Le tour de chauffe de Renaud  

Nanou Redacteur 18 janvier 2022

Renaud 60 ans, redonne goût au plaisirs sexuels à sa femme à travers une histoire de candaulisme. Un fantasme tant pour lui que pour elle.

Voici ma présentation : Renaud, 60 ans, un travail de management dans la restauration. Je vis avec une femme de mon âge, que j’adore, même s’il y a eu des hauts et des bas. Elle s’appelle Jeanne-Marie, et nous sommes mariés depuis 39 ans (bientôt les 40 !).

Récemment, Jeanne-Marie était dans sa version « down ». Le petit dernier, Marin, 24 ans, est parti faire ses études dans la capitale et elle n’a pas supporté se retrouver toute seule (avec moi) à la maison. Elle avait des mots très durs, du style : « je suis vieille, je ne plais plus aux hommes. Sans les enfants, je n’ai plus d’utilité. »

Je vous mentirais si je disais que Jeanne-Marie avait conservé intacte la beauté de ses vingt ans, et pourtant, elle avait joliment vieilli. Elle avait encore une poitrine assez ronde, bien qu’un peu tombante, une poitrine tout du moins pleine, dans laquelle on peut se jeter tête la première. Ses fesses avaient conservé quelques jolis arrondis et sa cuisse était resté fine.

Un invité surprise

Je savais qu’elle plaisait encore à de nombreux mecs. C’est pour cela qu’un soir, j’ai invité Yves, mon collègue à passer à la maison. Yves est un beau parleur, un gugusse qui n’a pas la langue dans sa poche, et je me suis dit que c’était l’idéal pour Jeanne-Marie : une longue logorrhée remplie de compliments et de politesse.

Ma rencontre s’est tellement bien passée, chers lecteurs, que j’en fais aujourd’hui une histoire érotique !

Voici le début de la rencontre : Jeanne-Marie est restée un peu sur ses gardes, scrutant notre invité du coin de l’oeil. Elle avait l’impression d’un traquenard, mais Yves a très vite su se montrer charmant en s’intéressant à elle. Pour une fois depuis longtemps, je voyais ses yeux pétiller de bonheur et elle parlait de ses passions, de ses journées et de ses enfants, avec une joie qui était communicative.

Plus le temps passait, plus leur conversation se restreignait à eux-deux, et je me suis presque senti de trop, l’espace d’un instant. Il fallait donc agir. J’ai pris la main de Yves et je l’ai posé sur la cuisse de Jeanne-Marie, sous sa jupe bleu marine plissée. Si avec ça le message n’était pas clair, je ne savais pas comment faire mieux. J’ai vu Jeanne-Marie me regarder fermement puis regarder Yves. Et enfin, les deux garnements se sont embrassés, dans une étreinte un peu brusque, un peu maladroite, mais terriblement excitante.

Renaud le candauliste

Même si j’avais anticipé ce moment, je ne savais pas exactement les sentiments que j’allais ressentir ; de la jalousie, de l’étonnement, de la colère ? En réalité, il n’y a qu’une excitation, vive et intense, de voir ma Jeanne-Marie s’abandonner à la bouche de quelqu’un d’autre.

Je bandais comme un âne sous mon jean, mais je n’osais pas sortir ma bite pour ne pas casser l’ambiance. Les deux se sont levés. Ils ont fait tomber les chaises derrière eux, et sont montés, en trombe, direction la chambre. Yves était un peu perturbé par la situation mais Jeanne-Marie, toute folâtre d’avoir quelqu’un avec qui s’amuser, l’a guidé par la main.
Je les ai suivis, le souffle chargé de ma propre excitation, en me massant gaiement l’entrejambe. J’avais hâte de savoir jusqu’où Jeanne-Marie était prête à aller.

Ils sont mis nus, tous les deux. Elle a un peu hésité avant de lui faire découvrir sa poitrine et ses seins, qui la complexait un peu. Mais il a su la rassurer, à nouveau, par de nombreux compliments. Lui, en revanche, était gaulé comme un acteur de X. Sa bite lui arrivait pratiquement au genou et Jeanne-Marie a poussé un petit cri d’effroi. « Mais ça ne va jamais rentrer ? »

Un nouveau plaisir

On a dû s’y mettre à deux, avec Yves, pour bien lubrifier sa petite chatte et progressivement, lui mettre un doigt, puis deux. Il fallait l’écarteler au maximum pour que mon collègue puisse se sentir à son aise. A la fin, on arrivait à lui mettre quatre doigts, deux chacun. Alors Yves s’est dit qu’il pouvait s’y engouffrer. Ma pauvre Jeanne-Marie a poussé des beuglements très sonores pour encaisser tous les à-coups. Moi, je n’en pouvais plus, je m’astiquais la nouille comme si ma vie en dépendait.

Yves donnait de grands coups. Je le soupçonnais même de trouver une forme de plaisir à faire crier ma femme le plus fort possible, et plus il bourrinait, plus j’avais envie de jouir. Enfin, je crois qu’on a éjaculé ensemble, ou presque. Jeanne-Marie n’a peut-être pas eu un orgasme, mais c’était certainement une des expériences sexuelles les plus intenses de sa vie.

Je peux vous dire qu’après cette rencontre, ma femme n’est plus la même. Elle s’habille sexy presque tous les jours, a investi beaucoup d’argent dans de la lingerie. Elle adore prendre de longs bains où elle se pouponne, s’épile, se fait les ongles, etc.

Il faut dire que j’ai prévu de lui présenter d’autres collègues. Je ne compte pas le faire tous les jours, pour conserver ces moments exceptionnels. Mais je ne peux vous cacher que j’attends la prochaine « rencontre » avec beaucoup d’impatience. Il y a un prestataire, Antoine, qui parle beaucoup de cul au bureau. Je pense qu’il fera parfaitement l’affaire.

(Source image à la une : Shutterstock)

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