Prise par mon amant dans l’arrière-boutique
3 octobre 2023Mounia et son amant Mohamed se font une soirée coquine dans un bar autour d’une chicha à l’insu du mari Karim qui ne voit rien.
Les volutes de plaisir
Moi, c’est Mounia, brunette algérienne de 40 ans. J’ai un côté bling bling et j’aime beaucoup courir les soirées avec mon mari Karim. J’y suis assez convoitée, comme si le mariage attirait encore plus les potentiels amants ! Nous avons un bar à chicha de prédilection dans notre quartier où nous avons nos habitudes. Le gérant, Mohamed, est un magnifique brun à la barbe noire, toujours habillé avec des chemises classes. C’est un ami et même un complice, nous sommes inséparables. A tel point que nous nous sommes rapprochés presque intimement ces derniers temps. Il me parle de ses problèmes avec sa femme et moi je lui raconte les coulisses de ma relation avec Karim. Je me suis surprise à penser à lui une fois la nuit venue, avant de m’endormir, et des images très chaudes me sont venues à l’esprit. Voici mon histoire de sexe.
Un soir, au bar à chicha, nous avons ri tous les deux pendant des heures. J’étais assise dans mon sofa avec ma chicha entre lui et Karim, que je ne calculais même pas. Ce dernier parlait avec ses potes de son côté, et moi je me noyais dans les yeux verts de Mohamed. J’avais apporté un soin particulier à ma tenue avec une micro-jupe en jean, un t-shirt blanc moulant tendu sur ma forte poitrine et une veste en cuir noir. Je savais que dans cette tenue, j’avais un charme ravageur. D’ailleurs, Mohamed ne semblait pas y être indifférent. Parfois, lors d’un bref silence entre deux vannes, nos yeux se rencontraient et je me demandais si c’était moi qui étais folle ou s’il se passait bien quelque chose dans cet échange de regards. “Viens, je veux te montrer un truc en coulisses”, a-t-il dit. J’ai levé un sourcil. “Des nouvelles chichas que j’ai reçues. J’aimerais t’en offrir une.” Karim nous a laissés filer, tout absorbé par sa conversation qu’il était.
Mon ami Mohamed est mon amant
Là, Mohamed m’a emmené dans l’arrière-boutique et dans son bureau. Il m’a montré un appareil à chicha, il l’a allumé et il m’a fait fumer dessus. Ma bouche est posée sur l’embout et j’ai soufflé la fumée tout en cherchant ses yeux à travers le nuage. “Elle marche bien.” Il me regardait. Tout à coup, son visage a traversé la fumée pour me voler un baiser. Je savais bien qu’il y avait quelque chose ! Sa bouche m’attirait irrésistiblement. C’était mon ami, mon confident. Serait-il aussi mon amant ? Il fallait croire que oui, vu l’urgence des baisers qui ont suivi. Mohamed m’a prise dans ses bras et c’est devenu de plus en plus sensuel. Il a ouvert son canapé-lit d’un geste, il y avait déjà des draps, et il m’y a fait m’étendre. Nous riions, tout était si naturel, il m’a même prise en photo et j’ai trouvé ça très érotique. Pendant qu’il me photographiait, j’ai retiré mon t-shirt et mon soutif, puis ma culotte. J’étais à poil, jupe relevée sur les hanches, seins étalés sur mon buste dans toute leur splendeur. J’ai les tétons percés et il s’est régalé à les photographier, à les lécher et à jouer avec les piercings. Sa langue et sa sensualité avaient raison de moi.
Un plan cul vite fait
La dureté du bijou frottait avec la douceur de ma peau. “Montre-moi comment tu te touches”, a-t-il demandé doucement. Il fallait quand même se presser, car Karim allait se demander où nous étions passés. Je me suis quand même caressé la chatte pendant qu’il me prenait en photo. Ça m’excitait terriblement de me toucher devant lui, un geste que je n’avais pas fait depuis longtemps. Avec son téléphone, il a fait des gros plans sur ma chatte comme un fétichiste et j’appréciais sa curiosité envers ma vulve. Ma chatte en était toute agitée. Je l’ai sucé, car il s’était déshabillé et sa queue me faisait vraiment envie. Je n’arrivais pas à croire que je faisais ça avec lui ! Mais c’était tellement bon de sentir ce désir fou de sa part, les mouvements de ses hanches pendant que je le suçais sur le lit, sa queue dressée entre mes seins quand elle sortait de ma bouche. Clairement, il avait lui aussi rêvé de ça pendant des jours. Je me suis affalée sur le lit en me remettant à me caresser. Il a avancé sa queue entre mes jambes ets’est engouffré dans ma chatte.
C’était bon, cette bite, la sienne, aussi proche, aussi intimement ancrée dans moi. Il s’est mis à faire des mouvements saccadés pour bien me la faire sentir. J’aimais ces petits mouvements secs qui allaient le faire jouir et qui réveillaient mon désir au niveau le plus fort. Mon ventre brûlait pour lui. Pour finir, il s’est allongé à ma place et je l’ai enfourché à l’envers, tête en direction de ses jambes, pour qu’il me prenne par-derrière et que ce soit moi qui mène la danse. Je n’avais qu’à remuer mon cul pour le prendre en moi à la longueur souhaitée. Il était bon amant, sa bite était vigoureuse et je me suis perdue dans les déchanchés sur sa queue, reprenant à mon tour un rythme très saccadé pour en finir et retourner à la soirée. Je continuais de me caresser en même temps du bout des doigts et j’ai joui en me balançant sur lui comme une folle et alors qu’il photographiait mon cul ! Je m’étais rarement sentie aussi libre. Le charbon de la chicha était encore chaud, alors nous nous sommes enveloppés d’un dernier nuage de fumée, nus, avant de rejoindre mon mari. Ni vu, ni connu.
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