Conducteur en herbe
1 novembre 2021Je m’appelle Tif, j’ai 42 ans, célibataire et libertine et j’aimerais vous partager mon histoire porno.
Autostoppeuse en chaleur
J’habite un petit village dans les environs de Grenoble. Je fais pas mal de sport et je suis plutôt bien roulée, des cheveux noirs et longs avec une belle poitrine et des fesses bien galbées. Je suis infirmière à l’hôpital, il arrive que je travaille de nuit et je dois parfois faire du stop pour descendre en ville.
Il faisait chaud ce soir d’été, et j’attendais qu’un prince (ou une princesse) charmant vienne me prendre pour m’amener au boulot. Je portais une jupe noire courte et un débardeur blanc tendu par ma poitrine généreuse. A cause de la chaleur et malgré une peau exposée, une petite pellicule de sueur collait mes vêtements à mon corps. Une voiture s’est arrêtée rapidement et un jeune homme m’a ouvert la portière.
Il devait avoir 25 ou 27 ans. Cheveux bruns, bien bâti avec une peau délicieusement bronzée qui contrastait avec des dents éclatantes. Il portait un T-Shirt échancré qui laissait apparaître ses pectoraux saillants et ses petits tétons. Quelle bonne surprise pour moi, j’allais pouvoir le reluquer discrètement le temps du trajet !
Il s’appelait Benjamin et était très nerveux : il venait d’avoir son permis, et de m’avoir sur le siège passager le stressait tellement qu’il avait du mal à passer les vitesses. Déjà titillée par ses muscles, je me suis amusée à lui faire du rentre-dedans pour le déconcentrer encore plus.
« Tu manques un peu de doigté pour conduire une femme Benjam, c’est la première fois ? » Mon compagnon n’a fait que bafouiller pour toute réponse. Le pauvre, je me serais sentie presque mal si ce n’était pas si drôle. Sentant que j’avais l’ascendant, je me suis mise à le dévisager franchement : c’était un vrai éphèbe, un air vaguement égyptien que je trouvais terriblement séduisant. Les abdominaux manquaient d’entraînement, mais le reste de sa plastique laissait rêveuse. « Belle carrosserie, mais niveau mécanique ce n’est pas encore ça», ai-je surenchéris.
Il était rouge pivoine, ce qui m’excitait de plus en plus. Il ne pouvait pas s’empêcher de jeter des coups d’oeils sur mes jambes et sur mes seins que je faisais ressortir en m’adossant au siège. Je faisais remonter doucement ma jupe pour dévoiler le plus de peau possible, et mon conducteur en herbe tentait de suivre les virages et mes mouvements en même temps.
Bonne pâte, je lui ai proposé de m’occuper des vitesses à sa place. Il a accepté, un peu honteux, mais la conduite est devenue tout de suite plus agréable. En plus, ma main s’était rapprochée de sa cuisse et de son entrejambe. Entre deux changements de vitesse, j’ai commencé à lui caresser la jambe. Il ne disait rien, apparemment concentré sur la route, mais une bosse s’est très vite formée sur son short. Le torturer ainsi me mettait moi aussi dans tous mes états, et j’ai senti mon sexe se mouiller : le trajet prenait une belle tournure.
Le manche du conducteur
Pendant une ligne droite, j’ai décidé de sauter le pas : “Je vais changer de manche maintenant” j’ai dit en posant la paume de ma main sur sa bite comprimée. J’adore cette sensation, sentir un sexe tendu sous le tissu, c’est comme du plaisir compressé qui ne demande qu’à jaillir ! J’ai commencé à lui masser le chibre, qui gonflait encore : il était bien monté le Benjamin. Il avait les mains serrées sur le volant et un sourire crispé, mais l’excitation a rapidement eu raison de sa timidité et il a crié : “J’en peux plus, faites-la sortir”. Ravie et trempée, j’ai ouvert sa braguette et j’ai laissé sortir son sexe turgescent.
Il avait un beau membre, avec de la peau qui dépassait du bout malgré une érection imposante. Il y en a qui trouve ça laid, mais j’aime bien ce genre de gland, recouvert en entier par la peau douce du prépuce. J’ai fait onduler ma main le long de son manche, en alternant le rythme. Les changements le faisaient se tendre et même parfois fermer brièvement les yeux : un peu dangereux en pleine route de montagne ! « Il y a un endroit pour s’arrêter juste là si tu veux», lui ai-je conseillé.
Il s’est rangé sur le bord la route et a commencé a se détendre un peu “Vous savez y faire avec les mains, vous me montrez avec la bouche ?”. J’ai commencé par son gland qui remplissait déjà bien ma bouche, et je suis descendu le plus possible jusqu’à l’entendre gémir de plaisir. J’ai continué à la sucer avec plaisir jusqu’à ce qu’il me dise : “Il faut que je vous rende la pareille maintenant !” Je ne sais pas pourquoi, mais le vouvoiement me chauffait très fort.
Il est sorti de la voiture, et j’ai pu mater son boule musclé et bien poilu, ce qui le rendait très viril. Il a vite fait le tour, ouvert ma portière, remonté ma jupe d’un coup sec et a mangé ma chatte déjà pleine de cyprine. Il était jeune mais déjà bien doué avec sa langue. Pendant qu’il me dévorait à pleines dents il s’est mis à me presser les seins et me pincer les tétons, ce qui me faisait trembler de plaisir.
Après m’avoir léchée de haut en bas, il m’a retournée facilement et s’est extasié un bref instant sur mon cul. Il a vite plongé sa grosse pine bien au fond de mon vagin. A quatre pattes sur le siège, je sentais ses cuisses musclées qui battaient contre mon corps, et parfois ses grosses bourses venaient claquer contre mon clito ce qui m’arrachaient de longs gémissements.
Nous étions tous les deux très excités par cette rencontre et ces préliminaires et nous n’avons pas duré longtemps. J’ai joui bien fort, et il a balancé son foutre partout sur mes belles fesses en criant de plaisir.
Il a bien mieux conduit le reste du trajet : tirer un coup aide toujours à se détendre, et nous nous sommes très bien entendus. J’ai pris mon service avec un peu de retard mais remontée à bloc. Rien de tel qu’un bel orgasme pour bien commencer le travail. Nous nous sommes échangés nos numéros, et il arrive que le beau Benjamin me descende et me monte délicieusement.
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