Soirée bouillante à l’hôtel

La rédaction 3 juillet 2019

Paul, 29 ans, Paris

Bonjour interstron.ru, je m’appelle Paul, je mesure 1,78 m et je suis brun aux yeux bleus. Mes amies filles me disent beau gosse, mais je n’ai pas le temps d’en profiter car je travaille beaucoup. Ma start-up a seulement 2 ans et toute l’équipe se défonce pour que le projet décolle. Je suis en charge du développement marketing à l’étranger, ce qui m’amène à voyager toutes les semaines. Le mois dernier, c’était à San Francisco. Une vraie galère : deux de mes rendez-vous étaient tombés à l’eau et, le jour du départ, notre avion a eu une avarie technique qui nous a obligés à faire demi-tour. Il était déjà 22 h quand nous avons atterri sur le tarmac californien. Et plus de minuit quand on nous a annoncé que nous étions coincés pour la nuit.

J’étais crevé et contrarié. Heureusement, une charmante demoiselle est venue me trouver. Elle parlait mal anglais et avait peur de ne pas comprendre les différentes instructions de la compagnie. Je l’ai rassurée en lui disant que nous pouvions prendre un taxi ensemble, pour nous rendre à l’hôtel qu’on nous avait réservé. Nous sommes montés dedans, direction une banlieue proche de l’aéroport. Bien calés à l’arrière, nous avons commencé à discuter. Sophie rentrait à Paris, où elle bossait comme moi dans le marketing. Elle était drôle et intelligente, et la conversation était si sympa que nous avons décidé de prendre un verre à l’hôtel. Nous avons déchanté quand nous sommes arrivés : l’endroit était miteux et ringard au possible. En plus, pas de trace de bar. Morts de rire devant cette suite de malchances, nous avons décidé de vider le minibar de ma chambre.

Une demi-heure plus tard, nous étions les meilleurs amis du monde, et des amis bien allumés… La soirée a pris une tournure encore plus qu’agréable quand Sophie a proposé un jeu à boire. On devait choisir entre une gorgée, un secret ou enlever un vêtement. Très vite, nous avons terminé les mignonettes, notre stock d’histoires embarrassantes, puis celui de vêtements. Nus comme des vers et en ricanant comme des ados le soir de leur première cuite, nous avons fini par nous embrasser. D’abord timidement, puis avec de plus en plus d’intensité. Le feeling entre nous était vraiment dingue, c’est comme si nous connaissions déjà ce qui ferait plaisir à l’autre. 

Sophie a rapidement manifesté l’envie de me faire une pipe, une pratique dont je raffole… Elle avait tout compris à la technique : commencer par bien lécher ma tige, puis me branler en me tétant le gland de temps en temps. J’étais tellement excité que je lui ai demandé de se mettre sur le lit, elle au-dessus de moi, pour continuer la pompe. Jamais je n’aurais osé faire ça avec un coup d’un soir, mais sa bouche était si veloutée et sa main, si ferme sur mon chibre, que tous les coups me semblaient permis. Sophie aussi s’est lâchée : elle aspirait de plus en plus vite, en gémissant d’excitation. Puis elle s’est interrompue pour demander une levrette, et j’ai bien senti qu’elle aussi, elle était surprise par sa propre audace.

Nous étions bouillants, tous les deux… Heureusement, j’avais une capote dans mon porte-monnaie. Je l’ai enfilée et j’ai pu prendre la demoiselle sans effort, tellement sa chatte était trempée. J’avais moins de sensation que pendant la pipe, à cause du préservatif, mais ses mouvements de bassin compensaient largement. Plus elle s’enfilait d’avant en arrière sur ma queue, plus j’avais la sensation que c’était elle, qui me baisait !

Franchement, je n’ai quasiment rien eu à faire pour qu’elle jouisse. Elle s’est donnée toute seule et a tellement gueulé que le mec de la chambre d’à côté s’est mis à taper contre la cloison. Je l’ai terminée en lui tenant les hanches et en lui demandant de continuer ses allers-retours – le voisin n’a pas été content car j’ai moi aussi été très bruyant ! Le pire, c’est qu’à peine 10 secondes après l’orgasme, elle m’a dit qu’elle voulait me finir à la bouche. Elle n’a même pas attendu ma réponse pour se désemmancher, arracher la capote de ma queue et l’avaler une nouvelle fois. J’étais alors dur comme du bois. Quand Sophie s’est allongée devant moi, les yeux brillants d’envie, je n’ai eu qu’à donner quelques coups de poignet pour venir. Un feu d’artifice ! 

Nous avons gardé contact par la suite, et nous nous revoyons de temps en temps sur Paris, quand l’envie s’en fait ressentir. Nous ne sommes pas un couple, mais plus qu’un plan-cul. Idéal pour la vie que je mène actuellement, mais peut-être que j’aurai un jour envie de plus avec la jolie Sophie !

(Photo à la une : Getty Images)

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