Ma cousine était en deuil

La rédaction 18 juillet 2021

Je me présente : je m’appelle Raymond, j’ai 56 ans, j’habite au Pays Basque. Je suis grand et un peu costaud, cheveux gris et une bonne tête, d’après mes copains. Célibataire endurci, j’ai quand même des histoires avec les dames. Enfin, ça, c’était avant que je retrouve ma douce Marina qui est maintenant mon amante exclusive et à qui je dédie cette histoire porno.

Elle était effondrée

La dernière fois que j’avais vue Marina, ma cousine au deuxième degré, c’était lors d’une fête de famille 10 ans plus tôt. À 40 ans, elle était mariée et avait deux petits. Je l’avais trouvée très belle, toute brune comme une Espagnole, des yeux noisettes et une belle bouche. J’avais appris son divorce quelques années plus tard, mais je n’avais pas osé l’appeler. C’est finalement elle qui a fait le premier pas, un jour de décembre dernier. Mais pas pour prendre des nouvelles : pour m’inviter à l’enterrement de ma grand-tante Claude, sa grand-mère. Elle avait l’air très affectée au téléphone. C’était encore pire le jour des funérailles : elle pleurait comme une madeleine. Ça me rendait triste, mais j’étais surtout très embêté par un « détail » : Marina portait une robe noire moulante et moi, juste derrière elle dans l’église, je ne pouvais pas m’empêcher de bander en lui matant le popotin. 

Elle était si bouleversée qu’elle n’a pas tenu jusqu’à la fin de la messe. Un quart d’heure avant, elle s’est tournée vers moi et m’a dit dans un sanglot : « Allez, Raymond, tu m’amènes prendre l’air ? ». J’ai hoché la tête et nous sommes sortis le plus discrètement possible. Il faisait un temps de chien dehors, alors je lui ai proposé qu’on aille jusqu’à la salle des fêtes voisines, où on avait prévu de boire un café après l’enterrement. On est entrés et Marina s’est effondrée en larmes dans mes bras. « Je ne sais pas pourquoi ça me fait ça, je suis désolée », s’est-elle excusée. J’ai pris son visage dans mes mains et j’ai essuyé le mascara qui lui barbouillait les joues. Puis je l’ai rassurée : « Tu n’as pas à t’excuser ! C’est une mauvaise journée. » Et sans savoir pourquoi, j’ai rajouté : « Même toute pleine de larmes, tu es magnifique. » Ma cousine m’a regardé comme si le ciel venait de lui tomber sur la tête. Puis elle m’est de nouveau tombée dans les bras, mais cette fois-ci, bouche en avant pour m’embrasser. 

Le réconfort

La suite est très confuse dans ma tête, tout est allé très vite et j’étais aussi excité que tourneboulé. Quand même, nous étions là pour dire au revoir à grand-tante Claude, et puis Marina était de la famille… Mais je ne pouvais pas résister à ses lèvres si douces sur les miennes, ni à sa petite main qui déjà cherchait mon trombone à coulisse dans mon pantalon. Elle l’a sorti et il a eu l’air énorme, entre ses petits doigts. Quelle poigne elle avait ! Elle n’a eu qu’à faire quelques allers-retours pour que mon membre durcisse. Elle m’a alors tourné le dos et s’est plaquée contre le mur. « Prends-moi, Raymond ! », a-t-elle murmuré. Comme dans un rêve, j’ai relevé la robe noire et baissé le collant. Ma cousine portait un string, et j’ai pris quelques secondes pour jouer avec la ficelle dans sa raie. Elle a gémi, surexcitée. Au diable les scrupules ! J’ai craché dans ma main et cherché le con de Marina. Il était chaud et palpitant. J’ai étalé la salive de haut en bas, laissant traîner mon index entre ses lèvres. Elle s’est ouverte comme une fleur…

Elle était si menue dans mes bras, et pourtant si bien campée sur ses jambes ! Je l’ai enlacée, mes mains cherchant ses seins sous la robe. Je l’ai possédée d’un coup de rein et elle a continué à gémir, tandis que je la besognais sans ménagement, fou de désir, son cul frottant sur mes cuisses et son vagin serrant mon membre. Dans la poche de ma veste, j’ai senti mon téléphone vibrer. Il fallait faire vite, la famille sortait sans doute de l’église. Alors j’ai accéléré le rythme, soufflant fort à l’oreille de la belle : « Je vais venir, Marina, je vais jouir en toi… ». C’est là que j’ai senti glisser sa mimine entre ses jambes et un doigt rejoindre mon sexe à l’intérieur de son con. C’était trop ! J’ai éjaculé et c’est là, en sentant le jus couler sur son doigt, que la belle a éclaté à son tour.

À peine le temps de se rhabiller que nous avons dû sauter dans la voiture pour la mise en terre. Marina, cette fois, a tenu bon, toute serrée contre moi sous la pluie. Nous ne nous sommes plus quittés depuis. Comme quoi, les grands bonheurs arrivent même quand on ne s’y attend pas. 

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