La banquière

La rédaction 4 janvier 2025

Voici mon histoire de sexe amateur. Conseillère dans une grande banque française, je m’occupe des entreprises, ce sont des clients feutrés, courtois, un peu rébarbatifs. Quand est arrivé Pierre, il y a deux ans à peine. La quarantaine entretenue, drôle, beau comme un dieu, sexy et très dragueur. En couple, j’ai toujours tenu mes clients à distance de sécurité, mais Pierre ne forçait pas, tout en ne lâchant pas pour autant. J’ai accepté un déjeuner professionnel et me suis laissé aller à un baiser langoureux dans la voiture, qui a fini en taillage de pipe en règle, j’avais trop envie de ce type et quand j’ai découvert sa queue, mon désir s’est transformé en véritable besoin de sexe, sans pudeur, sans respect, je voulais être sa petite salope, sa catin, sa chose !

Instant fellation

Le lendemain, il me donnait rendez-vous chez lui, il m’attendait en slip affriolant, torse nu et tatoué, je me suis accroupie directement, j’ai sorti sa longue tige et l’ai mise entièrement dans ma bouche. Je retrouvais les sensations de la veille, là, vautrée, à genoux sur le parquet de son entrée, sa bite me fondait dans la gorge, il bandait dur et je me suis déshabillée tout en lui pompant le nœud.

Je n’ai même pas remarqué l’appareil photo fixé sur un trépied, encore moins le déclencheur que Pierre tenait dans sa main, lorsque j’ai entendu l’obturateur, j’ai compris ce qui se passait et cela m’a excité d’autant plus, ce petit cochon allait graver notre partie de jambe en l’air sur une carte SD !

Une fois totalement nue, mon amant m’a demandé de m’allonger sur le canapé rouge de son salon pour une séance de pose, il me guidait en fonction de ce qu’il voulait voir et … il désirait tout voir, je lui ai tout montré, allant jusqu’à me masturber devant lui. Nous avons ensuite gagné la chambre, Pierre m’a fait y aller à quatre pattes, il se plaisait à me dominer et je ne souhaitais qu’une chose, me soumettre à sa volonté et qu’il me baise comme la dernière des filles de joie.

Installée sur le lit, j’ai dû revenir à ma fellation, lui prenant toujours des photos de mes exploits buccaux. Sa tige était encore plus dure, j’avalais toute sa longueur jusqu’au fond de ma gorge, les cheveux tenus par une main ferme qui m’imposait rythme et intensité. J’ai adoré l’exercice face à un homme sûr de sa séduction et de son emprise sur mes désirs. À quatre pattes sur le matelas, lui debout devant moi, il me baisait par en haut, comme s’il pénétrait mon vagin, ma salive dégoulinait, je me sentais belle entre ses bras, ayant un sentiment d’appartenance que je n’avais jamais connu auparavant.

Sodomie chérie

Il s’est retiré et m’a demandé de ne pas bouger, je me suis figée et il a fait le tour, m’imposant d’écarter les fesses au maximum tout en posant mes seins sur le lit. J’entendais sa respiration profonde, j’ai saisi un mouvement dans mon dos, il a pris un flacon et en a répandu le contenu sur ma raie, le liquide visqueux a coulé jusqu’à mon trou du cul et à ma chatte. Pierre a alors lubrifié mes deux orifices, par devant avec index et majeur, tout en me fourrant son pouce entier dans l’anus. Il l’a astiquée de plus en plus vite, rajoutant des phalanges ici ou là, j’ai joui en criant et en mordant la couette. Ce type avait des mains en or, il n’a même pas eu besoin de toucher mon clitoris pour l’emmener au septième ciel !

J’ai senti son poids lorsqu’il m’a rejointe, il n’a rien dit, ne m’a rien suggéré, il a ajusté son gland au centre de mon œillet et m’a sodomisée d’un coup ! Peu habituée à cette pratique qui me rebute un peu, mon anneau s’est élargi au fur et à mesure qu’il progressait dans ses coups de reins, j’avais chaud partout, mes tétons bandaient, mon bouton de rose également. Pierre m’a donné des claques sèches sur les fesses tout en me demandant où était sa queue.

J’ai répondu dans un souffle inaudible « Dans mon cul … », nouvelle gifle cinglante sur mon joufflu, il me l’a fait répéter, crier, encore et encore, jusqu’à ce que je lui hurle que « oui, j’aimais ça, que j’aimais qu’il m’encule comme une putain » et j’ai eu un orgasme de folie qui m’a laissé exsangue de toute énergie, recroquevillée en position fœtale dans le lit sens dessus dessous.

Pierre m’a câlinée, embrassée partout et écarté les cuisses pour me lécher le minou tout en se branlant. Il m’a portée encore une fois au plaisir juste avec son appendice et, lorsqu’il a senti qu’il allait venir, m’a demandé de récolter son gland entre mes lèvres. Il m’a laissé sa hampe à astiquer et quelques aller-retour plus tard, il éjaculait sur ma langue, emplissant ma bouche d’un sperme épais et doucereux.

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