La queue d’Omar
29 août 2021Lectrice occasionnelle de votre revue, j’apprécie beaucoup votre ouverture d’esprit, si bien que j’aimerais à mon tour vous faire partager mon expérience d’épouse libertine… Je m’appelle Clara et voici mon histoire porno.
Le nouveau jardinier
Âgée de 47 ans, je suis mariée depuis vingt-cinq ans avec Éric, de trois ans mon aîné. Nous formons depuis ces longues années un couple uni et heureux. Époux attentionné, il s’occupe fort bien de moi mais, seule ombre au tableau, qui est cependant de taille : c’est sur le plan sexe que cela va moins bien. Là, mon époux n’assure plus du tout depuis pas mal de temps. À part une érection de 10 minutes une fois par mois, c’est le calme plat. J’ai bien essayé de lui parler, mais il prend ça à la légère. Je pensais que c’était passager, mais voilà, rien n’a changé. Même les menaces d’aller voir ailleurs ne l’ont pas fait bouger. À part deux incartades, j’ai toujours été sérieuse. Mais, début septembre, un événement m’a déclenché une envie irrésistible de baiser, et je ne regrette vraiment pas mon choix.
Eric avait fait venir un jardinier pour entretenir les allées de notre maison. C’était un Maghrébin d’une quarantaine d’années, Omar, un type plutôt sympa au regard malicieux et au physique très attirant, je dois avouer. Trapu au teint mat, il avait une attitude virile et une musculature bien dessinée. Ses shorts, en plus de montrer des jambes musclées, moulaient de volumineux attributs. Je restais rêveuse devant ce gars, mais je n’osais pas imaginer que quelque chose se passerait entre nous.
Pourtant un après-midi, dès le départ d’Éric pour son bureau, j’ai eu la surprise de le voir entrer dans la maison, sourire en coin et oeil coquin, pour me demander un verre d’eau. Tandis que je le servais, il a posé sur moi un regard on ne peut plus libidineux et il m’a lancé d’un coup : « J’ai entendu ce que tu disais à ton mari… Si tu es en manque, je suis là. » Je suis restée sans voix. Il avait écouté notre discussion avec Éric, à la fin du repas. Je lui avais reproché de ne pas m’avoir fait l’amour depuis notre retour de congés. J’ai mis quelques secondes à lui répondre que ce n’était pas le cas. Il a souri et il s’est approché pour toucher ma cuisse avec sa grosse main. Je portais une robe jaune, courte et un peu ample. Ses doigts ont effleuré mes fesses.
Pour mon grand plaisir
Sans conviction, j’ai posé ma main sur son poignet pour l’arrêter, mais je savais que j’allais céder. J’ai mouillé avant même que ses doigts ne s’introduisent dans mon sexe. Deux minutes plus tard, je me suis offerte à lui. Écartant les cuisses, je l’ai laissé fouiller mon intimité. Il a ôté mon string, retroussé ma robe et m’a soulevée pour m’asseoir sur la table de la cuisine. J’ai murmuré un timide « non« , mais j’espérais qu’il me prenne.
Quand il a ouvert son short, j’en suis restée bouche bée. Sa verge, circoncise et large, était déjà bandée et superbement dure. Il n’a pas eu besoin de ses mains pour s’aider. Relevant mes jambes, d’un coup de reins, il m’a empalée. J’ai poussé un cri tandis que, fougueusement, il me pénétrait. Je ne pouvais pas contenir ce plaisir. Son étreinte puissante m’a fait jouir à plusieurs reprises avant qu’il ne se vide en moi. J’étais ivre de bonheur.
Sa queue était encore droite et bien raide, je n’en croyais pas mes yeux. » Viens sur le canapé « , m’a-t-il lancé. Après la cuisine, il n’allait pas remettre ça immédiatement quand même? Ben si. Je me suis retrouvée en levrette sur le divan. Toujours d’un coup de reins ferme, il m’a enfilée de nouveau. Je suis montée de suite au septième ciel, au point que j’ai cru m’évanouir. J’ai crié mon plaisir sans pudeur de longues minutes avant qu’Omar ne se lâche de nouveau. Il avait l’air tout fier et il m’a filé une claque sur les fesses en me commandant : » Sers-moi une bière et range bien tout ça que ton mec ne voie rien. »
Depuis, Omar me rend visite deux fois par semaine, et c’est toujours autant l’extase. Pour mon couple, j’ai longtemps pesé le pour et le contre. Mais, début décembre, j’ai pris une décision : Éric ne m’ayant pas fait l’amour depuis août, je lui ai glissé dans une discussion que j’avais cédé à la tentation. Touché dans sa fierté et réalisant qu’il était cocu, il a commencé à s’emporter. Calmement, je lui ai dit d’écouter s’il voulait comprendre.
Je lui ai expliqué que c’était purement sexuel, que je l’aimais mais que j’avais besoin d’un homme viril pour combler mes désirs. Puis, fermement, je l’ai informé qu’il n’avait pas d’autre option que d’accepter. J’étais sûre qu’il allait dire quelque chose mais, à ma grande surprise, il a juste lâché : « Tu ne me laisses pas le choix, mais sois discrète, s’il te plaît. »
Voilà, depuis lors, la situation est officialisée. C’est super comme ça. Je n’ai pas avoué à Éric avec qui je le cocufiais pour éviter tout souci, et j’espère que ça durera !
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Karim
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