La croisière s’enfile

La rédaction 30 novembre 2019

Yann, 35 ans

La croisière s'enfile histoire de sexe

Je suis Yann, 35 ans. Je gère mon célibat avec fantaisie et imagination. Qu’il me soit permis de décerner un « Oscar » à votre revue qui me rend « interactif dans mes rapports amoureux« . J’y associe, bien entendu, votre rédaction qui ne manque pas de mérite, de discernement et d’humour. Mais oui, mais oui… Je suis toujours à la recherche d’insolite et de nouveautés. Bref, j’habite Royan, station balnéaire de l’Atlantique où l’on pratique la voile en toute liberté. Qu’il ne soit pas dit que cette ville et ses environs sont tristes car, je vous l’assure, on peut y baiser en joyeuse compagnie, dans l’inattendu…

Ce matin d’été, j’avais embarqué sur un voilier de 7m 50 avec un couple d’amis, Marc à la barre, Sophie et moi pour équipage. Notre commandant portait un mini-short « moule bite » à la bosse indécente. Sa compagne arborait un string assorti d’un soutif confetti qui peinait à masquer deux mamelles qui me subjuguaient. Sans doute intriguée par l’ampleur du bestiau qui sommeillait dans mon slip, Sophie m’a invité à descendre en cabine afin d’examiner le plan de navigation que nous allions emprunter. Il s’agissait du phare, des courants, des hauts et bas-fonds…

Le bateau filait à quinze noeuds avec un vent de force quatre qui tendait les voiles. Des idées pas très claires m’emplissaient la tête ! Intuitif, Marc a souri à la barre en déclarant : « Il fait chaud, on est loin de la côte… Tous à poil, c’est la règle à bord ! Exécution ! » Sitôt dit, sitôt déloqués… Bite à l’air, il tenait le cap tandis que Sophie m’entraînait derrière sa croupe callipyge dans les profondeurs de sa cabine.

Très vite alanguie sur la couchette, lèvres entrouvertes, elle a empoigné mon grand mat pour l’attirer vers son visage. « Manoeuvre nécessaire pour vérifier mon sens de la navigation« , a-t-elle chuchoté avec un air ingénu. Ne voulant pas être en reste, j’en profitais pour explorer sa belle figue d’une main et ses mamelles siliconées de l’autre. Son huître était douce, chaude et glissante. Son clitoris était musclé comme celui des sportives de la chose… Je me régalais de la laitance salée que je dégustais…

Telle une ogresse de compétition, la bougresse embouchait mon engin avec l’entrain d’une médaillée olympique ! Bon Dieu, qu’elle manoeuvrait bien ! « Bel équipement, je prends« , a-t-elle marmonné la bouche pleine. Elle promenait mon épieu de ses lèvres à ses tétons. Autoritaire sans doute, mais suceuse endurante tout de même ! J’ai repris l’initiative en abordant son triangle des Bermudes. Je lui ai mis les cuisses bien au large, pour tremper mon harpon phallique dans son vagin. Elle soulevait les hanches, comme pour mieux me recevoir. J’avais le gland salivé par ses soins. Je clapotais gaillardement dans son goulet animé par des vaguelettes d’écume ! Une sorte de flux et de reflux…

Elle gémissait en secouant la tête de droite à gauche. De la cabine, j’apercevais Marc qui manoeuvrait sagement avec son petit goûter pendouillant entre les jambes, tandis que Sophie se tortillait sous l’ardeur de mes assauts. Son sexe intégralement épilé (comme j’aime) glissait dans un clapotis… C’est alors qu’elle s’est écriée : « Changement de cap, virons de bord ! » Le message était clair, je l’ai retournée pour aborder sa face arrière, la poupe, dit-on en termes marins. D’où l’expression : avoir le gland (vent) en poupe !

Bien chaud, j’ai enfoncé mon dard au travers de ses fesses, ce qui l’a fait sursauter ! Je ne négligeais pas pour autant ses nichons que j’agrippais pour garder l’équilibre- de nos corps agités. C’est ainsi que mon noeud s’est trouvé embarqué dans ce cul qui m’avait séduit dès l’embarquement. À la barre, Marc sifflotait: « Alouette, je te plumerai« , avant de déclarer « Pas de voie d’eau en salle ? » Et Sophie de répondre en clignant des yeux: « Le vent s’est levé, on jouit du spectacle ! » Et moi de me projeter dans ses fesses si douces, si soyeuses. Nous avons mimé un torride tsunami de plaisir qui nous a épuisés !

Echos du pont : « Changement de quart, je t’attends sur le pont Sophie, pour te remettre le gouvernail ! » Contrariée et dégoulinante, les seins dressés, elle s’est dégagée de moi dans un grand flop brutal ! Quelle frustration ! Adieu nos galipettes ! Quelle n’a pas été ma surprise quand j’ai vu Marc descendre en cabine, l’oeil brillant, la bite à la main. Cette dernière avait pris des proportions qui ne  me laissaient pas de doutes sur ses intentions. « Oh non, pas moi ! » , me suis-je écrié ! « Mais si, maintenant, tu vas subir l’épreuve du mousse ! » J’ai aussitôt débandé tellement j’angoissais ! Le commandant étant seul maître à bord, j’ai donc dû me prêter à ses manoeuvres pénétrantes sur la couchette humide. Là-haut, Sophie ricanait : « Ça va, les garçons ? » Ravagé par les événements, j’avais besoin de souffler. Sophie nous a ramenés au port en virant de bord. Le vent s’est levé, le retour a été plus calme que l’aller.

A quai, nous avons remis le bateau en ordre, sans omettre d’aérer les couchettes, qui gardaient les traces de nos ébats. Puis nous avons bu une mousse bien fraîche au bar du « petit zinc » avant de prendre une douche réparatrice en trio. Le soir, nous avons dégusté un copieux plateau de fruits de mer bien arrosé en commentant notre aventure. Sans rancune, nous avons fait d’autres sorties qui ont constitué de nouveaux souvenirs que je vous raconterai ultérieurement, si l’équipage y consent !

(Image à la une : Getty Images)

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