J’étais sa chienne

La rédaction 28 mai 2021

Rafael, 41 ans, nous parle des joies de la bisexualité et raconte un trio orgasmique !

Chers lecteurs. Encouragé par les messages qui ont suivi ma première histoire porno parue dans le hors-série sur les écarts d’âge, je vous écris à nouveau. J’avoue que je suis aussi poussé par mon copain qui a bien aimé me lire et aimerait en savoir plus sur mon jardin secret bisexuel.

Alors je vous raconte une histoire dont il connaît l’existence, mais dont il est impatient de connaître tous les détails croustillants. Il me relance sans cesse… Il y a plusieurs années, dix ans environ, j’avais la trentaine débutante, j’étais sur un réseau téléphonique gay. J’ai entendu une annonce de la part d’un couple  qui cherchait un jeune homme pour un trio. J’ai répondu à l’annonce, pratiquement certain que je ne retiendrais pas leur attention. Hé bien en fait, si. Ils m’ont donné rendez-vous chez eux. Une fois sur place, j’ai trouvé une femme brune avec de jolies formes, la petite quarantaine, en nuisette noire, et son homme, la trentaine, grand brun baraqué, en boxer. ils m’ont proposé un verre et la femme m’a dit de me mettre à l’aise. En fait, elle a aussitôt mis ses mains sur ma braguette et a commencé à défaire ma ceinture et les boutons. J’ai laissé faire, et deux minutes plus tard, j’étais en slip, assis sur le canapé, mon verre à la main.

Elle était assise à côté de son homme et passait la main sur la bosse de son caleçon, Elle a écarté l’élastique et a sorti la queue de son mec. Elle s’est penchée dessus et s’est mise à le sucer ; lui caressait ses cheveux et gémissait en lui jetant des regards pleins d’amour. Puis elle lui a dit de se lever, et de mettre sa queue dans ma bouche. Le gars s’est exécuté et a enfilé son gland entre mes lèvres. Il a passé une main derrière ma tête et a commencé à me ramoner la bouche comme s’il se branlait avec moi. EIle est allée s’étendre sur le lit pour  nous regarder. Elle est devenue complètement chienne. Elle encourageait son mec de la voix. « Vas-y, défonce-lui sa gueule de pute ! » qu’elle s’écriait ! Elle se touchait en même temps. Elle écartait ses lèvres, massait son clito avec des doigts aux ongles qui m’ont paru immenses.

Le mec était tout dur et suivait bien les ordres de sa femme. Il remplissait bien ma bouche avec son gros membre. Je bavais comme une grosse salope et je me régalais avec son gros gland qui avait le goût du mec excité sur ma langue. Elle lui a fait un signe, il est sorti de ma bouche et a filé vers le lit. ll a enfilé une capote et a posé son gland à l’entrée de sa chatte. Elle m’a appelé et m’a dit de venir lui bouffer les tétons. Avec ma main droite et tout en aspirant un téton, j’ai attrapé les couilles de son mec et les ai massées pendant qu’il la pénétrait. De ma main libre, je faisais rouler ses petits seins ronds entre mes doigts. Elle était aux anges et son mec s’est baissé pour l’embrasser en même temps qu’il la fouillait assez virilement de son dard. Je sentais les couilles taper entre les cuisses de la femme, il avait tout rentré. Ça a duré un bon moment et il ne faiblissait pas dans ses assauts. Elle l’a chassé en le poussant avec les bras et m’a dit de lui lécher la chatte. Je me suis retrouvé à quatre pattes sur le lit, la langue fourrée dans son minou, et je me suis fait la réflexion qu’il avait un goût de gland. LOL. Elle couinait, et sans perdre le nord elle a dit à son mec « Encule-le, défonce-lui sa chatte ! »

Toujours très obéissant malgré son attitude virile, il a mis du gel sur ma rondelle et a changé de capote. Il a commencé à pointer sur mon petit trou et mes cris ont été étouffés dans la chatte que je butinais. Il avait vraiment un gros gland. D’un coup ma rondelle a cédé sous sa pression et son engin a disparu dans mon ventre. Il s’est arrêté un bref instant, j’ai repris mon souffle, mais il m’a appuyé sur la tête pour remettre mon nez entre les jambes de sa chérie. Sa queue a commencé à progresser en moi, il était large et me remplissait en frottant toutes les parois intérieures. C’était super bon mais ma rondelle était sur le point d’éclater tellement elle était tendue. Ça me faisait super mal, et en même temps j’adorais ça. Il ne s’est pas arrêté pour autant, obéissant à sa femme qui, en gémissant pour l’exciter, m’a attrapé par la tête pour me fourrer la langue plus profond en elle. J’ai senti les couilles du gars arriver à l’entrée de mon cul, il m’avait tout mis à moi aussi ! Je n’aurais jamais cru qu’un si gros morceau pouvait tenir. La douleur s’estompait en même temps pour ne laisser que le frottement de son gland dans mon ventre. C’était trop bon, et lui aussi il se faisait du bien, toujours embrassant sa femme par-dessus mon épaule. Ses coups étaient plus forts, ses boules cognaient mes fesses, ses grosses boules que je sentais bien. Il se fondait en moi, et cette idée me chauffait super fort.

Il m’a tiré la tête en arrière et m’a dit de mettre ma queue dans sa femme. Je n’étais plus qu’un pantin, un jouet. Il a tenu ma queue. Je ne sais pas comment, mais j’avais une capote ! Il l’a guidée, elle est entrée toute seule. Il faut dire que je suis bien monté, mais quand même moins gros du bout que lui. Le vagin m’a aspiré tout entier. J’étais à plat ventre, cloué devant et derrière, la bouche occupée à bouffer les seins de la femme, le zob du mec qui me ramonait le fion, ses couilles lourdes qui roulaient sur mes cuisses. L’extase. Et là, il s’est retiré brutalement de moi, m’a éjecté de sa femme, a viré sa capote et a rentré sa queue toute nue dans la chatte brillante de mouille de sa nana. Mon fantasme s’accomplissait. Je me suis mis à lui lécher la base de la bite qui entrait et sortait pendant qu’il niquait sa femme. Les goûts mélangés de la queue et de la chatte sur ma langue… J’avais trop envie de ça ! C’était ma première expérience en trio !

Il a grogné, mais elle ne voulait pas qu’il jouisse en elle (on n’aura pas été au bout de mon fantasme : lécher une chatte pleine de sperme). Elle le poussait et lui ordonnait de me « foutrer la gueule ». Il est donc retourné dans « ma gueule ». Il m’a baisé. Elle n’arrêtait pas de lui dire des mots cochons en me traitant de salope, que j’allais bien me faire remplir la tronche… Moi aussi, elle m’excitait avec ses paroles ! Après plusieurs mouvements bien profonds où j’ai eu du mal à prendre toute sa bite, il a balancé des jets chauds et ce, comme au début de la rencontre, avec une main derrière ma tête pour m’empêcher de m’enlever. Mais il m’a encore ramoné. Encore ! Je m’étouffais. Il jutait davantage. J’en avais plein la bouche, je ne pouvais rien faire. Au bord de l’asphyxie, j’ai avalé presque tout le sperme qui a coulé dans ma gorge.

Le mec s’est essuyé la tige dans ma bouche en me serrant les lèvres avec les mains et le zob est ressorti tout propre. Je n’étais plus à ça près, alors j’ai avalé le reste. Son sperme était bon d’ailleurs. Elle, elle avait un sourire polisson, jusqu’aux oreilles « C’est ça que tu voulais hein ? Ça t’a plu… » Ce n’était même plus une question. Elle m’avait bien capté, sans blague. Grave que ça m’avait plu ! J’étais en train de lâcher mon jus sur le parquet… J’avais la rondelle béante, la sensation de sa queue dans mon ventre encore présente tellement il m’avait frotté l’intérieur. Je me sentais à la fois femelle, soumis à cette femme qui avait mené son manège depuis le début, et à ce gars super mastoc qui me plaisait bien. Il s’était fait bien plaisir avec mon cul, mais il n’avait d’yeux que pour sa meuf : j’étais juste un trou pour lui, et ça m’excitait encore plus, en fait.

On a rebu un coup, mais je n’ai pas trop traîné. Je me suis rhabillé. En partant, je leur ai dit que je voulais les revoir (et bouffer le jus du mec qui dégoulinerait du minou avec un goût de gland). Mais le fait est que je ne les ai jamais revus. Je pense souvent à eux pourtant. Je regarde leur fenêtre quand je passe dans leur rue, mais ils ne doivent pas avoir de mal à trouver des nouveaux mecs…

(Photo à la une : Getty Images)

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