À Corse et à cris
24 octobre 2019Alix, 28 ans
Je m’appelle Alix, j’ai 28 ans et je suis professeur de français en collège. Chaque été, je m’échappe de Lyon pour m’éclater au grand air. Cette année, je suis partie en randonnée en solo en Corse. Comme vous pouvez le constater sur les photos, j’y ai trouvé de la compagnie.
Cela faisait trois jours que j’étais sur l’île et j’avais du mal à me détendre. Les soucis de boulot, les histoires de famille… Tout ça tournait dans ma tête. De bon matin, j’ai quitté mon petit gîte au milieu de la campagne, bien décidée à me vider la tête lors d’une longue marche qui devait me mener à flanc de montagne. C’est là-haut, vers midi et bien essoufflée par l’effort en pleine chaleur, que je suis tombée sur un bel autochtone.
J’étais en train d’installer une nappe pour manger un morceau quand il a surgi. Brun, la barbe broussailleuse et l’air farouche, il m’a saluée d’un « Bonjour, je peux vous aider ? » Je l’ai remercié et ai répondu que tout allait bien pour moi. L’homme d’une trentaine d’années a poursuivi : « Les gens se perdent facilement, ici. Pas moi. Je suis berger, mes bêtes sont là-haut ». Et il a montré un point au-dessus de nous. Curieuse de connaître sa vie, forcément très différente de la mienne, je lui ai proposé de s’asseoir un instant. Il a hoché la tête et s’est accroupi en se présentant : « Je m’appelle Ange ». C’est à peu près la dernière phrase qu’il a prononcée. Était-il timide ou seulement taciturne ? Et pourquoi s’asseoir avec moi s’il ne comptait pas converser ? J’ai compris quand mes yeux ont croisé les siens. Mon décolleté trempé de sueur avait l’air de le fasciner…
« Voilà l’occasion parfaite d’oublier mes soucis ! », me suis-je dit. Après tout, le berger avait clairement envie de moi, et je n’avais rendez-vous nulle part… Sans réfléchir davantage, ce qui ne me ressemble pas, moi qui suis très cérébrale, j’ai décidé de sauter le pas. Je me suis déshabillée lentement, en regardant mon joli berger dans les yeux. Incroyable, mais tellement libérateur ! Lui, de la façon la plus naturelle du monde, a sorti son téléphone et a commencé à me photographier. Je me sentais désirable et débarrassée de toute contrainte, tandis que le soleil baignait ma peau à travers les feuillages et que les cigales chantaient à tue-tête…
Ange ne disait toujours rien, mais son regard continuait de parler pour lui. Et son érection aussi. Il s’est déshabillé sans chichis et j’ai découvert un beau bâton de berger veineux, qu’il a empoigné fermement. De son autre main, il a ensuite découvert mon corps. J’ai senti ses cals sur ma peau. Moi, la citadine toute douce, lui, le berger qui me dévorait des yeux en explorant mes courbes… Notre rencontre avait des airs de romance à l’eau de rose !
Elle a pris un coup de chaud quand le berger a décidé de me prendre de façon assez animale. Après l’avoir laissé me pétrir de partout, j’étais maintenant allongée sur le dos, quand il a attrapé mes cuisses. Avec un grognement, il s’est mis en position et m’a couverte comme si j’étais une femelle à sa disposition. J’ai été étonnée de ses manières rugueuses. On était loin des garçons bien élevés que je rencontrais en ville !
Ses yeux noirs brillaient quand il s’est placé face à ma fente, prêt à l’action. Son gland est entré en moi et j’ai lâché prise, décidée à profiter des coutumes locales. En quelques coups de reins, il a pris place et mes gémissements se sont mêlés au chant des cigales. Le ciel ne m’avait jamais paru aussi clair, ni aussi haut… Je me suis laissée faire, les yeux mi-clos, tandis que les ombres des arbres dansaient sur mon visage à chaque nouvelle saillie. Je ne sais pas combien de temps notre interstron.ru a duré, mais l’orgasme a été comme un immense bol d’air, entrant dans mes poumons tandis que je lâchais un grand « Oui ! »
Prudent, mon berger s’est terminé à la main. Quel plaisir de l’entendre grogner tandis que sa pluie s’abattait sur mon bas-ventre ! Il s’est ensuite allongé près de moi et je n’ai pas pu m’empêcher de lui grimper dessus, pour l’embrasser à pleine bouche et enlacer son corps. Il a souri, surpris mais heureux, lui aussi.
Ange est ensuite reparti dans ses montagnes, me laissant au milieu de l’écrin de nature qui avait abrité nos ébats. Mais avant de me quitter, il a pris mon mail et m’a envoyé ces quelques souvenirs de ma romance corse. Je n’ai qu’à fermer les yeux pour nous revoir là-haut.
(Image à la une : Getty Images)
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« J’ai promené mon index sur sa fente, du clitoris vers l’anus et de l’anus vers clitoris. Sans ménagement, j’enfonçais deux doigts dans sa foune, recueillais sa mouille et portais mes phalanges à mes narines. » Fabien
« Positionnée face à moi, elle a écarté mes jambes et, chose curieuse, a stimulé l’orée de mon sexe d’un petit godemiché (mais d’où l’avait-elle sortie ?) » Cathy
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Guillaume
on aurait aimé etre en copie du mail 😉
sympas comme retour à la nature