Petit mec, grande queue

Steffie Tu 12 février 2019

Marie, 36 ans, femme au foyer, Dordogne.

J’ai 36 ans, je m’appelle Marie et, jusqu’à récemment, j’avais toujours mené une vie de femme fidèle. Mais en entendant ma bouchère discuter avec une voisine, ma curiosité a été piquée au vif. C’est ainsi qu’a commencé mon aventure.

Il y a dans notre immeuble un homme de petite taille comme on dit. Il s’appelle Tiki. Je le croisais tous les matins dans les escaliers sans y prêter attention. Mais lorsque j’ai entendu ces deux belles dames en parler à voix basse, j’ai tendu une oreille indiscrète. Étant donné leur ton, il ne faisait aucun doute qu’elles s’échangeaient des confidences à son propos et qu’elles avaient cédé à ses avances. J’ai capté les mots « énorme bite », puis : « C’est quand même un chaud lapin… – Oui mais, il l’a si grosse que quand il te l’enfonce dans le… ». Silence. Je n’ai rien osé dire et j’ai passé mon chemin.

Cette histoire me travaillait tout de même. Je me demandais si ces dames n’affabulaient pas, prenant leurs fantasmes pour la réalité… Et comment un si petit homme qui se dandine sur de si courtes jambes pouvait-il avoir un si gros sexe ? La rumeur se baladait, cependant. Et elle enflait… Bientôt, j’ai entendu parler de son surnom : Tiki, petit mec, grande queue ! C’était cruel et excitant à la fois ! Pour ma part, je commençais à fantasmer. Mais quelle femme n’a jamais eu ce fantasme de se faire saillir par le mieux pourvu des mâles ? Ces questions se bousculaient dans ma tête. J’en étais rêveuse. Petit à petit, l’idée qu’il me mette sa grande queue au cul devenait presque vitale pour moi. Je ne pouvais plus résister à la curiosité et je cherchais constamment à croiser son chemin. Un jour, j’ai fini par craquer. Je l’ai carrément accosté.

Mon mari n’était pas là, je l’ai invité à boire un café. Il n’était pas idiot. Il a tout de suite vu clair dans mon jeu. Il a détaillé ma tenue de la tête aux pieds, il a posé une main sur mes fesses comme si c’était la chose la plus naturelle à faire et il a observé, goguenard : « Oh mais, il me semble que tu as une petite idée derrière la tête, toi ! ». Cela peut vous paraître idiot, mais j’en ai mouillé ma culotte. Un sentiment étrange naissait au creux de mes reins. Je me suis baissée pour offrir mes lèvres à son sexe. Nous venions d’entrer chez moi en toute hâte.

Il avait déjà compris qu’il allait m’ajouter à son tableau de chasse. Il n’a plus hésité, sortant son énorme sexe d’un geste leste, il m’a attrapée par les cheveux et a baisé ma bouche jusqu’à la garde. Étant donné ses dimensions XXL, ce fut presque impossible. Mais c’est que le petit homme s’était à présent mué en une brute assoiffée de baise ! Il me l’a fourré au fond de la gorge ! C’était encore plus énorme que ce que je croyais, mais ma curiosité était bien récompensée, alors j’ai sucé. Mon excitation était à son comble. Tandis que je m’appliquais à le pomper du mieux que je pouvais, je me posais déjà une question vaguement inquiétante : comment tout cela allait-il entrer en moi ? Oh, mon cher petit mari, cette lettre, je l’écris aussi pour que tu me comprennes bien… Lis bien tout, jusqu’à la lie !

Quand son gros gland, ce beau champignon, s’est heurté à ma petite porte, j’ai ressenti un désir fou. Docilement, je me suis cambrée, car mon excitation était plus forte que la peur. Je voulais accueillir Tiki tout au fond de moi. Il s’est gentiment moqué de mon petit cul étroit… J’avais vraiment peur qu’il me défonce.
Ses petites mains ont saisi mes hanches. Il s’est penché sur mon dos comme un petit chien. Je l’ai supplié d’y aller doucement. J’ai ressenti la même chose que quand tu m’as dépucelée, mon chéri, tu sais. J’avais l’impression de naître à nouveau. Comme toi, il a su m’apprivoiser, y revenant plusieurs fois. Plongeant et replongeant dans mon fondement qui s’assouplissait doucement. Je me laissais aller aux assauts de son machin équin. J’étais résignée et heureuse. Il s’est exclamé : « Encore une salope qui voulait goûter à ma grosse bite ! Tu aimes ça, hein, grosse salope ? Mais si ton petit mari te voyait te faire défoncer de la sorte, je ne suis pas sûr qu’il apprécierait, lui ! ». C’est finalement cet assaut verbal qui a achevé de me faire jouir. J’ai poussé mes fesses encore plus en arrière qu’il me la mette tout au fond ! Et c’est ainsi que son gros suppositoire m’a menée à l’orgasme.

Jamais je ne m’étais fait défoncer comme ça ! Quand il m’a quittée, c’est d’une démarche endommagée que je suis allée à la douche avant que tu ne rentres à la maison. Ce soir-là, tu as voulu me faire l’amour avec tes gentils 17 centimètres, mais c’est à lui que j’ai dû penser pour parvenir à me mettre dans l’humeur propice ! Oui, c’est à la grosse teub de Tiki que je pensais ce soir-là… Et si tu avais été plus entreprenant, tu aurais d’ailleurs pu t’apercevoir de ma totale dilatation anale. Malheureusement, ce n’est pas ton genre.

(Photo à la une : Getty Images)

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  • Arnaud

    Hummm jador les salope qui aime ce faire bien prendre Jai une bonne queue si tu veut, sa changera de ton mari

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