Il faut toujours un bon charcutier près de chez soi !

La rédaction 25 janvier 2019

Amina, 37 ans, architecte d’intérieur.

Bonjour les lecteurs et la rédaction ! Moi, c’est Amina, une petite reubeu (Marocaine pour être précise) plantureuse qui a encore un sex appeal bien développé pour une femme qui s’approche des 40 ans. Et j’adore que les hommes le remarque !

Je me promène toujours dans la rue avec des jupes assez courtes, ou des pantalons moulants. Je ne sors jamais sans mes talons hauts, j’aime le bruit des claquements sur le sol, cela me donne encore plus de prestance. Mes cheveux sont souvent détachés, noirs et longs, ils sont un atout séduction indéniable ! Je crois que tout mon village a un coup de cœur pour moi, j’obtiens souvent des croissants gratuits à la boulangerie (mon vieux boulanger m’adore et s’épanche souvent sur ses relations extraconjugales, j’ai vite compris qu’il ne dirait pas non à une aventure d’un soir avec moi), et mon facteur peut parfois rester dix minutes dans le couloir de mon immeuble juste pour avoir le plaisir de me croiser et de me dire bonjour. Mais celui qui a obtenu mes faveurs, c’est le charcutier. Il avait des bras puissants et musclés, un regard de braise et une mâchoire bien carrée. Il tenait sa boutique en couple avec sa femme, et même si celle-ci veillait bien sur son mari, il m’envoyait des regards qui en disaient long sur son désir. Il me déshabillait littéralement du regard.

Un jour, je lui ai glissé un billet dans la main avec mon numéro de téléphone, il a eu l’air très surpris sur le coup, l’a mélangé avec mon billet de 20 euros pour que sa femme ne se doute de rien et a hoché la tête comme s’il me disait : « Je vais regarder plus tard. » Le soir même il m’a appelée. Sa voix virile me promettait déjà une nuit torride de baise effrénée. J’étais aux anges !

Nous avions convenu d’un rendez-vous le samedi soir, chez moi. Quand il a ouvert la porte, il était comme un fou, je sentais qu’il avait réfréné ses pulsions pendant trop longtemps déjà. Il m’a bloquée contre mon mur et a écarté mes deux jambes de force. Il a soulevé ma petite robe moulante et a commencé à caresser mon sexe. « Tu sens si bon, Amina. Tu es si belle… » marmonnait-il en chantonnant. J’avais une bouteille de champagne au frais mais j’ai bien compris que ça ne l’intéressait pas, il était là pour goûter mon flux. Il est venu lécher la cyprine qui coulait doucement le long de mes cuisses et est remonté jusqu’aux lèvres de mon sexe. Heureusement, je m’étais bien épilée, et je sentais donc toutes les sensations de sa langue sur ma peau. Il m’a ensuite demandé une petite pipe. J’adore les fellations, je n’allais donc pas le lui refuser ! Sa bite était bien grosse, à l’image de l’homme viril qu’il arborait en extérieur. Je l’ai pompé à grandes bouchées, c’était lui la saucisse, et moi la consommatrice. J’étais gourmande et je le lui montrais. Je n’hésitais pas aussi à aller chercher ses petites couilles qui se balançaient au rythme de mes mouvements.

Il n’a pas attendu que je finisse pour me jeter à quatre pattes sur mon canapé et pour écarter mon petit minou. « Tiens, prends-la bien ! » a-t-il déclamé. J’imaginais qu’il n’avait pas l’habitude de parler en ces termes à sa femme, que cela m’était donc purement réservé. Ça m’a bien plu qu’il utilise un autre vocabulaire avec moi, je devenais son défouloir.

Je me suis caressé le clito en même temps, je ne peux jouir que par cette voie-là, et là, j’avais juste envie d’un bel orgasme ! Je sentais le plaisir monter petit à petit, puis tout d’un coup, mon charcutier à tiré un grand coup sur mes cheveux et ça m’a rendu complètement folle. Il me dominait littéralement. J’ai joui profondément, et lui n’a pas tardé à me rejoindre. Une fois notre partie de baise finie, il est resté quelques heures chez moi, nous avons alors sorti le champagne frais et nous avons parlé de tout et de rien. Il s’avérait être quelqu’un de très intéressant et très cultivé.

Il est ensuite rentré chez lui, et sa femme l’a bien engueulé. Le lendemain, il m’a annoncé par message qu’il ne voulait plus me voir et qu’il était préférable que je change de charcuterie.

Dommage, sa saucisse était vraiment la meilleure du village…

(Photo à la une : Getty Images)

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