Le match OM/PSG qui nous a rapproché

davidk 29 août 2022

La belle olympienne Lana, de passage dans la capitale, n’a qu’une idée en tête : regarder le OM/PSG de ce soir. Elle tombe sur Tony, un pro parisien qui accepte volontiers de lui faire une place sur son canapé. Entre coups francs, tirs au but et sexe… on peut dire que ça a bien «matché» entre eux !

Bonjour moi c’est Lana, en déplacement, j’ai vécu une histoire de sexe inattendue avec un certain Tony pendant le match OM/PSG. De passage dans la capitale, je n’avais qu’une idée en tête : regarder le OM/PSG qui allait avoir lieu. À la sortie d’un bar, je tombe sur Tony, un pro parisien qui accepte volontiers de me faire une place sur son canapé. Plus tard dans la soirée, je suis entrée chez lui avec une pointe d’appréhension qui me tiraillait le ventre, comme avant chaque début de match. Je suis une fervente supportrice de l’OM depuis mon enfance donc toujours nerveuse avant chaque rencontre ! Tony avait gentiment accepté de me recevoir dans son appartement, pour l’occasion.

Quand je lui avais demandé s’il connaissait des bars qui diffusaient le match dans le coin alors qu’il n’était encore qu’un inconnu, il m’a tout de suite invitée à monter le regarder chez lui. J’ai été agréablement surprise de l’hospitalité de ce parisien, moi qui m’imaginais qu’ils étaient tous impolis et individualistes, je dois avouer que je m’étais trompée !

Des préjugés infondés

Tony s’est vautré sur son canapé, un gros paquet de pop corn en guise d’accoudoir entre nous, et a allumé la télé, fébrile. Nous avons tous les deux tremblé au premier coup de sifflet annonçant le coup d’envoi, nous défendions chacun notre équipe respective. Il criait sur ses hommes pour les encourager, moi je criais plus fort encore.

C’était la première fois que je regardais un classico avec un supporter de l’équipe adverse et je dois avouer que la situation m’amusait beaucoup. Non, le verbe exact c’était «m’exciter», cela «m’excitait» littéralement. D’humeur coquine, je lui ai demandé s’il «savait bien tirer les coups francs» en passant langoureusement ma main sur la bosse de son pantalon. «Je les tire fort et profond» m’a-t-il répondu avec un sourire en coin. Ouf ! Je n’étais pas la seule que ce début de match avait bien échauffé !

Coucher avec l’ennemi, et pourquoi pas ? Tony m’a allongée sur son canapé, en retirant mon leggins et ma culotte. Il a mouillé un de ses doigts et l’a enfoncé profondément en moi. «Tu le sens le parisien ?» m’a-t-il murmuré dans l’oreille. Oui, je le sentais. S’en était même délicieux. Je regardais sur l’écran de la télévision les joueurs de marseille s’affoler sur le terrain. Cela faisait à peine quelques minutes que le match avait commencé et mon équipe était déjà à la ramasse !

Heureusement, Tony est venu me pénétrer doucement, par l’arrière, m’arrachant à toute pensée négative. Son sexe en moi, qu’est-ce-que c’était bon ! Je ne savais pas que les parisiens pouvaient avoir de si gros membres… et savoir si bien s’en servir. Sa bite glissait comme dans du beurre, avec une agilité déconcertante. Il a levé ma jambe bien haut pour entrer encore plus profondément. De son autre main, il est venu me pelloter le sein gauche. J’étais vraiment dans les meilleures conditions possibles pour savourer mon match. Tony poussait des soupirs de contentement qui recouvraient la voix des commentateurs.

«Et voilà ! Ils sont comme moi, ils vont directement dans les filets» s’est-il écrié devant un but du PSG. «Baiser Marseille et une marseillaise en même temps, le paradis !».

J’ai éclaté de rire. C’est vrai que mon équipe n’était pas en grande forme. Heureusement qu’il était là pour me distraire ! Je sentais son souffle chaud qui haletait dans ma nuque. Tony me pénétrait au rythme de son équipe : à chaque fois qu’un joueur parisien s’approchait dangereusement de nos cages, il accélérait la cadence, comme pour l’encourager.

Je pouvais presque deviner les actions du match à l’empressement de ses à-coups.Tony, dont la position inconfortable l’empêchait de savourer pleinement le match, s’est redressé sur le canapé. Je suis venue l’enfourcher en m’enfonçant jusqu’à la garde sur son sexe bien dressé. J’ai hurlé de plaisir ! Dans cette position,  sa queue me semblait encore plus épaisse, encore plus grosse.

Le football quelle aphrodisiaque

Tony s’énervait sur les joueurs «trop lents, pas assez incisifs» en faisant de grands gestes. Il a claqué ses mains sur mon cul rebondi au fur et à mesure qu’il critiquait les actions. Je ne savais pas que le football pouvait provoquer une telle excitation ! Nos ébats étaient d’autant plus furieux, effrénés que le match avançait. Je me suis retournée pour observer mon équipe, leur défense était désordonnée et les joueurs d’en face de plus en plus menaçants. J’ai appuyé mes mouvements de va-et-vient de plus en plus fort sur Tony. Le score était serré, tout espoir n’était pas perdu.

J’avais l’impression que plus j’étais énervée contre l’OM, plus je baisais Tony de façon sauvage, comme pour me venger. Tony, lui, basculait sa tête en arrière pour mieux savourer l’instant. Je l’avais complètement déconcentré de la télévision : il était parti dans un autre monde, savourant simplement les salves de plaisir que lui procurait sa queue.

Je me suis amusée à faire de longs mouvements très amples avec mon bassin. Je montais bien haut, et redescendais jusque sur ses couilles, ses deux petites «balles». Il  miaulait de plaisir.

La position était assez sportive et mes genoux commençaient à riper contre le tissu. Je suis redescendue m’allonger sur le canapé, courbant mon dos pour que mes fesses soient collées sur la queue de Tony. Il a mouillé un de ses doigts et est venu me le glisser entre mes fesses. «Et bien dis donc ! On dirait que tes cages sont bien ouvertes !»

Il n’avait pas tort, je mouillais abondamment depuis le début du match, ma raie ne devait pas être épargnée. Il a inséré deux doigts dans mon anus pour bien le dilater. J’allais déguster, je le savais ! Pour rire, j’ai clamé tout fort le sempiternel  «Paris, Paris, on t’encule !» en souriant.

«Ah non ! Il ne faut pas tout confondre» m’a répondu Tony dans un large sourire. Puis il a enfoncé sa grosse queue dans mon derrière. Ça m’a fait un peu mal au début alors j’ai bloqué sa cuisse pour qu’il ne puisse pas entrer entièrement. Il s’est retenu calmement, et a attendu que mon anus se dilate pour entrer en entier. J’aimais l’anal.

C’était toujours un peu difficile à mettre en place, en particulier quand votre étalon est bien membré, mais cela vous procure des sensations incroyables. Tony s’est redressé et a continuer à m’enculer. Il était beaucoup plus sensuel, beaucoup plus attentif à mes réactions. Je me suis masturbée en même temps pour profiter pleinement des sensations.

Lorsque j’avais une bite dans le cul, c’est comme si quelqu’un m’avait donné un puissant aphrodisiaque, je mouillais instantanément et je pouvais très rapidement atteindre l’orgasme.C’était très étrange cette connexion directe entre mon cul et mon sexe.

«Viens ! On va se mettre par terre et tu vas t’allonger sur moi !» Tony s’est couché sur son tapis, la queue fièrement dressée. Je suis venue m’asseoir sur lui, en écartant bien mes deux fesses. Cette fois-ci, la bite de Tony n’a eu aucun mal à se trouver un chemin.

«Dis, donc ! Qu’est-ce que tu es lubrifiée ! Ca doit être l’huile d’olive, comme on dit par chez toi ?!» a-t-il plaisanté en imitant l’accent marseillais ! S’il savait que l’anal avait un pouvoir incroyable sur moi… J’ai augmenté le son de la télévision, c’était bientôt la fin du match. Les scores n’étaient vraiment pas au beau fixe pour moi. En dessous de moi, Tony éructait. Il savait qu’il allait gagner et cette simple pensée lui a donné une force surhumaine pour me pilloner avec vigueur.

Qu’est-ce c’était bon ! Je sentais uniquement son énorme chibre s’engoufrer dans ma rondelle et titiller le fond de ma paroie.L’arbitre a sifflé la fin du match. Ca y’est, l’OM avait perdu face au PSG, quelle honte ! Bon, au moins, j’avais gagné une partie de jambe en l’air avec Tony. Lui, il était aux anges !

«Ce serait pas le moment de boire le jus de la victoire ?» s’est-il écrié, victorieux. Il s’est levé et a commencé à se branler rapidement. Je suis venue m’agenouiller devant lui, bouche grande ouverte et prête à recevoir sa liqueur. Il a éjaculé par longues salves, m’aspergeant la bouche et le coin de la joue. «Bon, on se revoit pour le match retour ?» m’a-t-il demandé dans un sourire. Je ne sais pas si j’aurai la patience d’attendre aussi longtemps… là j’avais simplement envie de prolongations !

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