En grande pompe !

La rédaction 9 juillet 2020

Dan, 49 ans, est l’amant d’une jeune et belle femme. Férue de fellation, elle aime lui donner beaucoup de plaisir.

Voici mon histoire de sexe.

La sonnerie de ma porte d’entrée venait de retentir. J’enfilais à la hâte un tee-shirt blanc et bien repassé. Je ne voulais pas avoir l’air trop apprêté mais tout de même assez propre sur moi. Le tee-shirt avait l’avantage de mouler convenablement mon torse et de mettre en avant le travail acharné à la salle de sport qui m’occupait six heures par semaine.

J’ai ouvert la porte et elle est entrée, rayonnante. Toujours un peu trop maquillée, mais tant pis. Je savais que c’était sa façon à elle de vouloir me plaire. Je ne sais pas ce que faisait son mec pendant qu’elle était avec moi et je m’en suis voulu de me poser de suite la question en la voyant poser son sac à main noir dans l’entrée. Quelle excuse avait-elle dû inventer cette fois-ci ? Elle arrivait toujours à venir me voir, régulièrement, pour passer un bon moment en ma compagnie. Il faut dire que je suis un hôte d’exception. Je lui avais préparé des escargots et une belle pièce de viande, le vin au frais était un de ses préférées et la playlist musicale avait été minutieusement choisie.

J’ai commencé par lui poser quelques questions, j’ai écouté ses réponses évasives et courtes, elle n’aimait pas parler d’elle. Alors, j’ai parlé de moi. Je sais que je parle trop, mais je ne peux pas m’en empêcher. Elle doit me prendre pour un vieux con. A 27 ans, on aime autant apprendre de la maturité que s’en moquer. C’est l’âge où l’on devient lucide sur le monde sans en avoir toutes les clés. Je la voyais me regarder, essayer de rester attentive, son sourire bloqué sur le coin des lèvres. Je crois qu’à un moment je suis devenu vraiment chiant et elle s’est levée de son tabouret haut. Doucement, elle s’est placée à côté de moi et m’a embrassé dans le cou. Nos premiers contacts sont toujours électrisants pour moi. Et même parfois un peu désarmants. Mais sa spontanéité m’amuse, me change des femmes de mon âge dont la sexualité est très attendue et formatée. Elle caressait très doucement mon ventre avec un air de dire qu’elle préférait me baiser plutôt que m’écouter. J’ai pris son menton dans ma main, je l’ai regardée droit dans les yeux et je l’ai embrassée à pleine bouche.

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Je savais ce qu’elle attendait en venant ici : que je la fasse jouir. Et elle n’avait pas beaucoup de temps à perdre. J’ai baissé sa jupe d’autorité et ai passé ma main sous son collant. Sa chatte douce, partiellement épilée, n’était pas encore humide. Mais elle se laissait faire, impatiente et laissait son regard se perdre. Elle se conditionnait pour lâcher prise. Deux de mes doigts sont allés caresser l’entrée de son vagin. Elle n’aimait pas quand j’y allais trop profondément, juste doigter un peu l’entrée, ça suffisait pour commencer à l’entendre gémir. De longs soupirs d’encouragement s’échappaient de ses lèvres et je l’ai retournée contre mon bar en marbre. La coquine s’est cambrée naturellement, elle savait que j’allais lui donner quelques fessées. Avec elle, c’est juste un petit jeu, elle n’aime pas la douleur, mais se prête très facilement au rôle de l’écolière que l’on punit.

Je l’ai ensuite entraînée dans ma chambre, la bite au garde-à-vous et elle m’a glissé à l’oreille qu’elle avait très envie de me la sucer. C’était son truc à elle : la fellation. Je me suis affalé sur le lit et, très fière, elle est venue engloutir mon chibre d’une traite. Je me retenais de jouir, je sais que, quand les sensations sont trop fortes d’un coup, je peux partir très vite. A l’aise, assurée, elle continuait sa pompe à une vitesse démente. On ne faisait plus la différence entre ma peau et ses lèvres, mon gland et sa langue. Je lui ai demandé si je pouvais prendre quelques photos, pour avoir un souvenir d’elle quand elle ne serait plus là, et elle a accepté. Pour éviter de jouir trop rapidement, j’ai décidé de la prendre en levrette. Je pourrais enfin être aux commandes et décider du rythme et des sensations. Elle s’est mise à quatre pattes, docile. L’attente avant le premier coup de bite est toujours un grand moment.

Enfin, j’enfonce mon gland, doucement. Elle ondule le bassin autour de ma bite et je lui donne quelques coups de reins. Je sais qu’elle ne peut pas jouir de cette façon, elle ne peut pas se masturber en même temps. Alors, rapidement, je l’ai retournée sur le dos et j’ai enfoncé ma bite en elle. Elle s’est ruée sur son clitoris avec ses doigts pour obtenir enfin l’orgasme libérateur. Son regard s’est brouillé, sa poitrine s’affolait et ses doigts allaient à une vitesse telle qu’on ne voyait qu’un flou au-dessus de sa vulve. Elle a hurlé un « Merci, putain ! ». J’ai joui quelques secondes à peine après.
Elle m’a caressé le ventre doucement, un large sourire aux lèvres, le visage démaquillé par la sueur et l’effort, les cheveux en bataille. « Merci » m’a-t-elle soufflé du bout des lèvres avant de reprendre ses affaires. Allait-elle retrouver son mec après ça ? A nouveau, je m’en voulais d’y penser… Je suis un homme qui se contente de ce qu’on lui donne. Et avec elle, c’était déjà beaucoup.

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