Jamais deux sans quatre

La rédaction 5 avril 2025

Karine, 45 ans, invite un couple d’ami à diner à la maison avec son mari, mais rien ne se passe comme prévu !

Karine nous fait part de son histoire de sexe avec un couple d’ami à elle et son mari !

Notre première exploration extraconjugale avait commencé comme une soirée tout à fait normale. On avait dîné, parlé boulot, enfants, projets de vacances, comme d’habitude quand on se retrouvait entre amis. Anna et Marc étaient des hôtes parfaits : un repas délicieux, du vin qui coulait juste comme il fallait… Et puis, je ne sais pas trop comment, la conversation avait pris une autre tournure.

Le couple : pas assez audacieux ?

C’est Marc qui avait lancé le sujet. « Vous ne trouvez pas qu’après un certain temps, dans un couple, on manque un peu d’audace ? » Il avait dit ça en riant, mais son regard avait trahi une certaine sincérité. Anna, à côté de lui, avait hoché la tête avec un sourire énigmatique, puis elle avait planté ses yeux dans les miens.

« Et vous, ça vous arrive encore de vous surprendre ? »

Je m’étais tournée vers mon mari, un peu prise de court. Il avait souri, l’air de dire qu’il ne savait pas trop où ça allait, mais qu’il était curieux. C’était ça, en fait, qui flottait dans l’air depuis le début de la soirée : une curiosité, une envie de dépasser quelque chose, sans vraiment savoir quoi.

Les verres s’étaient remplis encore une fois. Les sujets s’étaient faits plus légers, mais aussi plus directs. Marc, toujours avec son sourire charmeur, avait proposé un jeu. « Un genre de action ou vérité, mais version adulte. » On avait tous éclaté de rire, mais personne n’avait dit non.

Je ne me rappelle plus exactement ce que j’ai répondu, mais ça avait suffi pour briser quelque chose. Pas un malaise, mais une limite qu’on n’avait jamais pensé franchir. Quand Marc s’était levé et avait proposé qu’on continue ce jeu dans leur chambre, personne n’avait protesté. Ça s’était fait naturellement, comme si on savait tous que c’était là que la soirée devait nous mener.

Une tournure naturelle

Une fois dans la chambre, l’atmosphère avait changé. La lumière plus dorée, l’odeur légère de jasmin, le lit immense en bois d’acajou… C’était d’un coup beaucoup plus intime, surtout qu’il y avait encore quelques sous-vêtements mal rangés et des magazines qui traînaient. Anna avait pris les devants. Elle s’était approchée de moi avec un naturel qui m’avait déstabilisée, mais pas au point de m’arrêter.

« On a toujours eu cette connexion, non ? » m’avait-elle murmuré, assez bas pour que seuls nos maris devinent ce qu’elle disait.

Je m’étais retrouvée à sourire sans répondre, mais mes gestes avaient parlé pour moi. Quand sa main avait effleuré la mienne, puis mon bras, un frisson m’avait parcourue. Derrière nous, nos maris observaient, immobiles, mais pas passifs. Ils nous laissaient faire, fascinés, peut-être un peu envieux de cette tension qui semblait n’exister qu’entre Anna et moi.

Nos corps s’étaient rapprochés lentement, presque comme dans un rêve. Je n’avais pas conscience de tout, juste du bruit léger des respirations, de la chaleur de ses doigts sur ma peau et de mon propre cœur qui battait comme un tambour. Je n’avais jamais rien vécu de semblable.

Je me suis retournée un instant, cherchant le regard de mon mari. Il m’a simplement souri, l’air détendu, presque complice. Marc, lui, avait ce regard intense, presque admiratif, qui m’avait fait me sentir belle, désirable et étrangement libre.

Une connexion entre mêmes sexes

Quand Anna m’a attirée un peu plus près, j’ai cessé de réfléchir. Ce n’était pas prémédité, mais tout semblait parfaitement naturel. Sous le regard de nos maris, une connexion unique s’était créée, une parenthèse que nous savions tous exceptionnelle, sans jalousie ni malaise.

Nous nous sommes mises toutes nues, et je sentais maintenant le torse d’Anna contre le mien. Sa grosse poitrine comprimait la mienne, et je n’avais jamais connu une sensation si voluptueuse. En me laissant guider par mon instinct, je me suis mise à lécher un de ses tétons, en agitant ma langue sur sa pointe tendue.

Puis, je l’ai laissée m’enjamber et, pour la première fois de ma vie, j’ai découvert le corps d’une femme comme jamais je ne l’avais aperçu auparavant.

La chatte luisante de plaisir, béante, à quelques centimètres de la mienne. Et en contre-plongée, deux gros seins qui pendaient en ma direction. Anna s’est frottée à mon sexe avec une maîtrise certaine. Nul doute que je n’étais pas sa première fois. Au loin, j’entendais nos deux maris se déshabiller à la hâte et se toucher le sexe, doucement.

Redécouverte du sexe

Anna était toujours concentrée sur mon corps. Elle a enfoncé quelques doigts brûlants dans mon sexe, en appuyant précisément sur le haut de ma paroi. Oh, les femmes connaissent tant de secrets jouissifs ! Je me suis demandé à ce moment pourquoi je n’avais pas essayé plus tôt.

Marc, son mari, est venu nous rejoindre pour se lover auprès de sa femme. Il restait à quelques centimètres polis de moi, surtout que mon mari était resté à distance et se contentait de prendre quelques photos.

Anna a fini par me faire jouir, je n’ai pas vraiment réussi à lui rendre la pareille, mais elle m’a murmuré à l’oreille : « C’est pas mal, pour une première plongée dans le monde saphique. » Sur le coup, je n’ai pas su ce qu’elle avait voulu dire. Ce n’est qu’en rentrant le soir à la maison, dans la voiture, que j’ai osé poser la question à mon mari.

« Ça veut dire quoi saphique ? »

« Ça veut dire le plaisir que j’ai lu dans tes yeux quand tu étais entre les mains d’Anna. »

Puis il a ajouté : « Ça veut dire lesbienne. »

Et j’ai souri en repensant à nos prochaines retrouvailles et autres histoires de sexe…

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