Une rousse à l’odeur épicée

La rédaction 2 septembre 2020

Jean-Jacques, 35 ans, attend un colis important. Quand la livreuse s’avère être une belle rouquine, il craque : son fantasme se réalise enfin.

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J’avais un article important à livrer, quand l’ordinateur sur lequel je travaillais chez moi a montré des signes de faiblesse dans son système de ventilation. Pour y remédier, j’ai commandé la pièce à changer sur Internet avec mon téléphone portable. On m’a répondu que je serai livré le jour suivant. Le lendemain, impatient, je faisais le pied de grue dès 8 heures. Nous étions en juin et nous vivions une période de quasi-canicule. Un short et un polo suffisaient largement pour m’habiller dans l’attente du livreur.

Il était 16 heures 10 quand la sonnette du bas de l’immeuble a enfin sonné. Une voix féminine m’a annoncé : « Livraison ! » Quelques secondes plus tard, j’ai ouvert la porte d’entrée de l’appartement. Une jeune femme est apparue, svelte, en short. Elle était couverte de transpiration et haletait un peu du fait de son effort car elle avait pris les escaliers. Mais surtout, elle était rousse et avait les yeux verts. Elle se tenait devant moi avec le paquet. En signant le bordereau, j’ai vu qu’elle avait des petites taches de rousseur sur le nez.

Je me sentais prêt à craquer lorsqu’elle m’a demandé, un peu implorante : « Me permettez-vous d’utiliser vos toilettes ? » Je me suis effacé pour la faire entrer et l’ai conduite au fond du couloir. Lorsque, quelques minutes plus tard, la jeune femme est sortie de la salle de bain, je l’ai invitée au salon pour se désaltérer. Je ne sais pas ce qu’elle m’a raconté, assise dans le fauteuil en face de moi. Je la mangeais des yeux : c’était une rousse parfaite, comme je les rêve. Lorsqu’elle s’est levée pour partir, je me suis approché d’elle comme pour lui faire la bise. Mais, jouant le tout pour le tout, j’ai plaqué mes lèvres sur les siennes, conscient que je risquais de me prendre une gifle et de me faire traiter de tous les noms.

Miracle ! Elle a entrouvert ses lèvres et n’a opposé aucune résistance. Au contraire, j’ai senti sa langue contre la mienne et je lui ai caressé doucement l’intérieur des lèvres. J’avais passé un bras autour de ses épaules et je la pressais sans brutalité contre moi, sentant à peine ses seins qu’elle avait menus et sans soutien-gorge. J’ai descendu l’autre bras le long de son dos, puis de ses fesses. Elle exhalait son odeur de rousse, un peu épicée. Finalement, enhardi, j’ai passé ma main sous l’élastique de son short. Elle a écarté un peu les jambes pour que je puisse passer mon index sur sa fente. Après quelques passages tout en douceur, je l’ai sentie s’humidifier sous mon doigt et celui-ci a pénétré dans un antre voluptueux.

Mon sexe s’était réveillé et il poussait contre sa cuisse. Très volontaire, elle a plongé la main et a saisi le membre fermement, le branlant puis glissant vers les couilles qu’elle a attrapées, faisant glisser mon short à mi-cuisses car je n’avais pas mis de slip. Debout l’un contre l’autre, je l’ai poussée vers le canapé. Elle respirait doucement, paisiblement, me regardant faire avec un petit sourire. J’ai fait glisser son short et son string rouge vif. Quittant ses lèvres, je me suis penché sur son ventre. Sa toison rousse était taillée très ras en un triangle fin. J’ai plongé le visage vers son sexe, écartant ses lèvres d’une main et passant ma langue sur son clitoris, doucement d’abord, puis plus rapidement. Elle n’est pas restée inactive. Après m’avoir branlé, elle m’a sucé, s’attardant longuement sur mon gland. Caressant fermement mes couilles, elle a glissé un doigt dans la raie de mes fesses et a chatouillé ma rondelle. Puis elle a écarté largement les cuisses, montrant qu’elle s’abandonnait au plaisir que je faisais monter en elle.

Je l’ai pénétrée avec le pouce et j’ai commencé à l’agiter contre l’intérieur du vagin, tout en continuant à la lécher. Les effets furent immédiats et ses gémissements se firent plus haletants. J’ai poursuivi mes léchouilles sur le clitoris. Sa fente embaumait la mouille, le sexe et la transpiration de rousse : le parfum qui en résultait et que je léchais m’enivrait. D’une voix un peu étranglée, elle m’encourageait à poursuivre : « Plus vite, plus vite ! » J’ai senti par mes doigts les contractions de l’orgasme qui est arrivé, fort, bruyant.

J’ai retiré mes doigts de son sexe. Puis j’ai attrapé dans la poche de mon short un préservatif pour l’enfiler prestement. Je me suis couché sur elle et l’ai pénétrée sans difficulté. Elle a posé ses jambes sur mon dos, tandis que je lui ai fermement empoigné les fesses. Elle me fixait de ses grands yeux verts pendant que j’allais et venais en elle. Je sentais et j’entendais son plaisir revenir. Elle me serrait la queue très fortement tout en me laissant aller. Jamais je n’avais senti ma tige être aussi grosse, aussi longue dans un vagin et aussi bien tenue pendant que je donnais de bons coups de reins. J’ai tenu le plus longtemps possible mais, quand elle est repartie dans un orgasme aussi bruyant que le premier, je me suis laissé jouir et j’ai envoyé quatre ou cinq fortes giclées et beaucoup de petites. Quel plaisir !

Nous sommes restés allongés un moment l’un contre l’autre, quand j’ai senti que ma queue un peu flasque reprenait de la vigueur. Je me suis relevé et je lui ai demandé si elle voulait bien se mettre à quatre pattes. J’avais devant les yeux le merveilleux spectacle de son sexe bien tendu, brillant de mouille. Je l’ai pénétrée à nouveau, me repaissant de la vue de ma bite entrant en elle. Elle a posé sa tête sur le canapé et a commencé à se branler le clitoris. Elle n’y allait pas de main morte ! Mon ventre claquait sur ses fesses avec un bruit délicieux. L’odeur que dégageait son sexe, que je pistonnais sans relâche, était ensorcelante. Elle a marqué sa surprise quand je lui ai enfoncé un doigt dans le trou du cul, mais elle était trop lancée dans son plaisir pour s’y opposer. J’ai senti à nouveau, par les contractions de son anus, que le plaisir la gagnait. Elle est partie avant moi. Mes giclées furent fortes, mais modestes en quantité.

Elle est passée sous la douche quelques instants et en est revenue avec une serviette sur le dos. Je l’ai épongée en profitant de ses formes : dos, fesses, seins, ventre, cuisses et foufoune, en lui donnant des petits baisers. En deux temps, trois mouvements, elle a remis son polo, son string rouge et son short, enfilant ses baskets sans se baisser. Je l’ai vue disparaître dans l’escalier, me faisant un petit salut de la main. J’ai refermé la porte sur cette vision, abasourdi par cette aventure qui n’avait pas duré une heure, et dont il ne me restait que deux préservatifs pleins de sperme ainsi qu’une serviette mouillée.

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