Sex urbex
4 avril 2025Julien, 29 ans, était loin de s’imaginer qu’il vivrait une histoire de sexe avec sa copine, dans un manoir abandonné lors de son voyage en Hongrie !

Julien nous raconte son histoire de sexe qui s’est transformée en orgie lors d’un urbex !
Fan d’Urbex – les photos qu’on prend dans les bâtiments abandonnés – nous sommes partis avec Shirley, ma copine, explorer la Hongrie l’été dernier ! Réputée être un spot riche, nous avons trouvé une espèce de manoir aux alentours de Budapest. La porte était ouverte et nous sommes entrés timidement. Quelle n’a pas été notre frayeur quand, montant vers l’étage, nous avons entendu du bruit ! Nous allions faire volte-face lorsqu’une voix jeune et pas du tout menaçante nous a interpellés en anglais.
Il s’agissait de trois Danois qui s’adonnaient à la même passion que nous. Les présentations faites, ils nous ont montré leur travail … très loin du nôtre puisqu’eux réalisaient des clichés de nus et de scènes de sexe dans ces endroits désertés.
Une exploration sans dessus (sans) dessous
Nilsa, la blonde et seule femme du groupe a saisi la main de Shirley. Nous n’avions jamais pensé avoir du sexe en dehors de notre couple, mais nous n’avons pas eu le loisir d’en discuter plus avant, la belle danoise était déjà en train de déshabiller ma belle, sous l’objectif d’un de ses camarades de jeu.
Quelques secondes plus tard, j’étais au firmament de l’excitation et de l’admiration. Les filles se roulaient des pelles, totalement nues, jambes croisées sur un lit. Ébaubi, j’ai alors regardé ma compagne glisser sa tête entre les cuisses de la blonde venue du froid et lui lécher le sexe et l’anus, insinuant deux doigts dans la fente imbibée d’une cyprine épaisse.
Le garçon qui portait le reflex s’est mis à prendre des photos, quant aux deux autres, ils se sont déshabillés et ont rejoint le couple lesbien en m’invitant à les rallier.
Un peu dépassé par les évènements, j’ai obtempéré et c’est nu, moi aussi, que je me suis connecté à la partie carrée qui débutait. Je bandais comme un malade, conscient que cette situation m’excitait au plus haut point. Nilsa a été la plus prompte à cueillir ma queue au milieu de cette forêt de pines dressées.
Un échangisme inattendu
Qu’il est à la fois doux et étrange de se faire sucer par une autre femme que la sienne ! Mon amante d’un jour lâchait ses coups de langue un peu partout, papillonnant de mes couilles à mon gland, puis se jetait sur ma bite pour l’avaler tout entière au fond de sa gorge. Pendant ce temps, Shirley avait déjà un de nos compagnons entre les jambes. Il lui balançait des coups de reins terribles tant et si bien que la tige qu’elle essayait de pomper en même temps n’arrêtait pas de sortir de sa petite bouche.
Je me suis enfin enhardi et, après avoir enfilé une capote qu’on m’avait opportunément passée, j’ai baisé Nilsa.
Sa chatte était encore plus étroite que celle de Shirley et elle poussait de longs cris très aigus, m’attrapant par la nuque pour m’attirer vers elle et m’embrasser tout en jouant avec mon appendice. J’ai entendu mon amour jouir sous les assauts répétés qu’elle encaissait tout en caressant une bite à portée de main.
J’ai failli juter en regardant la scène, mais ma blonde était, elle aussi, en train de monter vers le septième ciel. Son orgasme est arrivé peu après celui de ma douce, interminable, intense. Elle a griffé les draps et a plaqué son pubis contre mon ventre en m’enserrant la taille avec ses jambes étonnamment musclées pour une fille de son gabarit. Puis tout son corps s’est relâché et, comme prise d’une crise de narcolepsie, elle s’est endormie ainsi, sans signe avant-coureur. Elle avait eu son dû, elle se livrait désormais aux bras de Morphée.
3 hommes rien que pour Shirley
Quant à moi, j’étais loin d’être rassasié et je savais pertinemment que ma copine n’avait pas dit, elle non plus, son dernier mot. Multiorgasmique, elle devait être impatiente de recevoir d’autres mâles hommages et nous ne serions pas trop de trois pour la satisfaire. Les traces de bronzage dessinaient la forme de son tanga sur ses fesses.
Quelle belle cible pour les matraques en rut qui s’agitaient tout autour d’elle. Une claque sur cet arrière-train ferme et rebondissant et la voilà, dans un réflexe pavlovien, qui s’offrait aux grandes orgues masculines, en levrette inconditionnelle.
Environ trois minutes par braquemart, nous l’avons limée chacun pendant vingt minutes en fractionné, tantôt à fond, parfois avec tendresse, la plupart du temps avec une fougue que seuls ses cris déchirants, qui signaient chacune de ses apothéoses, arrivaient à nous stopper.
Elle a fini par rendre les armes. À trois, nous l’avons désarticulée dans le canapé, abusant de sa souplesse pour observer, jusque dans les moindres détails, les plis les plus cachés, les plus petites perles de cyprine de ses orifices, jusqu’à ce que nous la nappions d’une triple éjaculation, aussi abondante que libératrice. C’est une histoire de sexe qui restera gravée dans notre mémoire, avec peut être l’intention de renouveler une petite escapade dans un château…