Je jouis comme une salope

Paule 6 février 2024

Ton regard m’espionne alors que je viens de rentrer et que je me dénude, persuadée d’être tranquille afin de prendre mon bain je me sens sale et excité.

Avec toi, je me sens bien !

Mon Amour,

Que j’aime quand je devine ton regard m’espionner alors que je viens de rentrer et que je me dénude, persuadée d’être tranquille afin de prendre mon bain après une longue journée. Je me sens sale, mais je sais que, de ton côté, tu ne seras jamais aussi excité que par venir renifler les forts effluves de mon épiderme de brune ! Je ne supporte pas mes aisselles prégnantes, j’abhorre les fragrances de mon sexe et de mon trou du cul, mélange nauséabond de musc anal, de cyprine sèche et de traces d’urine. Mais dans l’embrasure de la porte, je vois ton mât épais et dur, tu bandes, j’aperçois même des gouttes couler de ton méat tandis que tu te branles. Alors parfois, comme ce jour où tu m’as rejoint avec ton appareil photo, j’accepte un rapport animal, bestial, cela ne peut se faire que dans la salle de bain, comme si nous baisions dans une bauge ou une étable aux remugles de bétail en rut ! Voici mon histoire de sexe.

Je te suce avec application, je m’efforce de tout prendre dans ma bouche malgré les dimensions hors norme de ton mastard pénien ! Je lèche tes grosses couilles, je les gobe, je tète ton énorme gland puis, telle une révérende en prière, je m’agenouille, les coudes en appui sur la baignoire transformée en prie-Dieu. Je casse mes reins, écarte mon cul et te laisse t’enfouir dans ma crasse et mes fragrances femelles. Pour bien me faire fondre de gêne, à ces olfactives agressions, tu rajoutes les bruits ! Tu fais exprès de fouiner, de fouiller, de sortir une langue large qui claque et éclabousse de mouille et de salive débordante, ça clapote, ça flaque et ma libido monte en flèche, je le confesse. Tu m’écartèles les fesses, ma pastille s’aplatit et se dilate, ta langue s’enfonce alors dans le velouté piquant de mon anneau rectal, j’ai honte, je coule, j’ai encore plus honte, je dégouline toujours plus. Mon jus me ruisselle sur les cuisses, imbibe le tapis de bain, tes doigts me ratissent, tu m’obliges à te regarder les sucer, telle une friandise, pire, parfois c’est moi qui dois nettoyer ces sécrétions dégoûtantes, mon con devient véritable fontaine. Tu me claques l’arrière-train, fort, jusqu’à ce que je garde les stigmates de tes fessées, tu me dis des mots atroces, que je pue la femelle en chaleur, que je ne suis qu’une dépravée, que j’exhale le cul, le sexe et le désir.

Une sale gamine

Je n’ai alors plus qu’une chose en tête, que tu me prennes en levrette, oui, en belle chienne lubrique que je suis ! Là, enfin, je te sens, toujours aussi gros, ta bite me déchire, me ravage, me défonce, tu attrapes mes hanches comme tu caresserais la croupe d’une jument, je m’ouvre davantage, je te veux entièrement en moi, planté jusqu’aux couilles ! Tu me demandes de m’enfoncer des doigts dans le trou interdit ou de me pétrir les seins, je m’exécute sans broncher, je pince mes petits nichons, je me claque le derche moi-même, je saisis mes globes à pleine main et je t’offre tout de moi, mon oignon puant, ma fente fétide, ma mouille iodée telle une plage à marée basse et je me laisse démonter par ton énorme chibre qui me lamine à mort !

Je jouis, je jouis comme une sale gamine qui découvre et aime les odeurs de son con, même quand elle a pissé dans sa culotte ou qu’elle a ses règles, je jouis à en crier, je jouis à en pleurer ! Tu me fais décoller comme toujours, je suis ta chose, ta marionnette, ta belle petite salope qui en veut encore. Je ne sais comment tu le ressens, mais j’ai des envies de sodomie quelques fois, tu prends alors l’huile que j’appose sur ma peau après la toilette, tu m’en enduis le petit conduit et tu m’encules avec aussi peu de ménagement que tu m’as baisé le vagin. Dans ces moments-là, j’ai des orgasmes monstrueux, hideux, je vois mon visage déformé par l’excitation, la pièce est empuantie par mes fluides corporels, ma sueur, mes larmes, ma liqueur abondante.

Là tu t’extrais de moi, tu te redresses et je t’offre ma poitrine, je te branle, mes yeux ne sont plus qu’une décharge noirâtre où coule mon mascara. Mon rouge à lèvres tord ma bouche, je ne suis plus qu’une poupée de chiffon désarticulée et je reçois tes énormes jets de foutre sur les joues, le menton et les seins ! Ça sort, ça sort, par saccades, ça n’en finit plus, ta grosse bite est secouée, tendue vers moi, j’étire une langue timide et dégoûtée et je lèche tout ton sperme comme s’il s’agissait de la meilleure des friandises, qu’il soit sucré, amer, âcre ou salé.

Je t’aime … ce soir en rentrant, je ne me laverai pas, après avoir lu ces lignes dans notre magazine préféré, tu viendras baiser ta petite souillon …

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Paule


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