La main au panier

La rédaction 9 juin 2021

Anaïs, 34 ans a beaucoup d’expériences à son actif mais rien de neuf. Elle rencontre un beau basketteur qui lui fait découvrir de tout nouveaux plaisis sexuels !

Je m’appelle Anaïs, j’ai 24 ans et déjà une belle expérience sexuelle à mon actif, grâce à mes différents mecs avec qui j’ai essayé plein de choses, et mes nombreux amants occasionnels. Mais je suis encore jeune et jusqu’ici, j’avais à peu près toujours les mêmes pratiques : pipe, cunni, pénétration, éjaculation interne. Bref, pas une palette des possibles très fournies pour une fille aussi libre que moi. De façon inattendue, c’est un gars rencontré en bas de chez moi qui m’a fait découvrir les joies d’autres formes de toucher, d’autres schémas sexuels. Je vous raconte dans cette histoire porno. 

Ce gars, c’est Enzo, un jeune sportif de mon quartier qui a à peu près mon âge et qui joue tous les jours sur un terrain de basket à côté de notre barre d’immeubles. Il avait un petit look racaille, mais j’aimais bien et sous ses airs de caïd, je le soupçonnais d’être un sensible. Je laissais toujours traîner mon regard quand il jouait, t-shirt moulant sur les épaules ou torse nu l’été. J’avais fini par me poster sur un banc à côté du terrain pour le regarder faire et lui avait fini par s’habituer à ma présence. Je sentais qu’il essayait de m’impressionner avec ses dribbles et je profitais du spectacle, avec toujours cette envie diffuse qu’il vienne me cueillir sur mon banc et m’emmène dans sa chambre.

C’est ce qui s’est plus ou moins passé quand il m’a proposé d’échanger des balles avec lui. Ce jour-là, nous nous sommes disputé le ballon en-dessous du panier de basket et nos corps se tournaient autour. C’était déjà une forme de sensualité… Sauf qu’à un moment, je suis tombée et je me suis fait mal à la cheville. Ni une ni deux, il a soulevé mon joli corps de brunette “poids plume” et il m’a emmenée dans son studio pour regarder ça et mettre un pansement sur une petite plaie qui s’était formée sur le côté du pied. Il s’occupait de bander mon pied déchaussé et ça me foutait le tournis tellement ça avait un côté sexy ! Il manipulait mon pied si délicatement que j’en avais des fourmis qui me remontaient dans les cuisses et jusqu’à mon sexe. Il a blagué sur le fait que j’essayais d’attirer son attention et que c’était réussi.

Je lui ai fait un grand sourire. Ses yeux bleus m’ont souri en retour. Il a déposé un baiser sur ma cheville et, comme j’ai émis un petit soupir, il a relevé la tête pour me regarder puis, plus enjoué, il a embrassé ma cheville à pleine bouche, dans ses moindres recoins, puis la peau du mollet, le genou, la cuisse.

J’étais en jupe sur son canapé et comme il progressait peu à peu avec ses petits baisers, je n’avais plus qu’une envie : qu’il enfouisse sa tête sous mon vêtement et qu’il se régale de mon nectar. Quand il est arrivé à mon sexe, j’étais tremblante et humide. Il a embrassé mon clito à travers ma culotte, puis directement dessus en soulevant le coton et c’était l’extase totale, tant son toucher était délicat. Il a embrassé et léché ma vulve avec délicatesse, puis il a recommencé ses baisers en partant de l’autre cheville pour remonter très lentement le long de ma jambe.

Sa langue et ses lèvres réveillaient chaque recoin de mes gambettes comme un massage, mais terriblement excitant. Il m’a déshabillée très doucement en faisant glisser chaque vêtement le long de ma peau me laissant savourer chaque instant. Il m’a emmenée dans sa chambre et posée sur son lit, en culotte. J’étais étendue sur le dos, totalement offerte, et à un tel niveau de confiance que je l’ai laissé me prendre en photo. Il y avait un miroir derrière moi et je me voyais belle, mes cheveux bruns coupés à la garçonne, mes seins à la peau de lait, volumineux et soyeux. J’ai pris la pose en m’étirant sensuellement. Il me parlait, me susurrant des mots doux, décrivant la beauté de mes formes. Je me liquéfiais. Enfin, il s’est mis nu à son tour et j’ai pu m’approcher.

Agenouillée près de lui, j’ai pris sa belle queue bien droite, qui barrait délicatement son ventre, dans ma bouche. Je l’ai léchée avec la même douceur qu’il avait embrassé mes jambes. Et, la bouche pleine de la tendresse de cette pipe, j’ai dirigé ma bouche vers la sienne pour l’embrasser sensuellement. Un vrai bonbon ! J’ai repassé ma langue tout doucement sur son gland après avoir embrassé son ventre et je sentais que lui aussi était en transe. Sa queue était parcourue de vibrations.

À sa demande, je l’ai prise entre mes pieds, très délicatement, et je l’ai branlée avec. Jamais je n’avais fait ça ! J’étais fascinée par son bel oiseau pris dans la cage de mes pieds. Je sentais monter son plaisir et quand il m’a dit qu’il était à deux doigts de jouir, j’ai avancé mon visage près de son sexe. Il s’est lâché sur ma bouche en se branlant. J’ai léché mes lèvres. J’étais dans un nuage de sensualité. Je me suis levée pour esquisser une danse. Il m’a prise en photo en contre-plongée et m’a attirée à nouveau à lui.

Là, il s’est mis à me lécher les seins avec une telle intensité et une telle douceur que j’ai senti le plaisir envahir toute ma poitrine et fondre sur mon sexe, entre mes cuisses tremblantes. Il a accompagné ses léchouilles de caresses sur mon clitoris. Il coordonnait parfaitement les mouvements de sa la langue et de ses doigts de fée. Le courant électrique de l’orgasme a fait un tour de piste en moi en répandant sa chaleur magique.

Tout avait été si simple ! Il m’a raccompagnée en bas et en rentrant je ne pensais plus qu’à lui. Depuis, je passe de plus en plus de temps au terrain de sport. Je ne sais pas si je progresse en basket, mais je profite au maximum de l’expérience d’Enzo au lit…

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