Le nez fin
1 janvier 2023Une fois n’est pas coutume, mon frère venait de me téléphoner pour s’inviter avec sa petite famille à prendre le café chez moi. Et profiter, par la même occasion, de la piscine. À l’heure dite, il a débarqué, accompagné de sa femme. Comme c’était prévisible, le frangin nous a demandé l’autorisation de se baigner. L’accord donné, accompagné de sa compagne, ils sont allés se changer dans la maison. Sitôt revenus, ils ont plongé tous deux dans l’eau. J’en ai profité pour aller aux toilettes. C’est alors que, dans la salle de bain, mon regard s’est porté sur le tas de vêtements posé sur la machine à laver. Mais plus encore sur la petite lingerie enroulée sur elle-même de couleur noire. Je m’en suis saisi et l’ai approché de mon visage, un geste que j’affectionne depuis des années. Une forte odeur de sexe s’en est dégagée. J’ai enfoui mon nez dans le nylon, et je l’ai humé bruyamment, emplissant mes narines des arômes du sexe de ma belle-sœur. Je m’appelle Sébastien, j’ai 50 ans et voici mon histoire porno.
Des invitées à déculotter
Le soir dans mon lit, j’ai repensé à l’épisode de l’après-midi. Et cela m’a donné une idée. Celle de profiter de cette piscine pour nourrir ma passion de renifleur de culottes portées. Le week-end suivant, j’ai invité un collègue et sa femme à venir passer la journée chez moi. Comme il faisait chaud, il était facile pour moi de les pousser à la baignade. Ceci fait, je suis allé dans la salle de bain et me suis retrouvé seul avec une culotte en dentelle blanche. Une fois à l’abri de tout regard, j’ai enfilé la lingerie en guise de couvre-chef. L’empiècement poisseux a couvert mes narines et ma bouche. J’ai bandé. La coquine avait copieusement mouillé. J’ai léché la dentelle trempée.
Quelques jours plus tard, ma femme m’a confié son envie de faire venir ses collègues de travail pour leur faire profiter de la piscine. Vous pensez bien que je l’y ai encouragée. Je connaissais deux femmes du groupe. Une belle Martiniquaise, qui portait ce jour-là une jupe en jean, et Agathe, la cheffe de service, vêtue d’une jupe en cuir. J’ai attendu de les entendre barboter dans la piscine pour filer à l’intérieur. J’ai trouvé ce que je cherchais dans le salon.
Des petits tas de fringues soigneusement disposés sur le divan en angle. J’ai tout de suite reconnu la jupe en jean de la belle Martiniquaise. Sa culotte était de couleur rouge. Je l’ai portée à mon nez, et j’ai aspiré de longues bouffées comme pour m’enivrer des relents malodorants que dégageait la lingerie. Une odeur de chatte pas bien essuyée. Puis mon regard a été attiré par la jupe en cuir. Juste en dessous, se tenait une culotte en nylon de couleur chair. Je l’ai enfilé sur ma main, avant de guider la partie souillée sous mes narines en inhalant les effluves. L’odeur dense, épicée, m’a envahi. Ce fut avec ces deux trophées en main que j’ai rejoint la salle de bains, et que je me suis masturbé, en les reniflant par alternance.
J’ai gardé celle de la jolie Martiniquaise. Le soir même, dans mon lit, dans le noir, je me suis fait sucer la queue par ma femme alors que j’humais discrètement la culotte de sa collègue.
Jeunes et entreprenantes
Un matin, alors que j’étais en récupération, j’ai reçu un appel de la fille du frère de ma femme qui a 22 ans. Elle m’a demandé si elle pouvait passer faire un plongeon dans la piscine avec une amie. Quand elles se sont baignées, je n’ai pas résisté à la tentation d’aller fouiner dans leurs vêtements. J’ai très vite repéré la petite culotte de ma nièce. Toute la fourche était souillée par une couche de sécrétion vaginale, blanchâtre comme du lait.
Puis j’ai pris celle de la copine, en coton de couleur blanche. L’empiècement était maculé par une couche épaisse de mouille. Je l’ai reniflé. La fourche souillée dégageait une odeur iodée, capiteuse, toute féminine. J’étais dans un tel état d’excitation que j’ai senti mon slip s’humidifier. Toutes ces odeurs de sexe de jeunes filles me donnent des pensées cochonnes et une trique d’enfer. Mais au lieu de me branler pour faire retomber mon excitation, je me suis rendu à la piscine. Je me suis allongé au soleil et ai fait mine de dormir. Le soleil m’a fait somnoler.
C’est alors que les filles se sont approchées de moi. « Regarde son short comme il est gonflé », a dit ma nièce. J’ai senti le frôlement de ses cheveux mouillés sur mes cuisses. S’en est suivi un baiser sur mon gland. Les deux filles avaient envie de tester des choses et de m’utiliser comme cobaye ! J’ai fait plus que jamais semblant de dormir. Le va-et-vient de ses lèvres sur ma bite et ses coups de langue ont tout balayé. Elle m’a sucé avec une voracité obscène. Mais aussi, une habileté hors pair. Et tout cela, devant les yeux envieux de sa copine.
Celle-ci a fait tomber le bas de son maillot. Ceci fait, elle s’est placée à califourchon au-dessus de ma tête, amenant son sexe chloré juste devant mes narines. Elle a frotté son bouton contre le sommet de mon nez. Lasse, ma nièce a cessé la fellation pour s’alléger elle aussi du bas de son maillot. Elle m’a enjambé à son tour pour placer son sexe à la hauteur du mien. Tenant ma queue par la base, elle s’est fouillée la fente avec précaution, se branlant à l’aide de mon gland.
À un moment, mon dard l’a pénétré jusqu’aux poils. Elle est demeurée un instant interdite, avant de me chevaucher, montant et descendant le long de ma verge. Puis elle s’est laissée tomber sur le côté pour laisser ma queue souillée à sa copine. Celle-ci ne s’est pas fait prier pour me chevaucher à son tour. J’ai senti sa liqueur d’amour couler sur mon gland. Sa chatte a enserré fermement ma bite, avant d’entamer de lents mouvements de hanches. Puis elle a accéléré le rythme, au point que ses gémissements se sont transformés en hurlements de joie et de plaisir, jusqu’à être terrassée par l’orgasme…
C’est à ce moment-là que je me suis réveillé de ce doux rêve… J’avais vraiment fini par m’endormir et par m’évader dans mon imagination ! Les deux filles étaient en train de batifoler dans l’eau. Je suis retourné à la salle de bain pour me masturber avec leurs culottes.
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