Moi, mon mec et mes amants

La rédaction 18 décembre 2024

Jenny  28 ans de Lausanne raconte son aventure avec George son amant devant son mari amateur de candaulisme. Son amant est très bien doté par la nature.

Vous trouvez que j’ai un corps de rêve ? Je ne vous donne pas tort, mais je fais des efforts surhumains pour conserver cette silhouette longiligne ! Régime alimentaire strict, salle de gym pour des séances intensives … qui se poursuivent à la maison sous l’œil et l’objectif de mon coquin de mari. Je n’avais pas l’ombre d’un désir libertin à la base, c’est lui qui a fait naître en moi ce désir inextinguible d’amants ! Sa seule limite ? Il y en a deux en réalité, qu’il assiste à toutes mes baises (sauf celles qui se déroulent parfois dans les vestiaires de la salle de sport) pour les immortaliser et que les hommes que je ramène soient gaulés comme des dieux ! Pour cette histoire de sexe amateur, j’ai choisi Georges, un colosse d’un mètre quatre-vingt-dix, affublé d’un membre tout aussi délirant. Monsieur présente une queue qui flirte avec les vingt-deux centimètres !

Un amant et un mari candauliste

Autant vous dire que cet amant en particulier me comble à tous les niveaux, une fois que j’ai fait dresser sa bite grâce à mes bons soins buccaux, il est à ma disposition pour me faire absolument tout ce que je veux. De son côté, il n’est pas à plaindre, c’est bien simple, je lui donne tout, à commencer par mes grosses mamelles comme il les appelle et dont il raffole. Il me les tête, me les malaxe, me les pince, je m’installe en soixante-neuf et, pendant qu’il me lèche divinement la chatte et le clito, je le suce ou lui caresse la pine avec mes mamelons.

Après ces mignardises goûteuses (il me dit tout le temps que ma mouille est un sirop sucré), je profite de ma souplesse pour me faire posséder dans toutes les positions possibles du Kamasutra. On commence le plus souvent avec moi dominante. J’aime contrôler la pénétration de ce mastodonte, d’abord pour ne pas avoir mal, mais aussi pour ménager la survenue de mon premier orgasme. Tout m’excite, mon mari qui nous mate et nous prend en photo, les regards fiévreux de Georges, son énorme bite qui me dilate la chatte et me l’écartèle si fort. Je ne suis jamais à l’abri d’un plaisir fulgurant. C’est toujours bon à prendre mais, de mon côté, je préfère reculer l’instant du premier voyage pour le rendre encore plus intense.

Je me fiche le fuseau totalement au fond du vagin, jusqu’à sentir les couilles s’écraser sur mes fesses ou ma cramouille. Dans la foulée je soulève légèrement le bassin et je cède les commandes à mon amant, après tout c’est lui qui vient pour me baiser… alors je me fais baiser ! Ses bras puissants me maintiennent en place, mon cul est comme en apesanteur. La position accroupie laisse éclore en grand les pétales de ma fleur intime, je suis tout ouverte et le mât de chair peut facilement coulisser en moi. Les va-et-vient sont fluidifiés par mes sécrétions hyper abondantes. Je coule et les coups de boutoir se font de plus en plus forts, de plus en plus rapprochés, mon sexe émet des sons très cochons qui nous excitent tous.

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Ce que je préfère, c’est l’instant où je me retourne et où, tête-bêche par rapport à mon amant, je lui présente mon entrejambe bien écarté. Dès la première fois, j’ai su dans l’instant que cette façon de l’enfourcher n’était pas pour lui déplaire, bien au contraire. Je twerke des fesses, cela donne un étonnant effet stroboscopique à mon anus qui apparaît et disparaît au rythme de mon cul qui s’ouvre et se referme. J’ai vu le moment où il allait avoir envie de « corriger sa petite salope » en m’assénant quelques bonnes claques qui ont fait rougir mon postérieur de plaisir. De temps en temps, sa bite ne retrouvait pas la direction de mon fourreau et bondissait, libre et perdue, il la remettait alors calmement à l’intérieur et profitait de son geste précis pour venir me forer la rondelle avec son pouce, appuyant par la même sur son chibre qui prenait encore plus de place en moi, un pur délice !

Les vraies bonnes choses n’ayant pas de fin, après m’avoir menée une fois de plus à l’orgasme, Georges m’a prise en missionnaire. Mes chevilles autour de son cou de taureau, ses mains de part et d’autre de mes hanches, il m’a labourée comme un étalon en rut. Le lit bougeait dans tous les sens, mes nichons étaient brinquebalés de gauche et droite. Mon mari s’est approché pour quelques clichés en close-up, de très près, captant avec talent la robuste colonne de chair écartant mes nymphes et mon clitoris tout gonflé. J’ai fini par sucer mon bâton d’amour préféré jusqu’à sentir le foutre chaud jaillir dans ma bouche, je n’en ai pas perdu une goutte.

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