D’éjac en éjac

La rédaction 27 janvier 2021

Étudiante en médecine, Mylène, 19 ans, se retrouve sous les ordres de son amant entreprenant. La belle va enchaîner les fellations pour son grand plaisir.

Je suis entrée en faculté de médecine à Paris en début d’année et je me suis tout de suite sentie beaucoup plus à l’aise, dans mes amitiés, qu’au lycée. Petite, mignonne mais timide, ayant du mal à avoir de la répartie, j’étais souvent la « laissée pour compte » et je mangeais seule au réfectoire, l’année dernière. Mais depuis que je suis « à la fac », tout est différent. Mes camarades me semblent beaucoup plus ouverts aux nouvelles rencontres, il y a moins de clans et je n’ai plus aucun problème pour tisser des liens. J’ai une bande d’amis, dans laquelle j’ai rencontré Benoît.

Il n’est pas un « canon de beauté », mais c’est un petit brun avec des taches de rousseur qui sait se révéler très dominant au lit. Enfin, ça je l’ai découvert au fur et à mesure de notre relation. Mais dès la première nuit que je vais vous raconter dans cette histoire de sexe, il a su imposer sa marque.

Au bout du quatrième ou du cinquième rendez-vous où l’on se voyait juste tous les deux, sans la bande, après un cinéma (et qu’il m’avait déjà avoué qu’il avait clairement envie de moi), j’ai accepté d’aller chez lui, dans son petit studio de 20 m2 au 6e et dernier étage. Là, il m’a directement plaquée contre le mur, à peine la porte d’entrée était-elle refermée, et m’a mordillée les lèvres. « Je ne peux plus attendre, Mylène… »

J’avais encore mon sac à main au bras et je l’ai laissé tomber dans un gros « boum » au milieu de ses chaussures mal rangées qui traînaient par terre.

« Tu sais Mylène, j’aime les trucs un peu musclés, j’espère que ça ne te dérange pas. »

À vrai dire, j’étais ravie qu’il prenne l’initiative et qu’il ait déjà un « avis sur la sexualité ». J’ai senti sa cuisse écarter les miennes et venir frotter contre mon clitoris. C’était vraiment trop bon, et j’avais beaucoup de mal à lui dire d’arrêter, même si je trouvais que l’action allait un peu vite. J’ai essayé d’échapper à son étreinte et ai prétexté aller aux toilettes. Il m’a dit « OK, mais tu as deux minutes. Je te chronomètre. En attendant, je me déshabille. Et quand tu sortiras, je t’ordonnerai de me sucer. »

Il m’a regardée avec un adorable sourire qui contrastait terriblement avec la dureté de ses mots. J’ai craqué et je suis rentrée dans son jeu instantanément. « C’est parti ! Va pour les deux minutes. » 

Alors que j’allais dans le couloir, Benoît a précisé sa demande : « Par contre, je veux que tu laisses la porte ouverte. » Je me suis retournée vers lui avec de grands yeux et l’air de dire « pas question de laisser la porte ouverte ! ». Je me suis aperçue que les délires de Benoît allaient bien plus loin que ce que je n’aurai pu imaginer, semant un doute terrible sur la suite des opérations.

Une fois la chasse d’eau tirée (en fait, je n’ai pas pissé, c’était juste pour faire diversion), Benoît m’attendait comme convenu, nu comme un ver, la bite bien tendue. Il avait une très belle queue, pas très grande, mais assez épaisse, qu’il décalottait et recalottait devant moi, d’un air nonchalant. « Tu vas la sucer, Mylène », a-t-il dit d’une voix très calme.

Je me suis agenouillée devant lui encore tout habillée. Il a tenu sa queue et me l’a enfoncée dans la gorge. Il bougeait son bassin tout en maintenant ma tête bien droite, fixée dans la continuité de son membre. Au bout de quelques minutes à peine, il m’a éjaculée sur le visage en riant. 

Il m’a tendue du papier pour que je m’essuie le visage, puis il m’a prise dans ses bras : « Ça va, ce n’était pas un peu too much pour une première fois ? ».

Je lui ai avoué que j’avais trouvé ça très intéressant, et que j’étais prête à recommencer. Benoît m’a alors déshabillée tendrement puis il m’a conduite dans la douche. Là, il m’a complètement nettoyée comme une petite poupée. La chaleur de l’eau me faisait un bien fou et l’effleurement de ses doigts et de sa paume m’enveloppaient de réconfort.

Une fois que j’étais propre, puis sèche, il m’a demandée de le sucer à nouveau, ce que je me suis empressée d’exécuter. Il m’a à nouveau éjaculée dessus, comme un peu plus tôt. Toujours avec ce même rire franc et désarmant. Je me suis mise à rire à mon tour, heureuse d’avoir trouvé un guide initiatique dans la découverte de ce nouveau plaisir.

(Photo à la une : Getty Images)

Si vous avez aimé cette histoire, vous aimerez aussi…

La culocation

Premiers pas dans le BDSM

Le prof de sport et l’étudiante coquine !

À propos de l’auteur

La rédaction


Réagir à cet article

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

interstron.ru