Entre coup de trique et coup de gueule

La rédaction 12 juin 2021

« Pierre a des problèmes d’érection et ne fait plus l’amour avec sa femme. Pour l’aider, j’ai malicieusement massé son entrejambe. » Rachel, 48 ans, Bordeaux.

Je ne m’exprime pas souvent dans les pages de votre magazine, j’ai dû publier deux histoires porno tout au plus, mais cette fois-ci, j’avais vraiment envie de pousser un coup de gueule.

Mesdames, sachez que votre mari n’est pas une machine, et qu’il n’est pas dédié à votre bon plaisir. Sachez que derrière l’homme, qui peut paraître parfois dur et insensible, il y a quand même une petite bête inoffensive qui ressent des émotions et qui souffre. Oui, comme vous.

Quand Pierre m’a annoncé sur la plage que sa femme ne le touchait plus, je suis restée sur le cul ! Pierre, c’est mon meilleur pote et un excellent collègue, qui plus est. Nous travaillons dans la même société d’assurances depuis plus de quinze ans, aucune embrouille au compteur, un mec droit, honnête et fiable. Nous passons toujours nos vacances d’été ensemble, près de Royan. C’est une sorte de petit rituel entre nous deux.

Nous abandonnons mari, femme et enfants le temps de deux ou trois jours pour nous offrir quelques rayons de soleil et une pause bien méritée. Il a attendu le dernier jour de nos vacances pour me faire cet aveu : « Tu sais, avec Véronique, c’est pas tout rose, tu vois ? Enfin ça doit être comme toi et ton homme, mais bon… Véro, elle ne veut plus de sexe. Non. Je crois que c’est à cause de moi… » Et il s’est mis à pleurer. Enfin, je ne sais pas trop. J’ai vu ses yeux se mouiller et son regard se perdre le temps d’un instant. Nous n’osions plus parler, et je l’ai serré fort dans mes bras. « Tu ne bandes plus ? » lui ai-je demandé tendrement à l’oreille. Il a juste haussé les épaules, je crois que l’aveu de cet échec aurait été trop difficile.

C’était la première fois que je voyais Pierre dans cet état-là ! Il avait vraiment l’air perturbé. J’ai malicieusement massé son entrejambe à travers son short de bain. Je sentais à travers la toile son sexe mou, inerte. Il a voulu retirer ma main comme pour me dire : « N’en rajoute pas », mais je lui ai jeté un regard plein de compassion. Je savais comment rallumer les garçons !
Je lui ai fait quelques tendres baiser dans le cou et j’ai continué à masser sa petite tige. Elle se gonflait petit à petit. Je suis venue chercher son sexe sous son short pour ne pas le brusquer.

Il s’est laissé faire, comme un blessé sur un brancard, manipulé par une infirmière. Je palpais ses couilles, la peau de ses cuisses, le haut de son sexe. Je ne touchais pas encore au gland, je laissais doucement monter l’excitation. J’ai cru sentir qu’il en était à une demi-molle, alors j’ai enlevé tout le bas pour me sentir libre lors de mes mouvements. Non, il ne bandait toujours pas. Je ne me suis pas avoué vaincue pour autant.

J’ai jeté mon haut de maillot de bain par-dessus mon épaule (le plaisir des yeux est un stimulant très important) et je suis venue le pomper. J’avais son petit sexe mou au fond de ma gorge que j’aspirais et que je suçotais. Ça y était. Il devenait dur ! J’ai continué à m’acharner sur sa bite, en serrant bien fort le sexe à la base et en le décalottant durement. Oui, il commençait à se dresser. J’ai vu la tête de Pierre se remonter, il n’en croyait pas ses yeux.

J’avalais, je léchais, je le tordais dans tous les sens. J’avais l’impression que plus je m’agitais, plus son sexe durcissait. Je le frottais contre mes seins, contre mes cuisses, contre mon cul. Pierre n’en revenait pas. Il n’avait pas dû me voir souvent autant lâcher prise.

Tout à coup, il est venu me lâcher sa purée dans la main en criant en même temps : « Ça maaaarche !!! » Il m’a longuement embrassée sur la joue et m’a remerciée au moins vingt fois. Il nous a même concocté un bon petit repas en rentrant.

Bref, je ne sais pas qui lui a mis dans la tête que la machine ne fonctionnait pas, mais croyez-moi, tout vient à point à qui sait être tendre !

Véronique, si tu lis ces mots, j’espère que tu penseras toi aussi à me remercier un jour.

(Photo à la une : Getty Images)

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Y’a pas que la bandaison dans la vie…

Merci Docteur !

Petit mec, grosse queue

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