Poupée de chiffon

La rédaction 29 juillet 2021

Mon métier : casteur pour une agence internationale de mannequinat. Je passe ma vie à repérer de superbes filles qui, pour certaines, deviendront des tops modèles mondialement célèbres. Bien sûr, ce job est aussi un aimant à plans cul. Le dernier en date : une splendide jeune femme à la langue de velours. J’en bande souvent encore ! Je m’appelle Antony, j’ai 39 ans et voici mon histoire porno.

La séduction

Je sors dans pas mal d’endroits branchés pour repérer les filles. Ce soir-là, j’étais à un vernissage dans une galerie chic du Marais. Je connaissais bien le galériste, Sergueï, un fêtard que je croisais souvent en club. Jessica est arrivée en même temps que les petits fours et, croyez-moi, elle était encore plus appétissante. La vingtaine, grande brune au style un peu dark, des yeux bleus comme des saphirs… Je voulais deux choses : la caster pour l’agence et la tester pour mon plaisir. Elle s’est laissé approcher sans difficulté.

Quelques flûtes de champagne plus tard, nous parlions de son intérêt pour la mode et du fait qu’elle n’avait jamais envisagé d’être du côté de celles qui magnifient les vêtements en les portant. Coquin, je lui ai fait remarquer qu’elle devait être suffisamment belle toute nue pour ne pas avoir à s’embarrasser avec des sapes haute couture. J’ai vu son sourire et j’ai compris qu’elle était aussi excitée que moi. Promettre une carrière de mannequin à une minette dans son genre a généralement un effet terriblement aphrodisiaque.

J’ai fait signe à Sergueï qui a reluqué la fille et qui a vite compris ce que je voulais. Quelques minutes plus tard, il nous ouvrait la porte de son bureau et la refermait derrière Jessica et moi. En un éclair, celle-ci s’est jetée sur moi. Après l’avoir pelotée et embrassée jusqu’à ce mon chibre soit dur comme du bois, je me suis installé dans le confortable fauteuil de Sergueï et j’ai baissé mon pantalon. Les yeux bleus de la belle ont étincelé, et elle a passé sa langue sur sa bouche bien ourlée.

La baise

Une seconde après, elle passait sous le bureau et m’avalait tout entier. Je me suis cambré dans le fauteuil et j’ai lâché un soupir de contentement. Quel pied d’avoir cette sublime créature rien qu’à moi… Ses yeux plantés dans les miens, elle a aspiré mon dard, suçant mon gland comme s’il s’agissait du meilleur des berlingots. Devant tant d’appétit, j’ai saisi ses cheveux et je l’ai guidée pour un maximum de plaisir, en essayant de me contenir : les bruits de succion qui sortaient de sa bouche étaient tellement excitants qu’il ne m’en aurait pas fallu beaucoup plus pour que j’éclate sur sa langue.

À bout de souffle, Jessica a fini par se relever et s’est assise sur le bureau. Elle a écarté ses jambes, et j’ai pu constater qu’elle ne portait pas de culotte. Je me suis levé à mon tour et je me suis collé à elle. Avec deux doigts, j’ai ouvert sa chatte rose et juteuse, tout en faisant glisser les bretelles de sa robe de l’autre main. Ses tétons étaient de la même couleur que l’intérieur de son sexe. Je les ai mordillés, tandis que mes doigts jouaient avec son clitoris. Elle s’est penchée à mon oreille et, haletante, m’a glissé : « Prends-moi tout de suite. » Comment refuser ? J’ai soulevé Jessica du bureau. Elle était légère comme une plume, et je n’ai eu aucun mal à la planter sur ma bite, comme un bilboquet. Je l’ai fait coulisser comme ça pendant de longues minutes, lui arrachant des cris de plaisir. Je suis à peu près sûr que Sergueï écoutait de l’autre côté de la porte. Il aurait sans doute tout donné pour fourrer cette belle garce à ma place !

Mes bras ont commencé à fatiguer, et j’ai installé Jessica dos à moi, les coudes appuyés sur le bureau. Je n’aime pas cette position, mais je voulais la prendre à fond pour la faire jouir, et me terminer comme je l’entendais ensuite. Elle a été longue à venir mais j’ai fini par lui arracher un bel orgasme en la prenant par les épaules et en la bourrant aussi fort que je le pouvais. Jessica était maintenant molle comme une poupée de chiffon, et je savais que je pouvais en faire ce que je souhaitais.

Je l’ai allongée sur le bureau de tout son long, sur le dos, la tête dans le vide. Et je me suis placé devant sa jolie bouche, dans laquelle j’ai à nouveau enfoncé ma queue. Elle a lâché un râle mais n’a pas résisté longtemps. En quelques allers-retours, je la possédais complètement, mon gland allant jusqu’à sa glotte. J’ai tenu comme ça plusieurs minutes, retardant l’orgasme au maximum. Mais ses petits couinements et sa salive qui coulait jusqu’à mes bourses ont eu raison de moi : j’ai éjaculé en une belle rasade épaisse. La tête toujours dans le vide, Jessica n’a pas eu d’autre choix que de l’avaler. Elle s’est ensuite redressée, les lèvres couvertes de foutre, les larmes aux yeux tant la pipe avait été intense.

En revenant dans la galerie, quelques invités ont fixé Jessica. Les joues encore roses et des traces de mascara sur les joues, on pouvait deviner qu’elle avait pris son tarif. Un jour, si elle devient célèbre, cette fellation fera peut-être partie des histoires que les jalouses raconteront dans son dos. Et je suis certain que cette petite catin s’en amusera beaucoup…

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