Une nurse cochonne

La rédaction 20 juillet 2023

Je m’appelle Luc, j’ai 35 ans et j’ai bien envie de vous partager une histoire de sexe dont le souvenir me donne encore la trique. Je bosse dans le secteur de la banque d’affaires à Genève et c’est la belle vie pour moi : gros salaire, sports en plein air, soirées en boîtes avec mes amis le week-end… L’hiver dernier, je me suis blessé en faisant de l’escalade. Fracture ouverte de la cheville. J’ai choisi la meilleure clinique de Genève pour être sûr d’avoir le top du top des médecins et me faire chouchouter comme à l’hôtel. Après tout, on n’a qu’une vie et deux chevilles !

Aux petits soins cette infirmière

Sur place, le personnel était aux petits soins. Surtout la belle Audrey, infirmière d’une vingtaine d’années très, très bien gaulée. Après mon opération, j’ai passé quelques jours de convalescence en sa compagnie. On flirtait dès qu’elle passait me voir dans ma chambre et j’ai fini par lui dire que j’avais peur de ne plus être “fonctionnel”. Elle m’a répondu que ma cheville allait se remettre, mais je lui ai indiqué que c’était un peu plus haut, que j’étais en train de perdre de l’entraînement…

Un petit sourire aux lèvres, Audrey a attrapé mon portable sur la table de nuit et a tapé un message. Elle s’envoyait mon numéro. Puis elle est sortie de ma chambre sans rien dire. Quelques minutes plus tard, je recevais une superbe photo de l’infirmière, prise depuis les WC du personnel et montrant son meilleur profil…

J’ai sorti ma queue durcie par cette belle image et j’ai commencé à me masturber sous les draps. Hum, la garce m’avait mis une gaule d’enfer… Mais déjà, mon portable vibrait à nouveau. Audrey la coquine me donnait rendez-vous en salle de repos ! Elle n’était qu’à quelques mètres de ma chambre, ce qui m’a permis d’y accéder en claudiquant sur mes béquilles.

J’ai toqué à la porte, espérant que personne ne serait là hormis Audrey la cochonne… Elle a entrouvert la porte et je me suis engouffré dans la pièce. La lumière était tamisée, l’ameublement bien plus spartiate que dans les chambres haut de gamme des patients. Qu’importe. J’ai entendu l’infirmière fermer la porte à clé.

Dévouée à mon plaisir

Je me suis tourné et je l’ai vue dos contre la porte, à se mordiller les lèvres. Elle avait enlevé sa blouse et ne portait plus qu’un top en satin et ses sous-vêtements. Mi-soignante, mi-écolière, dans tous les cas, super sexy… Avec un air hautement lubrique, elle a désigné le canapé du regard. Je me suis dirigé tant bien que mal vers la couche, mais elle m’a devancé. Le temps que j’arrive à sa hauteur, Audrey était déjà allongée, un air gourmand aux lèvres.

Avez-vous déjà été pompé par une nurse cochonne ? La garce connaissait si bien son anatomie que mon chibre s’est tendu à m’en faire mal. Elle a commencé par empoigner la base puis branler la tige, tout en donnant des coups de langues humides sur le gland. Un délice… J’ai relevé son top pour admirer sa poitrine. Elle ne devait pas avoir plus de 25 ans, tant ils étaient fermes et bien moulés. Le canapé est vite devenu trop étroit pour nos ébats et nous avons migré sur un canapé-lit, Audrey en profitant pour faire tomber la culotte et le top. Elle était désormais à la merci de mes mains avides.

J’ai eu envie de pétrir son cul et nous avons trouvé la position adéquate pour que je puisse le palper sans nuire à ma cheville blessée. J’ai massé avec délice, puis trituré du bout de l’index son petit orifice. Mais Audrey a joué les timides, m’orientant plutôt vers son antre épilé. Elle était si moelleuse que je me voyais déjà y pénétrer… Ce que j’ai fait après quelques douces caresses et sous les gémissements de la belle.

Pour encore plus de kif, je l’ai ensuite retournée sur le dos, jambes écartées à fond. Qui aurait refusé de baiser cette chatte lisse et serrée tout en profitant de la vue ? L’infirmière était décidément toute dévouée à mon plaisir… À peine l’avais-je fait jouir d’une série de coups de boutoir bien appliqués, que Mademoiselle était à nouveau à mes pieds pour m’avaler le gourdin. Ah, quelle pompe ! Quel entrain ! Elle allait réussir à me purger, à force d’aspirer si intensément !

Quand j’ai lâché la purée, Audrey s’est empressée de tout avaler à pleine gorge avec des gémissements surexcités. Seules quelques gouttes ont giclé sur sa joue. Je les ai recueillies du bout des doigts, avant d’en régaler la chienne qui me regardait de ses yeux énamourés.

Je ne suis pas encore prêt à être en couple et Audrey le sait. Mais nous avons gardé contact après ma sortie de la clinique et je profite de ses bons soins dès que le besoin s’en fait sentir.

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