Une queue spéciale grande taille

La rédaction 11 août 2023

Maurice rencontre Keita, une belle beurette, qui lui offre ses conseils pour les vêtements. En retour ce dernier lui offre sa queue taille xxl…

Bonjour moi c’est Maurice, voivi mon histoire de sexe. Cet été je suis allé faire un tour dans les magasins d’usine de Troyes. Ma garde-robe avait besoin d’un petit coup de jeune. Problème, avec mon mètre quatre-vingt-douze, pas facile de trouver des habits à ma taille. J’ai dégoté une boutique “Grande taille” où j’ai été conseillé par Keita, une belle beurette au décolleté violent. Ça ne m’enchantait guère de faire du shopping, mais guidé par cette brune piquante à souhait, l’aventure devenait plus agréable. M’accompagnant jusqu’aux cabines d’essayage, elle était de plus en plus attentionnée à mon égard quand, enfin, elle a osé la question qui m’a cueilli.

« Vous êtes… aussi grand de partout ? »La surprise passée, de voir cette petite brune dans l’entrebâillement du rideau couleur corail, je l’ai prise au mot et j’ai baissé mon boxer. Un « Oh » muet s’est dessiné sur ses lèvres et elle s’est engouffrée dans l’espace exiguë.

Très longue soirée

Jamais une femme ne m’avait autant complimenté sur la taille et la beauté de mon sexe. Elle l’a recueilli au creux de sa main et m’a légèrement branlé afin que je gagne en volume. Elle s’est penchée pour me sucer le gland et j’ai glissé une paume froide dans l’ouverture de son chemisier. Son sein était brûlant, elle a été parcourue d’un frisson au contact de mes doigts gelés et j’ai senti son téton pointer sur le champ. Malheureusement il y avait du monde qui la réclamait, nous avons été obligés de stopper là. En réglant à la caisse, j’ai eu le droit à la ristourne maximum et à son numéro de téléphone.

Le soir même, nous étions tous deux réunis dans une chambre d’hôtel. Nous nous sommes rués l’un sur l’autre sans plus de préambules, nous avons arraché nos vêtements et nous sommes jetés sur le lit. Elle était blanche de peau avec des seins lourds aux grosses aréoles roses. Sa chatte était tout épilée comme mon propre pubis. Visiblement la demoiselle était sensible aux jeux de langue et gourmande pour ce qui était de sucer des queues. Gourmande et experte en la matière.

Pendant qu’elle s’adonnait à une branlette espagnole terrible, je lui ai demandé si elle ne voulait pas garder un souvenir de ces moments plus que chauds, elle m’a fait oui de la tête, ma bite bien en bouche, j’ai donc saisi mon téléphone et j’ai commencé les prises de vue.

Acharnée de la pipe, elle a failli me faire venir entre ses seins, mais j’ai résisté. Je désirais tout d’elle et Keita semblait plus que disposée à tout m’offrir. Après cette parfaite démonstration de ses talents buccaux, j’ai moi-même fait montre de ma maîtrise du cunnilingus. Keita, elle, ne s’est pas privée de se laisser submerger par un premier orgasme sous mes coups de langue. Une jouissance tout en longs gémissements et en écoulements divins, iodés et poivrés, qui lentement glissaient hors de sa chatte.

Le moment tant attendu est arrivé. Elle voulait que je la prenne fort, elle aimait le sexe qui déménageait selon sa propre expression. Je suis monté en puissance tout au long de la soirée.

Des orgasmes ici et là…

Elle m’a demandé d’y aller doucement quand même au début devant la taille imposante de ma queue, mais c’est rentré comme dans du beurre. Son con s’est ouvert au fur et à mesure de mes poussées pour finalement m’avaler jusqu’à la garde. Elle a relevé les jambes et je l’ai limée jusqu’à ce qu’elle ait un deuxième orgasme. Plus long à venir que le précédent, celui-ci a été très fort, j’ai senti les convulsions de sa chatte et de son petit trou lorsque les spasmes de plaisir l’ont envahie.

Keita n’arrêtait pas de se branler devant moi pour m’exciter, comme si j’avais eu besoin de cela, le tout sans se lasser de me toucher le pénis en me complimentant. Elle était vraiment emballée par mon engin, ce qui flattait mon orgueil de mâle, il faut bien le dire.

C’est là que Keita m’a fait un truc qu’aucune femme avant elle ne m’avait jamais fait. Elle s’est installée entre mes cuisses ouvertes tout en me présentant son cul, jambes jointes, fesses bien serrées et elle s’est empalée sur moi de la sorte. Quel choc ! Ses globes se pressaient l’un contre l’autre lorsqu’elle libérait ma bite et s’écartaient largement quand elle remontait en se penchant en avant. J’avais ainsi tout loisir de bien mater sa cramouille trempée et son petit trou avec lequel j’ai fini par jouer en lui mettant trois doigts dedans.

J’ai balancé mon foutre sur ses fesses, mais elle s’est retournée en flanquant sa tignasse brune de côté pour venir se délecter de mon sperme. Finalement, j’ai prolongé mon séjour et nous avons baisé trois soirs de suite après la fermeture du centre commercial, dont une fois, enfin, dans la fameuse cabine !

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