Le calendrier des pompiers

La rédaction 16 décembre 2020

Norah, 28 ans, accueille chez elle un beau pompier qui va lui apprendre à manier une lance… l’ambiance devient très chaude entre eux.

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Je n’avais pas d’inspiration. Rien. La panne sèche. Je suis restée plusieurs heures à contempler inlassablement mon écran d’ordinateur en cherchant à remplir les lignes vides de mon mémoire sur «Les brûlures du troisième degré». En dernière année d’école de médecine, il fallait impérativement que je le rende pour la semaine prochaine.

La sonnette de ma porte m’a sorti de mes pensées. Je suis allée ouvrir, intriguée. Qui cela pouvait-il bien être à cette heure-ci ? Un homme robuste et impeccablement bien rasé se tenait dans le couloir de mon immeuble, un calendrier à la main. «Bonsoir Mademoiselle ! C’est pour les étrennes des pompiers. Un calendrier coquin contre quelques euros…» J’ai jeté un oeil à la couverture «Les Soldats du Feu». C’est homme doit s’y connaître en brûlures, ça me semble évident, il doit y faire face tous les jours ! Je l’ai invité à entrer chez moi pour lui demander quelques trucs et astuces autour d’un verre. Il m’a expliqué que le plus simple, quand on avait une brûlure, c’était de la mouiller le plus rapidement possible pour éviter qu’elle ne se propage.

Et là en ce moment, j’ai le sexe brûlant ! Et si on passait aux travaux pratiques ?» ai-je tenté, joueuse…

Il m’a regardé avec envie. Il faut avouer que je ne voulais vraiment pas retourner me plonger la tête dans le travail. J’avais besoin d’une distraction. Il a baissé son pantalon et son caleçon sur ses chaussures. Sa bite était lisse, grosse et dure. A son image. J’ai d’abord léché goulûment ses bourses, je voulais faire durer le plaisir. Puis j’ai enfourné son gland dans ma bouche d’une traite. Cela faisait très longtemps que je n’avais eu l’occasion de sucer un si beau membre, j’étais impatiente.

Il a poussé un gémissement de plaisir et a posé une main sur ma tête. Il appuyait lentement sur le haut de mon crâne pour que sa queue s’enfonce toujours un peu plus loin. Elle était énorme. Elle pénétrait dans ma gorge et m’obligeait à recracher de longs filets de salive. Ma bave luisait le long de son dard et coulait sur ses couilles. Ca l’a excité encore plus. Il a maintenu ma tête enfoncée et s’est branlé tout seul dans ma bouche par des mouvements de bassin sur le canapé. J’aimais savoir qu’il se faisait plaisir en moi. Il a enfin relâché ma tête et m’a lancé un regard très lubrique.

«Il ne faut jamais attiser la flamme, mademoiselle, si vous ne voulez pas risquer l’incendie !».

J’ai remonté lentement ma robe au dessus de mon ventre. Je bouillonnais intérieurement, j’avais très envie qu’il s’occupe de moi. Il m’a écarté les cuisses et a glissé sa langue dans ma fente. Ah si tous les pompiers savaient aussi bien s’occuper des incendies, il y aurait moins d’accidents domestiques ! Mes jambes étaient fermement tenues et ma vulve complètement offerte. Ses coups de langue s’accéléraient, il lapait ma chatte chaude comme s’il léchait une glace. Sa salive se mélangeait à ma cyprine. Une tâche était en train de se former sur mon canapé. Je mouillais abondamment.

J’ai caressé son avant-bras du bout de mes doigts. Il était vraiment bien bâti cet homme ! Je me demandais quels exercices de musculation il pratiquait pour arriver à avoir un corps aussi dur et énergique. Comme pour me répondre, il enfonça son majeur dans ma chatte. J’ai poussé un soupir de satisfaction. De l’autre main, il a commencé à taquiner ma rondelle. J’avais un peu peur de ce qu’il allait faire, je n’ai jamais pratiqué la sodomie ! Il a sucé un de ses doigts et l’a plongé dans mon anus. J’ai émis un petit cri de surprise. C’était vraiment bizarre d’être prise par les deux trous en même temps…bizarre, mais en même temps très agréable !

Je voyais tous les muscles de ses mains se contracter et se décontracter au rythme de ma branlette. Il transpirait à grosses gouttes, moi aussi. Il s’est relevé et a retiré son polo. Nu, il m’a paru un peu plus vieux. Je n’arrivais pas à déterminer son âge. Trente-cinq ans, peut-être ? En tout cas, il avait de l’expérience, ça c’est sûr ! «Vous pensez à un endroit où je pourrais ranger ma lance d’incendie ?» m’a dit-il demandé , espiègle.

Il était allongé sur mon canapé et se masturbait doucement. Je n’ai pas pu résister à l’appel plus longtemps. Une fois ma robe retirée, je suis venue directement m’embrocher sur lui. Et quelle lance d’incendie ! Elle avait un peu de mal à entrer entièrement et restait collée aux parois de mon vagin. J’ai dû écarter mon entrejambe des deux mains pour que mon pompier me prenne entièrement. Ah que c’était bon ! Je ne suis pas sûre que les autres étudiants de mon âge auraient pu me faire décoller aussi loin. Il a maintenu mon cul relevé et m’a pilonné la chatte avec sa grosse queue.

Son majeur s’est frayé un chemin entre mes fesses. Ca y’est, c’était reparti pour la stimulation anale ! Youpi ! Il a harponné mon trou de balle déjà dilaté. Décidément, cet homme savait tout des secrets féminins… Brusquement, il m’a pris par la taille et m’a soulevé au-dessus de lui. Dans ses bras, je ne pesais vraiment plus rien. Son sexe est sorti de mon antre, me laissant sur ma faim… Heureusement, ce n’était pas fini ! Il m’a retournée sur le canapé et a appuyé ma tête sur l’accoudoir pour que mon dos soit bien cambré. Sa bite a repris sa place royale, tout au fond de moi.

Dans cette position il s’introduisait encore plus loin dans mon intimité. Il a attrapé mes chevilles pour me faire basculer en avant. Je m’accrochais comme je pouvais au plaid de mon canapé. Il cherchait l’angle selon lequel il pouvait me prendre le plus facilement. D’abord à genoux sur le sofa, il a ensuite appuyé une jambe sur le sol pour être encore plus stable. Ses secousses sont devenues de plus en plus brusques, animales. Cependant je le sentais fatiguer légèrement, son souffle se faisait plus saccadé, plus rauque et ses gestes étaient de plus en plus tremblants…

Ah les jeunes de mon âge sont plus endurants ! Il s’est assis sur mon canapé, son pic toujours au garde à vous entre ses deux quadriceps musclés. Je suis venue trôner sur lui. Il fallait que je le termine. Je montais et descendais mon bassin aussi rapidement que possible. Je voulais l’exciter à mort ! J’ai léché mes seins devant son visage. J’ai vu à son regard qu’il devenait fou. Il a tiré ma tête en arrière, m’obligeant à placer ma poitrine au niveau de sa bouche. Il a gobé mes tétons avec la même avidité que ma chatte un peu plus tôt. Cet homme était un vrai gourmand !

Mon petit jeu commençait à marcher : son sexe grossissait en moi. Il m’a basculé a côté de lui sur le ventre. J’ai relevé mon petit cul qui lui plaisait tant en écartant mes fesses. Il se branlait frénétiquement sur mon derrière. « Et les incendies, Monsieur ? On les éteint comment ?» Ma seule réponse fut un long jet de sperme coulant sur ma croupe. Je me suis retournée pour admirer le bel Hercule qui m’avait prise dans tous les sens durant vingt bonnes minutes. Il me regardait fièrement, bite à la main, essuyant les dernières gouttes de son foutre sur mon anus. «Moi, pour votre mémoire, je vous aurais mis une bonne note ! Il est évident que vous savez guérir toutes les brûlures…» A son départ, j’ai ouvert le calendrier qu’il m’avait offert comme souvenir de sa visite.

J’ai caressé, émerveillée, le papier glacé de la dernière page. Mon pompier, là, c’était le mois de décembre.

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