort moi aussi. Dommage que le mari n’ait immortalisé que les images car les sons étaient transcendants aussi.

Son mari lui a ensuite demandé d’écarter ses deux adorables jambes pour se faire « prendre ». Elle s’est ouverte face à moi, allongée sur le dos, en me lançant un regard des plus éloquents, les sourcils relevés, une petite moue innocente au coin des lèvres. Honnêtement, elle était absolument sublime, et j’étais presque jaloux de ne pas être marié à une femme si belle. Je l’ai donc pilonnée avec une force qui m’a moi-même surpris ! D’abord, j’étais debout. Mes pieds, bien ancrés sur le sol, me donnaient de la force. Puis je l’ai prise sur le lit, en cuillère et en amazone. Elle couinait bien fort ! J’ai fini par lui éjaculer sur le visage, sous les « hourras » de son mari ! Il est venu lui lécher le visage et moi je me suis éclipsé discrètement… De retour chez moi, j’espérais secrètement qu’une panne informatique impacte le quatrième étage. Il fallait que je me retrouve sous son bureau. À nouveau. Et vite.

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