Job d’été bien payé

La rédaction 26 juillet 2019

Enzo, 20 ans, Mitry-Mory.

Job d'été bien payé

Salut moi c’est Enzo, j’ai 20 ans et je suis étudiant. L’été, pour me payer mes études, j’étais éboueur. Les gens ont plein d’a priori sur ce métier, mais ça gagne bien. Et surtout, il m’est arrivé un truc de ouf cet été au mois de juillet, alors que j’étais au boulot ! C’est peut-être le prestige de l’uniforme ? Les gros gants, la tenue verte avec le gilet jaune fluo, à croire que ça a ses adeptes.

Avec les collègues, on aime bien siffler les jolies filles dans la rue. Un jour, en début d’après-midi, on avait bientôt fini la tournée, j’ai repéré une petite nana qui remontait la même rue que le camion. Je l’ai sifflée, elle m’a souri. C’est rare les Parisiennes sympa comme ça. Généralement, elles font semblant de ne pas entendre, ou alors elles me regardent avec mépris. Amusée, elle a continué à marcher à une allure régulière. J’accélérais le rythme de chargement des poubelles ou je ralentissais en fonction de la jolie passante pour que le camion reste à son niveau. Je n’arrêtais pas de faire le clown, elle rigolait. En haut de la côte, notre job était fini. Prochaine étape : le dépôt.

Dans un effort suprême pour conquérir la femme de ma vie de la journée, je lui ai demandé : « Hé, t’es déjà montée à l’arrière d’un camion poubelle? » Elle a répondu que non. De ma petite plateforme, je lui ai tendu la main avec un sourire enjôleur. Elle l’a saisie. Je l’ai fait grimper devant moi, je lui ai conseillé de bien s’accrocher, et le camion a pris de la vitesse. « Tiens-moi bien », m’a-t-elle soufflé en se cramponnant plus. Je me suis collé à elle. Mon collègue, à côté, rigolait. Bientôt, avec ses jolies fesses rebondies contre mon pubis, je n’ai pu contenir une énorme érection. Impossible de me décoller d’elle. Elle a tourné la tête vers moi et m’a dit qu’elle en avait envie aussi. C’était trop beau pour être vrai.

Une fois au dépôt, mon collègue qui conduisait est venu me filer les clés du camion, en me faisant un clin d’œil. Les deux se sont éloignés en s’esclaffant. J’ai proposé à la fille de m’accompagner à l’avant. Dès qu’on a été assis, je me suis rapproché d’elle et on a commencé à se rouler des pelles. Elle était chaude comme tout j’avais bien envie d’y plonger ma bite. Elle a sorti une capote de son sac. J’ai eu le geste d’ôter mes gants, mais elle ne m’en a pas laissé le temps. Elle s’est jetée sur ma braguette, a extirpé ma teub tendue et m’a fait une branlette qui m’a coupé le souffle. J’avais les couilles prêtes à exploser, elle me les a malaxées par-dessous, pendant qu’elle m’enfilait le truc de plastique. Son chemisier bâillait, ses bouts de nichon bandaient, ses aréoles contractées avaient une très jolie couleur rosée.

Tout en souplesse, elle m’a enjambé pour se retrouver les jambes écartées sur moi, son visage près du mien. J’ai constaté qu’elle n’avait pas de culotte. Je n’osais pas la toucher avec mes gants : c’est elle qui m’a plaqué les mains sur ses fesses nues, sous sa jupe. Elle a guidé mon manche dans sa motte qui suintait de mouille. Je me suis enfoncé en elle avec difficulté, tellement elle était serrée. Mais quand j’ai été au bout, l’explosion ! Je l’ai bourrée de toutes mes forces. Elle s’est fourré un doigt dans le cul et, avec l’autre main, elle comprimait son clitoris. Je voyais sa veine jugulaire battre. J’avais très chaud. Elle me donnait des coups avec son bassin, elle en voulait grave, je la labourais avec hargne, tant et si bien que j’ai senti que j’allais venir. Je le lui ai dit, et elle a sauté sur le siège d’à côté.

Super coordonnée, elle m’a retiré le préservatif en me branlant, a mis tout mon gland dans sa bouche et m’a sucé jusqu’à ce que je lui balance mes jets concentrés au fond de la gorge. Elle a gémi de plaisir, elle a même fait: « Mmm, c’est bon. » On a un peu discuté, et, croyez-moi ou non, elle a eu l’air super déçue quand je lui ai dit que je n’étais pas vraiment éboueur.

(Image à la une : Getty Images)

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