Mon orgasme m’excite à mort 

Compliments contre complexes

J’ai longtemps été complexée par la petitesse de ma poitrine, elle a toujours été menue et, à l’âge où les adolescentes voient leurs nichons prendre du volume, de mon côté … rien ! Étant très sportive, cela a été un atout pour mes compétitions d’athlétisme, en revanche côté garçons, c’est Chloé et Margot, mes meilleures amies, qui raflaient la mise. Et puis j’ai mûri, je me suis aperçue que mes petits lolos plaisaient beaucoup à certains hommes, surtout quand je minaude et fais semblant de me plaindre auprès d’un type qui m’intéresse. Je suis certaine d’être immédiatement complimentée et réconfortée. Évidemment, j’insiste, le gaillard me demande alors à voir et hop, l’affaire est dans le sac ! Je ne porte jamais de soutif, du coup, un tour aux toilettes, je soulève mon tee-shirt ou déboutonne mon chemisier et j’exhibe mes deux jolies merveilles. Je vous raconte mon histoire de sexe.

Jean  – Seb est le dernier à avoir craqué. Lui aussi complexait sur sa queue, pourtant franchement, il n’y a pas de quoi ! Quand il m’a montré son engin, j’ai la mâchoire inférieure qui en est tombée ! Une superbe bite, pas très épaisse certes, mais longue avec un très beau gland et surtout affichant une érection d’une dureté d’airain ! On est vite allé chez lui, passé le pas de la porte, je me suis déshabillée et je l’ai invité à en faire autant. Je tirais sur son slip pour remettre au jour ce pieu terrible qui me faisait saliver et mouiller. Je me suis même transformée en véritable chute d’eau lorsqu’il a sorti son portable pour nous prendre en photo, c’est « le » truc qui m’excite à mort ! Se filmer et se photographier.

J’ai enfin pu lui foutre la bite à l’air et commencer à le sucer, dur, dur de tout enfiler dans ma petite bouche, mais j’ai réussi à en avaler un peu plus de la moitié quand même. J’entendais Jean – Seb souffler plus haut, mes tendres coups de langue sur son chapeau et sous son frein semblaient bien faire leur effet. Puis cela a été à mon tour de goûter à ses talents linguaux, les filles qui m’avaient précédée dans son lit avaient réalisé un excellent travail de formation ! Il était diablement doué, langue mobile, très vive sur mon clitoris, ne craignant pas de saliver beaucoup quitte à se barbouiller le visage, s’aventurant loin dans mon con et visitant également ma petite rondelle.

Il m’a laissée sur le carreau une première fois ! Une jouissance qui a infusé un long moment au creux de mon vagin et qui est montée en flèche d’un coup. En bon amant, il a donné une parenthèse de repos à mon bourgeon et à ma chatte, mon palier orgasmique a duré assez longtemps, puis il a pointé sa grande tige devant mon cratère rose. Ma mouille recouvrait mes lèvres, il y a trempé son beau fruit comme on ferait d’une plume dans un encrier et s’est coulé en moi. Délicieux est le terme exact de ce que j’ai ressenti à cet instant précis, la dimension de sa colonne créait des miracles de sensations crépitantes tout le long de mes parois, il me faisait résonner tel un coup d’archet interminable sur les cordes d’un violon. Il s’est logé enfin tout au fond et j’ai senti ma matrice se dilater pour accepter l’intrusion en profondeur.

Ce premier coup d’estoc très doux donné, il m’a défoncée comme s’il maniait un marteau-pilon ! Mes jambes repliées sur mon torse, il écartait bien mes nymphes pour aller toujours plus vite, toujours plus loin. Je me caressais les seins, il a rapidement compris que j’étais très sensible des tétons et des mamelons. Lui aussi a glissé une main sur mes deux petites merveilles et y est allé franchement, n’hésitant pas, sur ma demande, à me les pincer fortement, à les malaxer ou à les triturer entre la pulpe de ses doigts.

Je suis montée au ciel deux fois tant sa queue venait taper pile aux endroits stratégiques dans ma grotte. J’avais le cerveau dans du coton quand il s’est penché pour déposer une myriade de baisers sur ma motte toute lisse. Délicieuse attention qui s’est de nouveau accompagnée de coups de langue ciblés sur l’intérieur de mes cuisses, mon bourgeon et ma fragile étoile plissée. Il m’a invitée à me tourner, ce que j’ai fait de bonne grâce, et il m’a relimée en levrette. Mama mia ! Avec une telle longueur de bite, il allait encore plus loin qu’en missionnaire, j’ai eu mon quatrième orgasme. Des convulsions ont parcouru tout mon corps, j’ai chassé l’intrus de mon sexe, j’étais saturée par le plaisir et j’ai senti Jean – Seb se branler dans mon dos. J’ai juste eu le temps de faire pivoter la tête pour voir son méat cracher un sperme translucide et épais qui a souillé ma chute de reins et mes fesses.

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