Le rouge est mis

La rédaction 3 septembre 2019

Kelly, 19 ans

Cela faisait des mois que j’avais envie de lui. Il avait 15 ans de plus que moi. Moi, je venais tout juste de passer la barre des 19. Je ne sais pas vraiment ce qui m’attirait chez lui. Ce n’était pas son physique, bien qu’il ne soit pas laid. C’était plutôt quelque chose qui tient de son assurance. Ça le rendait beau, lumineux. Nous étions dans le même cours de danse de salsa et je le trouvais formidable. Pas nécessairement doué pour la danse, mais il avait toujours un mot gentil pour chacun d’entre nous. J’avais d’ailleurs du mal à savoir si je lui plaisais vraiment, je ne savais jamais s’il se comportait avec moi de cette manière parce qu’il était naturellement gentil, ou parce qu’il voulait se rapprocher de moi. En plus, Kenza, une très belle Brésilienne aux formes généreuses, lui faisait un peu du rentre dedans et je me disais que je ne faisais pas le poids.

Mais un soir, à la fin d’un des cours, il m’a demandée si je voulais dîner avec lui. C’est tombé un peu comme un cheveu sur la soupe, mais il avait l’air parfaitement sincère. Son sourire assuré m’a un peu décontenancée mais j’ai essayé de dire « Oui, pourquoi pas. », le plus naturellement possible. 

En réalité, je bouillonnais intérieurement. Le jour J, je suis venue avec l’artillerie lourde : robe rouge, moulante (achetée spécialement pour l’occasion), cuissarde en cuir, bas noir non filé, petite culotte rouge fine et soutien-gorge assorti. J’avais peur qu’il se rende compte que j’étais encore une gamine alors je me suis dit que la meilleure stratégie c’était de parler le moins possible et de miser sur le physique. En ayant l’air sûre de moi. De toute façon, avec sa « tchatche » habituelle, il était certain qu’il allait mener
la conversation.

Et je ne me suis pas trompée, au restaurant il parlait beaucoup… et me faisait du pied en même temps ! Ça me rendait totalement dingue, aucun mec ne m’avait jamais chauffé à ce point. Son pied est même remonté le long de ma jambe, jusque sous ma jupe. Je mouillais comme une folle. Je crois bien que cela dégoulinait sur ma cuisse. J’ai pris une serviette de la table, et très discrètement je me suis essuyée la jambe. 

Je n’arrivais absolument pas à me concentrer sur la conversation tellement j’avais envie de lui, et je ne sais pas comment il faisait pour deviser comme si rien ne se passait. Au dessert, il a même effleuré mon genou avec sa main et j’ai posé la mienne sur la sienne. C’était torride. Il m’a ramenée en voiture chez lui, en me demandant si j’étais excitée, une fois arrivé dans son salon. Je lui ai répondu que « oui ». Puis il m’a dit cette phrase, complètement folle : « OK, mais moi je n’aime que les petites chiennes. Es-tu prête à te comporter comme telle ? ». Alors oui, je l’ai fait ! Ce petit jeu de rôle m’amusait beaucoup. Je me suis mise à quatre pattes et je suis venue sucer sa queue, qu’il venait de sortir de son pantalon. Une queue bien belle, bandante, avec des veines saillantes.
Je l’avalais de long en large en léchant bien les couilles aussi, qui avaient tendance un peu à tomber. En même temps, il retirait ma robe et dévoilait ainsi mes sous-vêtements. « Qu’est-ce que tu es bien foutue ! », s’est-il ému en découvrant ainsi mon corps.

Moi, j’étais assez fière qu’il m’admire. Il devait en avoir vu passer des belles femmes, vu son âge ! 

Bref, je l’ai sucé pendant de très longues minutes. Jusqu’à en avoir mal à la mâchoire. Là, il m’a ramenée sur son canapé et m’a prise en levrette. C’était tellement bon de le sentir en moi. Comme si tout mon corps n’attendait que ça depuis le début. Ses gestes étaient d’une sensualité dingue.

Nous avons ensuite passés la nuit ensemble, enlacés dans les bras l’un de l’autre. Je suis repartie chez moi le lendemain matin, toujours habillée dans ma belle robe rouge, heureuse.

(Photo à la une : Getty Images)

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