La veuve joyeuse

Je suis une retraitée de 65 ans devenue veuve trop tôt à cause d’une vilaine maladie qui a emporté mon cher mari il y a deux ans. Je panse mes plaies et je commence tout juste à retrouver goût à la vie. Dans cette histoire de sexe, je vous raconte une expérience en particulier qui m’a permis de me redécouvrir : une virée dans une soirée un peu spéciale…

A mon âge, je n’étais jamais sortie de la monogamie, malgré tout ce temps ! Et pourtant, j’avais des envies qui me turlupinaient parfois ! J’ai toujours eu beaucoup de désir, même quand la ménopause a pointé le bout de son nez ! Mon pauvre mari, je l’épuisais de mes demandes. Ce n’est pas si courant, hein ? Eh bien sachez que certaines femmes de mon âge ont des appétits de carnassières ! J’ai un couple d’amis de longue date qui m’a avoué un jour qu’ils avaient leurs habitudes dans un club de la région. “C’est-à-dire un club ?” “Un club libertin ! Je suis sûre que ça te plairait, tu ferais un malheur vu comme tu es toujours aussi belle ! Et le sexe doit te manquer en plus !” ont-ils déclaré en coeur. Je ne savais pas qu’ils fréquentaient pareils lieux ! Ils s’étaient bien gardés de nous en parler. Ma curiosité a été piquée au vif je dois dire et c’est vrai que j’avais bien envie de contact humain… De me sentir femme à nouveau.

Mes deux amis en question, John et Mathilda, m’ont dit qu’ils me prendraient sous leur aile si j’acceptais de les accompagner. Nous y sommes allés un soir, le club était installé dans une sorte de grange réaménagée en boîte de nuit et lieu de rencontre, avec les fameux “coins câlins”, canapés d’angle ou banquettes larges pour s’ébattre. Il y avait des gens de tous âges, des femmes habillées avec très peu de tissu, certaines en soutien-gorge et porte-jarretelles, et les hommes rôdaient et regardaient, mais avec respect et admiration.

Ça m’a tout de suite plu comme ambiance, c’était festif et je n’étais pas farouche ni pudique. J’ai dansé avec mes deux amis qui, à la faveur de ces lieux propices, en ont profité pour se rapprocher de moi. Mathilda, grisée par la fête, m’a embrassée en me serrant contre elle tandis que son mari caressait mes hanches. J’étais surprise par le naturel avec lequel tout cela se passait, alors ça aurait été impensable auparavant. John m’a murmuré à l’oreille : “Qui te fait envie ici ?” J’ai désigné un monsieur d’à peu près mon âge qui avait un très beau visage, certes un peu marqué par la vie, mais vraiment un air de beau gosse qui m’attirait beaucoup, d’autant plus qu’il n’arrêtait pas de me regarder, moi et mes seins moulés dans mon petit caraco de soie rose… “On va faire les présentations, alors !” m’a glissé John. Nous nous sommes déplacés tous les trois pour danser devant lui. J’ai continué d’embrasser mon amie en qui j’avais confiance, même si je n’en revenais pas de faire ça, moi qui avait été si disciplinée toute ma vie !

J’étais toute excitée par les caresses bienfaisantes de mes amis. L’homme que je convoitais nous regardait, assis dans un recoin fait pour les rapprochements et il avait déjà sorti sa queue en nous regardant nous exciter tous les trois. Quand j’ouvrais les yeux entre deux baisers, je le voyais me sourire tout en se branlant. En moins d’une heure, j’avais vécu plus d’aventures qu’en une vie entière ! J’avais les sens en folie et je me sentais attirée par lui, comme envoûtée. John, qui me caressait toujours les hanches et les fesses au passage – gentil goujeat – m’a poussée vers l’inconnu. Je me suis retrouvée dans ses bras en moins de temps qu’il ne faut pour l’écrire, mon corps collé contre lui et sa belle érection qui lui barrait le ventre. Intriguée et sous le charme, je me suis penchée, une fois installée sur l’espèce de large matelas, pour le sucer. J’ai toujours adoré les fellations et ça faisait tellement longtemps que je n’avais pas sucé une queue dure comme ça !

Voir l’effet que je lui faisais avait le don de faire sauter tous les verrous de la timidité et je m’en donnais à cœur joie sur son membre raidi par le désir. Nous nous regardions avec beaucoup d’intensité, sans parler, et c’en était encore plus fort. En consentant par le regard, je me suis étendue sur le grand matelas soyeux et il est venu entre mes cuisses après avoir dézippé langoureusement ma jupe. Il m’a prise avec une infinie précaution, car je pense qu’il sentait que tout ça était nouveau pour moi. Cette pénétration délicate était un bonheur pour le réveil de mes sens et ça a suffi à déchaîner l’ogresse avide de sexe qui sommeillait en moi. A tel point que nous avons fini côte à côte avec mon couple d’amis, nous les deux femmes prises en levrette et les hommes nous besognant sans relâche, et nous nous regardions en sachant que c’était une folie et nos cris se répondaient et nous excitaient l’une et l’autre. Mon nouvel amant me caressait le bas du dos, les fesses, les hanches, puis il se saisissait de mon corps à pleines mains pour m’assaillir des élans de sa queue… Le coulissement de son sexe en moi m’a réchauffée et fait haleter jusqu’à l’épuisement. Qu’est-ce que ça m’avait manqué, un coït de petits lapins frénétiques ! Il m’a besognée tant et si bien que j’ai joui dans ce tourbillon de plaisir en regardant Mathilda jouir elle aussi à mes côtés.

Voilà qui avait été une initiation passionnante… Et je suis impatiente d’y retourner !

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